Considérée comme le vecteur de la virtuosité picturale selon des critères historiques, l’interface sensible entre la matière colorée et son support témoigne de la vitalité qui l’imprime. C’est donc toute la singularité de l’humain qui l’applique, qui devrait s’y trouver concentrée. Sur cette définition que toute la modernité a bousculée, prenons un peu de recul afin de réduire la patte à une acception minimaliste. Points ou rayures, il s’agit d’occuper l’espace de la toile par un système économe, relevant d’une certaine efficacité plastique. Ainsi après une introduction pointilliste, nous aborderons deux figures de la seconde moitié du vingtième siècle, par un axe qui secouera les puristes. Pois. Hachure.
Le grand atelier du midi – De Van Gogh à Bonnard au Palais Longchamp à Marseille
Paul Signac au Musée Fabre à Montpellier
Éléonore Cheneau à la Galerie Scrawitch à Paris
Roy Lichtenstein au Centre Pompidou à Paris
Roy Lichtenstein à la Galerie Gagosian à Paris
Martin Barré à la Galerie Nathalie Obadia à Paris
Arrhythmia (A tale of many squares) par Paul Galvez à la Galerie Nathalie Obadia à Paris
> Eléonore Cheneau, Série Pschitt, peinture en bombe aérosol, toile, 2009 –
Courtoisie de l’artiste et la galerie Scrawitch