archive

Archives de Tag: Galerie gb agency

Un changement de temps s’annonce. Et on s’en approche. Précipitation et précipitation. Les frimas s’accompagnent d’un trouble de la vision, isolant les choses les plus proches, et avalant le reste dans la grisaille.

Ritsue Mishima chez Pierre Marie Giraud à Bruxelles

Camera à La BF15 à Lyon

Olu Ogunnaike à gb agency à Paris

Le vent souffle où il veut par Hugo Pernet & Philippe Valentin chez Valentin à Paris

Gisèle Buthod-Garçon à la Galerie Avenir à Paris

Andrea Büttner chez Jan Mot à Bruxelles

Sophie Ko à la Galerie East à Strasbourg

base importée 2003Emmanuelle Castellan, Eyes shadows, 30 x 20 cm, huile sur toile, 2020 | Courtoisie de l’artiste

La fragilité est rarement valorisée au sein d’un environnement compétitif qui perçoit avec difficulté les qualités du gracile, puisse-t-il frôler la grâce. Qu’elles soient d’ailleurs plus ou moins trois, ces contenances élancées invitent traditionnellement à la plénitude de la vie, et malgré les violences que nous nous devons parfois d’exprimer, c’est ici aussi le message toujours véhiculé.

Thomas Cap de Ville à Exo Exo à Paris

Tirdad Hashemi à gb agency à Paris

Jacqueline de Jong au Wiels à Bruxelles

Le corps fait grève par Émilie Renard à Bétonsalon à Paris

Thomas Liu Le Lann chez Xippas à Paris

the many faced god·dess par Thomas Conchou à la Maison Populaire à Montreuil

Claude Eigan par Thomas Conchou à Artemis Fontana à Paris

Tarek Lakhrissi, The Art of Losing (extrait), 1’35, scène 3D et cadre en métal, 2021 | Courtoisie de l’artiste et de la galerie VITRINE (Londres, Bâle), production Maison populaire (Montreuil), réalisation 3D par Sybil Montet, scrying TM, musique par Fatma Pneumonia, crédit photographique Aurélien Mole

Les oiseaux exploitent une fascinante inventivité pour fabriquer leur foyer en fonction des contextes dans lesquels ils se nichent. Les animaux s’immiscent ainsi dans une diversité d’environnements parfois extrêmes, pour réussir à y instaurer des formes d’hospitalité. La construction s’élabore toujours à partir des moyens du bord, naturels ou non, et relève souvent du rite.

Hélène Bertin au Creux de l’enfer à Thiers

Artifices instables par Cristiano Raimondi au NMNM à Monaco

Lucille Uhlrich par Anissa Touati à la Galerie Lefebvre & Fils à Paris

Inside Gallery n°10 par Claude Cartier à Inside Gallery à Lyon

Geoffrey Badel à la Faculté d’Éducation à Montpellier

Un monde à votre image par Gaël Charbau pour la villa Noailles à l’Hôtel des Arts à Toulon

Elené Shatberashvili pour Breeze chez gb agency à Paris

0fd22b84-e901-4f12-86a3-eddef8535042Hélène Bertin, vue de l’exposition « Cahin Caha », Creux de l’enfer (Thiers), 2021 | Crédit photographique Vincent Blesbois

Toujours plurielles, la morale les a catalogué du côté de l’opportunisme. Ces cajoleries ne seraient motivées que pour courtiser. Évidemment orientées vers les jouissances terrestres, elles concernent la chair, et sont de fait automatiquement condamnées par des siècles d’hypocrisie officielle. Célébrons la plénitude des sens, en acceptant tout simplement de se faire plaisir.

Henri Matisse au Centre Pompidou à Paris

Était l’été à la Galerie Françoise Besson à Lyon

Liam Everett à la Galerie Greta Meert à Bruxelles

Picturalité(s) par Aude Cartier à la Maison des Arts à Malakoff

Yannick Langlois pour Breeze chez gb agency à Paris

Emanuele Becheri à la Galerie Bernard Bouche à Paris

Mireille Blanc à la Galerie Anne-Sarah Bénichou à Paris

fa197606-85ad-4c48-89a4-eae51141ddccYannick Langlois, Dream Factory #1, Dream Factory #2, plâtre, laiton, aluminium, peinture en spray, enduit, pâte epoxy, 2020 | Courtoisie de l’artiste, crédit photographique objets-pointus

Une circonstance m’emporta récemment au pied des Alpes, motivé par l’actualité d’un prénom répété. De ce constat sentimental, naît un numéro marqué par les plaisirs d’une peinture chatoyante et du floral sans complexes. Savoir cueillir.

