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Archives de Tag: Galerie Michèle Didier

Certains cultivent un appétit encyclopédique à vouloir ranger le monde. L’art de faire des cases. Et d’y ordonner les choses. C’est une énergie des Lumières qui rayonne ici. L’impératif du savoir conduit alors le surgissement des formes, ne serait-ce que pour mieux s’y ranger. Avec fermeté.

Oriol Vilanova au M – Museum Leuven à Leuven

Tal R à Cfa – Contemporary fine arts à Berlin

Hannah Whitaker à la Galerie Christophe Gaillard à Paris

Claude Rutault & Allan McCollum chez mfc – michèle didier à Paris

Till it’s gone par Çelenk Bafra & Paolo Colombo à Istanbul modern à Istanbul

Jocelyn Wolff & Jean-David Cahn at Independent 2016 à Bruxelles

Arnaud Vasseux à La galerie particulière à Bruxelles

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Oriol Vilanova, Anything, everything, cartes postales, 2015-16 – Courtoisie de l’artiste, crédit photographique Dirk Pauwels

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Partageant l’étymologie assez agressive de l’envoi, voilà une façon particulière de viser, un art de la destination. Le correspondant devient cible. Il s’agit ici d’invoquer les charmes désuets du rapport épistolaire. Cet appétit du papier est l’occasion d’articuler l’actualité de plusieurs modestes espaces parisiens vouant leur engagement à l’édition. On y scelle la dédicace. De quoi célébrer l’écriture adressée.

Châteaux de cartes à la Galerie Florence Loewy à Paris

Guy de Cointet au 8 rue saint bon à Paris

Remember who I’m à la Galerie Alain Gutharc à Paris

Claude Rutault à la Galerie mfc – Michèle Didier à Paris

Edgardo Navarro à la Galerie Michel Rein à Paris

Ernesto par Yoann Gourmel & Elodie Royer au Ceaac à Strasbourg

Dahn Vō à la Marian Goodman Gallery à Londres

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Claude Closky, Une femme que je n’ai pas vue à La Baule, 10x15cm, feutre, carte postale, 1995 – Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Laurent Godin

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Plastique, littéraire, l’écriture formule les élans de l’esprit. Et par la puissance de la pensée, des positions découlent de l’engrenage d’une impressionnante productivité, plutôt obsessionnelle. Le manifeste cristallise, l’imagier colonise. Toujours, cette force passionne, et la présente chronique est imbibée de références louant une telle vitalité. Il s’agira d’invoquer les lettres pour nager avec aisance ou inconvenance, en leurs mots. Nous frôlerons ainsi les figures de Paolo Pasolini,
Raymond Roussel, Petronius Arbiter et Xavier de Maistre, parmi d’autres.

Zbynek Baladrán à la Galerie Jocelyn Wolff à Paris

Nouvelles impressions de Raymond Roussel par François Piron au Palais de Tokyo à Paris

Mike Kelley au Centre Pompidou à Paris

Patrick von Caeckenbergh à la Galerie In situ – Fabienne Leclerc à Paris

Taryn Simon à la Gagosian Gallery à Londres

Allan McCollum à la Galerie Michèle Didier et à la Jgm Galerie à Paris

Pétrone/Pétrole par Vincent Romagny  à la Galerie Air de Paris à Paris

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> Mike Kelley, Kandor 10B (Exploded fortress of solitude), 2011 – Courtoisie The Mike Kelley foundation for the arts et crédit photographique André Morin

En galeries parisiennes, la rentrée multipliait les expositions personnelles alléchantes. Couleur chair, elles partageaient une énergie similaire, amusées par des joies simples et malicieuses. Travestissement, dissimulation, badinage et artifices donnaient un air de printemps à notre humide septembre. Le grotesque peut surgir, la fantaisie est permise. Le sérieux fait sourire, mais le rire est grave.

Cindy Sherman à la Galerie Gagosian à Paris

Lizzie Fitch à la New Galerie à Paris

Easy living chez Less is more projects à Paris

Jessica Warboys à la Galerie Gaudel de Stampa à Paris

Folkert de Jong à la Galerie Dukan Hourdequin à Paris

Leigh Ledare à la Galerie Michèle Didier à Paris

Hippolyte Hentgen à la Semiose Galerie à Paris

> Hipppolyte Hentgen, Ô Elisabeth, 200x134cm, tissus, 2012 – Courtoisie Semiose Galerie Paris