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Archives de Tag: Galerie Jérôme Poggi

Architecture à part entière, il est une représentation du ciel. Son mécanisme fonctionne généralement par projection. Par l’optique, il partage une certaine idée de l’astronomie, et démocratise une géométrie des hauteurs.

Jean-Baptiste Bernadet à La Citadelle à Villefranche-sur-Mer

Une Cosmologie de l’art chez Poggi à Paris

Carol Bove chez David Zwirner à Paris

Andrea Medjesi chez Julien Cadet à Paris

La musique du tableau à la Galerie de la Béraudière à Bruxelles

Jean Lurçat pour Fine Arts Paris & La Biennale 2022 au Carrousel du Louvre à Paris

Alicja Kwade pour Paris+ by Art Basel place Vendôme à Paris

436fb8e9-5093-0f99-745b-a082497dab20Jean-Baptiste Bernadet, série Untitled (Sign), pierre de lave émaillée, 2020-22 | Courtoisie de l’artiste et de la galerie Almine Rech (Paris, Londres, Bruxelles, New York, Shanghai), crédit photographique Jean Christophe Lett

Loin d’une rétention d’émotions aride, il existe une humeur réussissant à libérer une puissante charge sensible selon une économie de moyens, parfois spectaculaire. Tout demeure strict. Une passion circule.

Tarik Kiswanson au Carré d’art à Nîmes

L’horizon de l’abstraction à la Galerie Poggi à Paris

Ann Veronica Janssens à la Galerie Kamel Mennour à Paris

Hôtel Le Lièvre #4 à la Galerie Campoli Presti à Paris

Christophe de Rohan Chabot à Établissement d’en face à Bruxelles

Structures of Radical Will par Béatrice Gross à la Fondation CAB à Bruxelles

Superstudio par Emmanuelle Chiappone-Piriou au CIVA à Bruxelles

Yvonne Rainer, Hand Video, 8′, 8mm film transferred to video, black and white, silent, 1966 | Video Data Bank at the School of the Art Institute of Chicago

Très haut, il arrive que nous nous retrouvions entre le soleil et les nuages. Un phénomène optique s’observe alors, les rayons projetant notre ombre sur les gouttelettes d’eau formant le brouillard en contrebas, prodigieusement auréolée d’un halo irisé. On parle de gloire. Celle-ci n’est visible que dans l’axe de son apparition. Ainsi chaque personne ne peut voir que son propre effet.

Jean-Baptiste Bernadet à Karl Marx Studio à Paris

La Montagne fertile au Palais Lumière à Évian

Renée Levi à la Villa du Parc à Annemasse

Xavier Le Normand à la Clara Scemini Gallery à Paris

Jean-Baptiste Bernadet à la Galerie Valentin à Paris

L’Arc-en-ciel de la gravité à la Galerie Poggi à Paris

Shara Hughes par Éric Troncy au Consortium Museum à Dijon

Jean-Baptiste Bernadet, Balls, vue d’exposition à Karl Marx Studio (Paris), 2021 | Courtoisie de l’artiste, crédit photographique Romain Darnaud

L’industrie textile fascine, depuis ses matériaux jusqu’à son circuit de distribution. Sans encore parler de mode, il s’agit d’établir un focus sur l’avant ou l’après de la couture, d’en saisir un morceau. L’occasion de se replonger dans ce qui fait une étoffe, et d’approfondir les tactiques pour la diffuser une fois mise en forme.

Anni Albers à la Tate Modern à Londres

Brent Wadden chez Pace Gallery à Londres

Atelier E.B à la Serpentine Sackler Gallery à Londres

Gabriele Beveridge chez Seventeen à Londres

En rouge et blanc à Kanal – Centre Pompidou à Bruxelles

Caitlin Keogh à The Approach à Londres

Marion Verboom par Léa Chauvel-Lévy à la Galerie Poggi à Paris

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Atelier E.B, Passer-by, 2018 – Courtoisie Serpentine Galleries, crédit photographique readsreads.info

Chuchotements chinois. Scandale russe. Évidemment dans chaque langue existe une appellation pointant un mode de communication exogène pour désigner ce jeu d’enfant où l’information de bouche à oreille, risque à se transformer. L’intérêt d’un tel divertissement sans victoire individuelle consiste à comparer la phrase initiale au résultat modelé au fil des intermédiaires, et ainsi, la manière dont chacun reçoit et donne. Éloignons l’aspect possiblement xénophobe des intitulés qu’il faudra plus sérieusement interroger un jour, pour en retenir la plasticité de tout message lors de son écoute, son interprétation, sa traduction, sa transmission. L’énergie ici réveille l’ancestrale tradition orale à l’heure des rumeurs électroniques, et cherche à partager autrement ses origines.

Lin May Saeed à Studio Voltaire à Londres

J’allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer chez Bénichou à Paris

Claude Viallat chez Ceysson & Bénétière à Paris

Talisman In The Age Of Difference chez Stephen Friedman à Londres

Kapwani Kiwanga à la Galerie Jérôme Poggi à Paris

Becoming animal par Borbála Soós à Tenderpixel à Londres

Yves Scherer à Cassina Projects et New Release à New York

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Lin May Saeed, vue de l’exposition Biene à Studio Voltaire à Londres – Courtoisie de l’artiste et des galeries Jacky Strenz et Nicolas Krupp, crédit photographique Andy Keate

Le numéro complet est disponible sur abonnement – Full issue on subscription

Que ce soit dans la formulation d’une pensée à exprimer ou la mise en forme sensible d’un objet à transmettre, tout élément doit trouver sa juste manière pour être partagé. Avec la nature morte pour tradition, des auteurs s’évertuent à donner à voir. Le commissariat d’exposition s’inscrit alors au cœur de cette préoccupation. Cette perspective m’a hanté au point d’y consacrer un mémoire, et l’ouvrage n’a pas mis fin à l’extrême excitation que la problématique anime, bien au contraire.