Georgia O’Keeffe au Musée de Grenoble à Grenoble

Forces in nature par Hilton Als à la Victoria Miro gallery à Londres

Pia Rönicke à la Galerie gb agency à Paris

Au sud d’aujourd’hui au Centre culturel Calouste Gulbenkian à Paris

Vittorio Brodmann à la Galerie Truth and consequences à Genève

Hernan Bas à la Galerie Perrotin à Paris

Toute première fois par la Session 25 de l’École du magasin – Chen Ben Chetrit, Georgia René-Worms & Armance Rougiron à l’Esad Grenoble Valence à Grenoble

georgiaaa
2015.12.05 14h33 – Archive personnelle

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

La peau délimite le volume externe de notre contenance. Alors que de rares muqueuse font la transition entre dehors et dedans, des zones d’excitation paramètrent de multiples et troubles territoires d’érogénéité. Par des plaies concrètes, quelques passages comptés ou les projections les plus inventives, une irrésistible énergie pousse à s’immiscer dans les tissus, à pénétrer cet intérieur secret et engageant. Dessin. Désir. Dissection. Art, sexe et science y trouvent une discipline dont l’étude bouscule la bienséance tant toute morale vise à repousser l’intrigue des profondeurs. Nos indiscrétions plongeront pourtant dans une chair passionnée et vibrante.

Il me faut tout oublier par Berlinde de Bruyckere à La maison rouge à Paris

Asger Carlsen à la Galerie Olivier Robert à Paris

Maja Forsslund à la Galerie Vu’ à Paris

Nikhil Chopra au LevelOne à la Galerie gb agency à Paris

La nature et ses proportions à la Galerie Jocelyn Wolff à Paris

Silica à la Galerie Sultana à Paris

Ren Hang à la Nue Galerie à Pantin

Messages envoy&AOk-s-3546

Asger Carlsen, Série Untitled – Hester, 70x48cm, impression pigmentaire, 2011 – Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Olivier Robert, Paris

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

En place de l’accoutumée chronique arlésienne, j’ai décidé cet été d’élargir la géographie de ce focus photosensible pour embrasser l’actualité de notre continent en la matière. Il ne s’agit en rien d’un élan prospectif, d’autres numéros s’en sont chargés et s’en chargeront encore, mais au contraire, d’un constat signifiant la vitalité d’éminentes pointures. Six signatures s’articulent ainsi autour d’un évènement collectif, pour attester l’imagier contemporain que chacun d’entre eux alimente, et titiller le statut documentaire inhérent à tout témoignage visuel.

Wolfgang Tillmans par Beatrix Ruf à l’Atelier de chaudronnerie de la grande halle à Arles

Philip-Lorca diCorcia par Katharina Dohm à la Schirn kunsthalle à Frankfurt-am-main

Elina Brotherus à la Galerie gb agency à Paris

Hirsohi Sugimoto à l’Église Saint-Blaise et à l’Espace Van Gogh à Arles

fALSE fAKES – Vraisfauxsemblants par Joerg Bader au Centre de la photographie à Genève

Ed Ruscha par Christian Müller au Kunstmuseum à Basel

Jochen Lempert par Brigitte Kölle à la Hamburger kunsthalle à Hamburg

Messages envoy&AOk-s-2459
Jochen Lempert, Untitled, tirage argentique, 2010 – © VG Bild-Kunst Bonn

Au cœur de ce numéro, se trouve une exposition collective tamisant la création contemporaine pour manifester une belle récurrence du motif de la paluche. Ce fétichisme bien ciblé, de la masturbation la plus triviale à l’organe d’inscription de la pensée sublimée, est un joli prétexte à la balade thématique, savourant les avantages de la littéralité. Le jeu de cette chronique fut alors de d’enrichir ladite collection en relevant une somme de présentations estimables, figurant la fameuse paume et rendant chaque geste plus liturgique encore.

