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Archives de Tag: National portrait gallery

Être fauve passe pour une nécessité. La palette, qu’elle soit composée d’huiles ou d’émaux, devient à outil pour modeler la franchise de la couleur, en surface. Il s’agit d’enflammer. Et mettre notre plaisir en combustion. Une vraie satiété découle de ces productions à la vitalité flagrante.

Howard Hodgkin à la National Portrait Gallery à Londres

Liz Larner à la Galerie Max Hetzler à Paris

Simone Fattal à la Galerie Balice Hertling à Paris

Christian Bonnefoi à la Galerie Campoli Presti à Paris

Icônes de l’art moderne – La collection Chtchoukine à La fondation Louis Vuitton à Paris

Adagio à La BF15 à Lyon

Miriam Cahn à la Galerie Jocelyn Wolff à Paris

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Howard Hodgkin, Going for a Walk with Andrew, 100 x 115 cm, 1995 – Copyright de l’artiste, courtoisie Gagosian gallery, collection Walker Art Center, Minneapolis

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Il est excitant d’envisager la photographie comme médium de la parthénogenèse, s’autogénérant par son principe-même. L’image se regarde. Il s’agit de se reproduire soi, de s’inventer. Et la pronomination ne concerne pas tant ici l’auteur que le procédé. La copie du même culmine dans un égoïsme manifeste. Enfanter seul. Et Vierge, le second roman d’Amélie Lucas-Gary, vient de paraître aux Éditions du Seuil.

The camera exposed au V&A – Victoria and Albert museum à Londres

Christopher Williams à la David Zwirner Gallery à Londres

You are looking at something that never occurred à la Zabludowicz collection à Londres

Double take à Skarstedt à Londres

Akram Zaatari à la National portrait gallery à Londres

James Beckett chez T293 à Rome

Behind the mask, another mask à la National portrait gallery à Londres

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Elad Lassry, Egyptian mau, 2010 – Zabludowicz collection

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Il y a l’étude de l’âme, gouffre sûrement passionnant nécessitant mille pincettes. Nous ausculterons simplement certaines de ses manifestations, ses surgissements, ses vagabondages. Nimbe. Beaucoup s’obstinent à vouloir qualifier l’intangible-même. Qu’elle motive des communications alternatives ou permette de figurer l’aura d’une présence, rayonne la force de la pensée.

Cosa mentale par Pascal Rousseau au Centre pompidou – Metz à Metz

Alberto Giacometti à la National portrait gallery à Londres

Balthus à la villa Medicis à Rome

L’estampe visionnaire au Petit palais à Paris

Visions célestes, visions funestes au Cabinet d’arts graphiques du Mah à Genève

Élodie Lesourd au Casino – Forum d’art contemporain à Luxembourg

Mélanie Matranga au Palais de tokyo à Paris

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Mélanie Matranga, 反复 [Fanfu] Palais de Tokyo, 2015 – Courtoisie de l’artiste et de la galerie Karma international, crédit photographique Aurélien Mole

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Un survol du patrimoine britannique, et de son actuelle visibilité appuyée, suggère la redondance d’un même prénom chez ses maîtres. Ils sont trois à encadrer ce présent numéro. Leurs biographies se succèdent pour teinter consécutivement le dix-neuvième et la modernité que ce siècle manigance. Plusieurs institutions du royaume se gargarisent de la paternité de ces génies sur la culture qu’elles partagent. Nous invoquons aujourd’hui ces engagements radicaux et la virtuosité de leurs expressions pour saisir au mieux un certain esprit anglais soclé, dans la permanence d’une diffusion optimale, par la fougue, la distinction et le mysticisme.

JM William Turner à la Tate Britain à Londres

Jeremy Deller au Turner contemporary à Margate

Love is enough au Modern Art Oxford à Oxford

William Morris à la William Morris Gallery à Londres

Anarchy and beauty – William Morris and his legacy à la National portrait gallery à Londres

Terror and wonder – The gothic imagination à la British library à Londres

William Blake à la Tate Britain à Londres

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William Morris, Tile panel – détail, céramique, 1876 – Présenté par Jeremy Deller au Turner contemporary à Margate, collection Victoria & Albert museum

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Figure mythique et monstrueux travailleur, sa puissance olympienne sait forger mieux que d’autres les matériaux du feu, avec toute l’alchimie que cela implique. Poils et sueur recouvrent un corps capable de merveilles. Baiser de sang. Superbe effort. Cet homme aux mains souveraines est maître de la métallurgie et de l’orfèvrerie, gérant aussi bien la mécanique que le bijou. Robuste. Délicat. Sa facture divine est satisfaction.

Jean-Marie Appriou au Palais de tokyo à Paris

Matthew Barney à la Sadie Coles Gallery à Londres

The real Tudors à la National portrait gallery à Londres

David Altmejd au Musée d’art moderne de la ville de Paris à Paris

The bad shepherd chez Christie’s à Londres

Mario Merz à la Pace Gallery à Londres

Anthony Caro à la Annely Juda fine arts Gallery Londres

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Jean-Marie Appriou, vue de l’exposition Sonde d’arc-en-taupe, 2014 – Courtoisie de l’artiste, crédit photographique Saig Ollivier et coproduction Le vent des forêts

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