Giorgio Morandi par Maria Cristina Bandera à Bozar – Palais des beaux-arts à Bruxelles

Maude Maris à la Galerie Isabelle Gounod à Paris

Haim Steinbach à la White cube Gallery – Mason’s yard à Londres

Wesley Meuris par Florence Ostende à la Galerie Jérôme Poggi à Paris

Mingei : Are you here ? par Nicolas Trembley à la Pace Gallery – Lexington street à Londres

Irene Kopelman par Guillaumes Désanges à la Verrière Hermès à Bruxelles

Une exposition universelle (section documentaire) au Parking -3 et au Musée à Louvain-la-neuve

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Par Michel François & Guillaume Désanges au Musée de Louvain-la-neuve

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

 

De douche, de pilotage, d’ascenseur, d’essayage, de téléphone, de plage, d’audiométrie, de vote, de bronzage. Toujours, une dimension compacte et un usage précis définissent ces habitacles qui isolent leur proie en un milieu où celle-ci peut pleinement se livrer à l’activité concernée. Des artistes plutôt trentenaires fabriquent des environnements pour jouir de leurs images animées bien au-delà de l’écran sur lequel elles s’écrasent. C’est alors une pleine continuité qui relie la surface de projection à son contexte immédiat pour un conditionnement optimal.

Laure Prouvost à la Galerie Mot international à Londres

Studio meublé par Stéphanie Cottin à la Galerie Jérôme Poggi à Paris

Neïl Beloufa par Daria de Beauvais & Gaël Charbau au Palais de Tokyo à Paris

Jean-Baptiste Lenglet à la Galerie Florence Leoni à Paris

Adrien Missika par Caroline Soyez-Petithomme & Jill Gasparina à La salle de bains à Lyon

Histoires de fantômes pour grandes personnes au Fresnoy à Tourcoing

Eija-Liisa Ahtila au Carré d’art – Musée d’art contemporain à Nîmes

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> Jean-Baptiste Lenglet – Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Florence Leoni Paris

Paris grelotte sous les températures hivernales. A Beaubourg, la nouvelle approche du grand expressionniste norvégien fait évènement, et motive quelques expositions parisiennes auxquelles s’agrègent d’autres encore. Les artistes de cette chronique partagent des racines scandinaves. Ces peuples nordiques passionnent, pour les extrêmes qu’ils représentent. En harmonie perpétuelle avec la nature entre Arctique et Occident, ces européens d’une beauté légendaire sont les descendants de sanguinaires barbares tout en cultivant aujourd’hui la réputation de la citoyenneté la plus élégante. Voyons ce que vaut cette caricature.

Norsk à la Galerie Jérôme Poggi et chez Primo Piano à Paris

Edvard Munch – L’oeil moderne par Angela Lampe au Centre Pompidou à Paris

L’univers d’Edvard Munch au Musée des Beaux-Arts de Caen

Pia Rönicke à la galerie gb agency à Paris

Erró à la Schirn Kunsthalle à Frankfurt am Main

Henrik Samuelsson à la Galerie Laurent Godin à Paris

Eva Nielsen à la Galerie Dominique Fiat à Paris

Alors que certains se seront probablement déhanchés pour le réveillon, inaugurons cette année avec une chronique consacrée au corps, offert en représentation. Nu même vêtu, le danseur exclut la parole pour manier un autre langage, avec pour seul phrasé sa présence suspecte, sous nos yeux. Et j’aime beaucoup le projet de commencer notre nouveau calendrier, sous les charmes communément associés à la danse : Vitalité et Raffinement. Il ne s’agira pas ici de rendre compte de spectacles, mais bien de rester attentif aux résonances de ce domaine dans le champs de l’art contemporain, et plus généralement, à la figuration de l’humain en mouvement.

Alex Katz à la Galerie Thaddaeus Ropac à Paris

Jesper Just au Mac/Val à Vitry-sur-Seine

Daniel Larrieu à la Galerie Poggi à Paris

Danser sa vie au Centre Pompidou à Paris

Olaf Breuning au Palais de Tokyo à Paris

Claude Cattelain à la Galerie du Haut-Pavé à Paris

Denis Darzacq à la Galerie Vu’ à Paris

La rentrée a sonné. L’oisiveté tolérée n’est plus d’actualité. Retrouvons ici des artistes qui nous emportent dans la cadence du faire. L’infinitif est le mode de l’action crue. Sans temps, ni personne, c’est la forme nue du verbe. Et l’expérimentation volontaire diffuse une merveilleuse énergie, concentrée aujourd’hui dans le champs de la sculpture et de l’engagement physique qu’elle exige. Partageons cette force intrépide. Car derrière toutes ces productions, demeure une faim immodérée de saisir le présent et d’en être, avec détermination, le filtre qui lui donnera forme.

L’invention de l’œuvre – Rodin et les ambassadeurs au Musée Rodin à Paris

Thomas Houseago au Ciap à Vassivière

Jonathan Binet à la Galerie Gaudel de Stampa à Paris

Neil Beloufa à la Galerie Balice Hertling à Paris

Tracey Emin à la Hayward Gallery au South Bank Center à Londres

Hussein Chalayan aux Arts Décoratifs à Paris

Entre le cristal et la fumée à la Galerie Poggi & Bertoux associés à Paris