On les dit déchaînées, passionnées, colériques. La mythologie romaine les compte par trois, instrument de la vengeance divine. Une violence flagrante dictent leurs humeurs, exprimées en de fulgurants accès indélébiles. Imaginons-les aussi hors de toute frénésie.
Leonor Fini par Francesco Vezzoli chez Tommaso Calabro à Milan
Surrealism and Magic: Enchanted modernity par Gražina Subelytė à la Peggy Guggenheim Collection à Venise
Toyen par Annie Le Brun au Musée d’art moderne de Paris à Paris
The Milk of Dreams par Cecilia Alemani au Pavillon central et à l’Arsenale à la Biennale de Venise
Miriam Cahn par Alberto Salvadori & Luigi Fassi à la Fondazione ICA Milano à Milan
Zsófia Keresztes par Mónika Zsikla au Pavillon de la Hongrie à la Biennale de Venise
Elizabeth Glaessner au Consortium à Dijon
Miriam Cahn, kriegerin/gigantin, 30.03.2011, 270 x 200 cm, huile sur toile, 2011 | Courtoisie de l’artiste et des galeries Meyer Riegger (Berlin, Karlsruhe) et Jocelyn Wolff (Paris)