Maxime Thieffine à la Störk Galerie à Rouen

A common feeling par Murray Guy Gallery à la Galerie gb agency à Paris

Boris Achour à la Galerie Georges-Philippe&Nathalie Vallois à Paris

De nombreuses mains colorées par Emilie Renard au Réfectoire des Nonnes à l’Ensba à Lyon

Michel François au Crac Languedoc-Roussillon à Sète

Niels Trannois à la Galerie Chez Valentin à Paris

Marina Abramović à la Galerie Lia Rumma à Milan

Maxime Thieffine, Le problème du sac à dos, impression, papier, crochet, fil, 2012 –             Courtoisie de l’artiste

Paris grelotte sous les températures hivernales. A Beaubourg, la nouvelle approche du grand expressionniste norvégien fait évènement, et motive quelques expositions parisiennes auxquelles s’agrègent d’autres encore. Les artistes de cette chronique partagent des racines scandinaves. Ces peuples nordiques passionnent, pour les extrêmes qu’ils représentent. En harmonie perpétuelle avec la nature entre Arctique et Occident, ces européens d’une beauté légendaire sont les descendants de sanguinaires barbares tout en cultivant aujourd’hui la réputation de la citoyenneté la plus élégante. Voyons ce que vaut cette caricature.

Norsk à la Galerie Jérôme Poggi et chez Primo Piano à Paris

Edvard Munch – L’oeil moderne par Angela Lampe au Centre Pompidou à Paris

L’univers d’Edvard Munch au Musée des Beaux-Arts de Caen

Pia Rönicke à la galerie gb agency à Paris

Erró à la Schirn Kunsthalle à Frankfurt am Main

Henrik Samuelsson à la Galerie Laurent Godin à Paris

Eva Nielsen à la Galerie Dominique Fiat à Paris

Depuis maintenant une bonne année, il m’est possible de parcourir plus amplement la géographie de l’art contemporain au niveau européen, et les chroniques s’attachent moins à l’actualité stricte de notre capitale. Autant d’expositions continuent pourtant, bien entendu, d’être montées à Paris. Mes florilèges prennent généralement différents critères en considération, car au-delà de la thématique fédératrice, il s’agit de niveler un minimum les goûts et de prendre du recul par rapport à ses seules opinions. Ce numéro vous présentera pour une fois, une sélection particulièrement intime, avec pour principal ciment le simple fait d’exciter ma sensibilité. Les artistes réunis là, partagent une passion pour la disposition et une certaine audace dans l’usage des techniques et matériaux qu’ils associent. Une manière de revenir sur le présent de la scène parisienne, avant la série de foires d’art contemporain qui ouvriront cette semaine.

Monsieur Miroir à la Fondation d’Entreprise Ricard à Paris

Benoît Maire chez Rosascape à Paris

Isa Melsheimer à la Galerie Jocelyn Wolff à Paris

Omer Fast à la Galerie gb agency à Paris

Gerda Steinger & Jörg Lenzlinger au Centre Cultruel Suisse à Paris

L’état de surface aux Instants Chavirés à Montreuil-sous-Bois

Hippolyte Hentgen à l’Emba / Galerie Manet à Gennevilliers et à la Galerie Semiose à Paris

V est un parti politique suédois. V est une série télévisée américaine. V est une boisson raffraîchissante stimulante. V est un roman de Thomas Pynchon. V est le héros d’une bande dessinée. V est un chiffre romain. V est un symbole électrique. V est le sigle distinctif des automobiles immatriculées au Vatican. V est un symbole de victoire. V est un signe de reconnaissance entre motards européens. Mais c’est l’insigne d’une patisserie dijonnaise qui nous permettra d’articuler les sept expositions  sélectionnées cette semaine qui, soit témoignent de l’actualité artistique de la préfecture de la Côte d’Or, soit présentent un artiste dont le nom
contient la lettre V et dont je tenais particulièrement à parler sans pour autant trouver de quoi les rapprocher si ce n’est cette arbitraire décision. Vous reconnaitrez l’élégant graphisme de l’ex-libris sur la devanture de ce commerce qui vous permettra de dévorer une voluptueuse viennoiserie pour
valoriser votre vaillant voyage entre la ville et les voies de la gare TGV

XaVier Veilhan à la Galerie Emmanuel Perrotin à Paris

IVan NaVarro à la galerie Daniel Templon à Paris

Jiří KoVanda à la Galerie gb agency à Paris

Elaine SturteVant au Consortium à Dijon

MattheVV Buckingham au Frac Bourgogne à Dijon

Faudra qu’on en discute demain matin à la Galerie Interface à Dijon

Michael Scott à la Galerie Triple V à Dijon