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Archives de Tag: Le pavillon populaire

En temps de crise, ça explose. L’exposition frontale d’une entrejambe, bien campée, demeure un message clair. Tout est imposé à l’œil. Un déballage empêche de ne pas regarder. Et de telles formes ont ainsi fait irruption au fil de l’Histoire de l’art, avec une relative cristallisation il y a cinquantaine d’années, pour manifester une urgence. Certain.e.s pensent l’affrontement nécessaire. La violence agit alors par l’ouverture du corps à notre vue.

VALIE EXPORT par Brigitte Huck au Pavillon Populaire à Montpellier

Elsa Sahal | Erik Dietman par la Galerie Papillon la Fiac 2019 à Paris

4fucksakebabes par Jamie Bull à Goswell Road à Paris

Carolee Schneemann chez mfc-michèle didier à Paris

Robert Brambora par Sans titre (2016) pour Paris Internationale 2019 à Paris

I wake up every morning in this killing machine called America à la New Galerie à Paris

Henri Ughetto à l’Enseigne des Oudin à Paris

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Elsa Sahal, Venus polymathe jouissante, 2019 | Courtoisie de la Galerie Papillon (Paris)

Interface de latence, c’est typiquement l’endroit où personne ne veut rester. La seule raison d’y entrer, est d’en sortir. L’aménagement de cette antichambre cherche à installer une tonalité décontractée, bien que tous les efforts pour y parvenir n’aboutissent généralement qu’à l’effet inverse. Une aisance factice règne. Tout va bien.

Dora Budor à la Kunsthalle Basel à Bâle

Lynne Cohen au Pavillon Populaire à Montpellier

En réserve à Angle Art Contemporain à Saint-Paul-Trois-Châteaux

Mireille Blanc par Frédéric Houvert dans la Blackbox du Manoir à Mouthier-Haute-Pierre

Rudolf Stingel à la Fondation Beyeler à Riehen

La Borne, dispositifs de l’œuvre et de l’atelier par Renaud Régnier à la Maison de la Céramique du Pays de Dieulefit

Mohamed Bourouissa pour Les Rencontres d’Arles au Monoprix à Arles

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Dora Budor, The Year without a Summer (Klug’s Field) (détail), 2019 | Courtoisie de l’artiste, crédit photographique Philipp Hänger

Il s’agit plus d’un gang que d’un troupeau, même s’il est difficile de faire abstraction de son aspect animal. Elle regroupe un ensemble d’individus ayant décidé de faire chemin ensemble. C’est l’œil extérieur qui confirme sa tenue. L’observateur lui profite, car la horde affirme plus encore son caractère dans sa traque.

Karlheinz Weinberger par François Cheval au Magasin électrique à Arles

William Gedney par Gilles Mora au Pavillon populaire à Montpellier

Xinyi Cheng à la Galerie Balice Hertling à Paris

Antoine Marquis à la Galerie Rue Antoine à Paris

Dioramas par Claire Garnier, Laurent Le Bon & Florence Ostende au Palais de Tokyo à Paris

Wolfgang Tillmans à La fondation Beyeler à Riehen

David Rappeneau à la Galerie Crèvecoeur à Paris

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William Gedney, Men and boys without shirts sitting and standing around two cars, 1972 – Courtoisie Bibliothèque David M. Rubenstein Rare Book & Manuscript Library at Duke University

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Accorder le terme au féminin pluriel, c’est en faire un gang plus qu’un genre. Imaginons une meute déterminée à s’engager pour le meilleur, agissant de toute évidence sur le plan citoyen, bousculant l’ordre politique à l’image de ces modes survenues après la terreur de la révolution française, Les merveilleuses et Les incroyables. Cette fois, nos justicières luttent contre la vulgarité. Elles s’activent pour inventer un modèle alternatif et affirmer le chic pour norme. Grâce, harmonie et finesse déterminent la qualité d’un goût qui s’oppose à la grossièreté.

Louise Dahl-Wolfe par Oliva María Rubio au Pavillon populaire à Montpellier

Megan Clark par Jimena Mendoza à la Národní galerie – Veletržní palác à Prague

Richard Healy à Tenderpixel à Londres

That cool decline par Barbara Sirieix & Emilie Renard à Occidental temporary à Villejuif

Julie Béna par la Galerie Joseph Tang à Sunday art fair à Londres

Vogl par Edith Jeřábková chez Hunt Kastner à Prague

Liz Magor par Claire Le Restif & Nigel Prince au Crédac à Ivry-sur-seine

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Jean-Charles de Quillacq, Le garçon comme ma sœur que je suis, 2015 – Courtoisie de l’artiste et de Marcelle Alix, crédit photographique Anatole Barde

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Face à l’immensité qui s’ouvre devant nous, les superlatifs ne suffisent jamais à décrire un sentiment que les artistes cherchent, et parfois réussissent, à représenter. Cette béance, temporelle, spatiale, ou d’une dimension moins rationnelle encore, surgit aux détours des sentiers. Elle est pure démesure, hors de portée. Dans l’extase et effroi, reste le monde et soi.

Hans Hartung par Fabrice Hergott au Pénitents noirs et au Musée de la légion étrangère à Aubagne

Sublime au Centre pompidou – Metz à Metz

Painting with light à la Tate britain à Londres

Elina Brotherus au Pavillon populaire à Montpellier

Le cabinet des merveilles au Mamcs – Musée d’art moderne et contemporain de Strasbourg

Overlay à White rainbow à Londres

Samara Scott à la Pump house gallery – Pleasure garden fountains à Londres

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Elina Brotherus, Der wanderer 2, photographie, 2004 – Courtoisie de l’artiste et de la galerie gb agency

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