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Archives de Tag: Sorry We’re Closed

Il existe des physionomies qu’on façonne à la tronçonneuse. Elles se donnent de front, tranchées, et partagent leurs racines avec le trognon, ce qui reste d’un fruit lorsqu’on a enlevé la partie comestible. Leur face est vive, et présente le talent de demeurer écorchée.

Huma Bhabha chez Xavier Hufkens à Bruxelles

Lauren Coullard | Tatiana Defraine par A.Romy et Pierre Poumet à Art-o-rama 2021 à Marseille

Alexej von Jawlensky au Musée Cantini à Marseille

Figures à la Galerie de la Béraudière à Bruxelles

Julie Monot à la Galerie Lefebvre & Fils à Paris

Women in Paris à la Galerie Hussenot à Paris

Julien Meert par Sorry We’re Closed (Bruxelles) à Art-o-rama 2021 à Marseille

be05e3ee-87b6-49bf-c9e2-c6fa5f3028afHuma Bhabha, Untitled, 127 x 127 cm, ink, acrylic, pastel and collage on paper, 2021 | Courtoisie de l’artiste et Xavier Hufkens (Bruxelles)

Ce treizième signe du zodiaque vient tout bousculer, alors que l’astrologie classique ne le reconnaît pas. C’est toute une culture de l’horoscope qui se voit agacée par un caractère controversé se glissant entre le Scorpion et le Sagittaire. La voûte céleste semblerait plus aisée à diviser par douze. Ainsi par commodité, on ignore tout simplement ce décan. L’existence de cette minorité astrale permet d’inviter un bestiaire élargi à notre lecture du cosmos, peuplé d’allégories et d’animaux-totems qui nous tiennent compagnie depuis là-haut. Née entre le 29 novembre et le 18 décembre, elle serait une personne sage qui recherche la paix et l’harmonie. La mythologie romaine la nomme Serpentaire, représentée par un homme portant un long reptile à bout de bras.

Autumn Ramsey à la Galerie Crèvecoeur à Paris

Off-Nostalg(h)ia chez Super Dakota à Bruxelles

Diane Dal-Pra par Nicolas Poillot à la Galerie Derouillon à Paris

Les fleurs de l’été sont les rêves de l’hiver racontés le matin à la table des anges, opus #2 à la Galerie Praz-Delavallade à Paris

Uplift à la Galerie Xippas à Genève

Oli Epp chez Semiose | Project Room à Paris

Eric Croes chez Sorry We’re Closed à Bruxelles

57537426-477b-47db-949a-8ebc6c169b2bAutumn Ramsey, Bounty, 61 x 51 cm, oil on canvas, 2019 | Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Crèvecoeur (Paris), crédit photographique Tom Van Eynde

En France, il s’agit de l’injonction faite à une personne physique de résider en un lieu déterminé. Elle peut résulter d’une décision civile, pénale ou administrative. Elle peut être ordonnée avec surveillance électronique dans le cadre d’une procédure de convocation par procès verbal ou de comparution immédiate, toutes deux présumées innocentes, avec l’accord ou à la demande de l’intéressé.e, par le juge d’instruction ou par le juge des libertés et de la détention si la personne mises en examen encourt une peine d’emprisonnement correctionnel d’au moins deux ans ou une peine plus grave. Selon le code de l’entrée et du séjour des étranger.e.s et du droit d’asile, cette poursuite pour des non-européen.ne.s en instance d’éloignement dans l’impossibilité de quitter le territoire français ou de regagner son pays d’origine ou de rendre dans aucun autre pays, est décidée par le préfet de département. Selon la loi du 3 avril 1955 sur l’état d’urgence, sa déclaration donne pouvoir au Ministre de l’Intérieur de la prononcer dans le lieu qu’il fixe, de toute personne « à l’égard de laquelle il existe des raisons sérieuses de penser que son comportement constitue une menace pour la sécurité et l’ordre publics ». Sa durée maximale est de douze mois. Au-delà, une prolongation est possible sous certaines réserves.

Jessi Reaves chez Herald St à Londres

At Home à la Galerie Valentin à Paris

Giuliana Zefferi à Bikini à Lyon

Multiple visions chez Sorry We’re Closed à Bruxelles

Sculpture-Lampe à Soft Opening à Londres

Candida Höfer | Hiroshi Sugimoto | Thomas Ruff à la Charles Riva Collection à Bruxelles

Ludwig Mies van der Rohe avec la Villa Tugendhat à Brno

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Nevine Mahmoud, Illuminated Leg, 71 x 20 x 23 cm, glass, aluminium hardware, lighting, wires, 2019 | Courtoisie de l’artiste et de Soft Opening, crédit photographique Theo Christelis

Ces cadeaux offerts en début d’année, trouvent leur origine dès l’Antiquité romaine. La coutume proviendrait ainsi de quelques branches coupées dans le bois consacré à la déesse Strena, données au roi Tatius qui les interpréta comme un augure favorable. Ce signe résonna dans l’Empire, transformant de manière exponentielle les brindilles porte-bonheur en figues, dattes, miel, vêtements, objets, meubles puis pièces d’argent. Condamnée comme pratique diabolique par l’Église, considérée par la Révolution française comme une forme de corruption, cette tradition ne semble subsister que régie par une codification sociale très encadrée. De quoi partager ici avec vous quelques pépites n’ayant trouvé leur chronique en fin d’année passée.

Brian Rochefort chez Sorry We’re Closed à Bruxelles

CRMCS#1 par Kris Campo à la Galerie Zwart Huis à Bruxelles

Anne Marie Laureys à la Jason Jacques Gallery à New York

Gabriel Hartley chez Seventeen à Londres

Phyllida Barlow chez Hauser & Wirth New York 22nd st à New York

Le centre ne peut tenir à Lafayette Anticipations à Paris

Ken Price à la Matthew Marks Gallery à New York

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Brian Rochefort, Venus, 2018 – Courtoisie de l’artiste

Il y a cent ans, l’humanité sortait choquée, meurtrie, d’une guerre qui ne fut pas la dernière. L’art bien-sûr, n’en restait pas indemne, alors que des séries de réformes plastiques se bousculaient. La figure masculine elle, demeure blessée. Alors que beaucoup pense encore que le conflit fait rayonner le mâle par sa caricaturale compétence à combattre, cette situation n’est qu’une crise de plus à gérer, pour les mecs eux-même. Leur corps est tronqué. Leurs arrêtes coupent. Leur image éclate.

Roger de la Fresnay à Musée municipal Paul-Dini à Villefranche-sur-Saône

Paul Mpagi Sepuya par Del Vaz Projects pour Paris Avant Première chez David Giroire à Paris

Fred Sandback à la Galerie Marian Goodman à Paris

Le Cubisme au Centre Pompidou à Paris

Julien Meert à Sorry We’re Closed à Bruxelles

Folkert de Jong à la Galerie Valentin à Paris

Pablo Picasso au Museu Picasso à Barcelone

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Paul Mpagi Sepuya, Untitled, 35.5 x 43.1 cm, color laserprint collage on Strathmore Bristol paper, 2018 – Courtoisie de l’artiste