archive

Archives de Tag: Herald St Gallery

Il existe une discipline inspectant la constitution chimique ou physique des corps, à travers l’énergie, notamment lumineuse. Une attention est alors portée à l’irradiation des choses. Les apparitions ne sont plus des frousses sépulcrales, mais des graphiques cliniques à étudier. Pas sûr que l’approche scientifique réussisse à définitivement taire tout fantôme.

Fabien Giraud & Raphaël Siboni par Anne Stenne à l’Institut d’Art Contemporain Villeurbane/Rhône-Alpes à Villeurbanne

Des temps liés à la Galerie Chloé Salgado à Paris

Sous le soleil exactement pour Restons Unis à la Galerie Perrotin à Paris

Ludovic Sauvage à la Galerie Valeria Cetraro à Paris

Fun House par Cristina Ricupero au Parc Saint-Léger à Pougues-les-Eaux

Josh Brand pour Condo London 2020 à Herald St à Londres

Aurore Pallet à la Galerie Isabelle Gounod à Paris

7931f154-3119-4d50-a9f5-cd182fb056c2
Shanta Rao, untitled, 156 x 176 x 17 cm, peinture polymère, 2019 | Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Joseph Tang (Paris)

En France, il s’agit de l’injonction faite à une personne physique de résider en un lieu déterminé. Elle peut résulter d’une décision civile, pénale ou administrative. Elle peut être ordonnée avec surveillance électronique dans le cadre d’une procédure de convocation par procès verbal ou de comparution immédiate, toutes deux présumées innocentes, avec l’accord ou à la demande de l’intéressé.e, par le juge d’instruction ou par le juge des libertés et de la détention si la personne mises en examen encourt une peine d’emprisonnement correctionnel d’au moins deux ans ou une peine plus grave. Selon le code de l’entrée et du séjour des étranger.e.s et du droit d’asile, cette poursuite pour des non-européen.ne.s en instance d’éloignement dans l’impossibilité de quitter le territoire français ou de regagner son pays d’origine ou de rendre dans aucun autre pays, est décidée par le préfet de département. Selon la loi du 3 avril 1955 sur l’état d’urgence, sa déclaration donne pouvoir au Ministre de l’Intérieur de la prononcer dans le lieu qu’il fixe, de toute personne « à l’égard de laquelle il existe des raisons sérieuses de penser que son comportement constitue une menace pour la sécurité et l’ordre publics ». Sa durée maximale est de douze mois. Au-delà, une prolongation est possible sous certaines réserves.

Jessi Reaves chez Herald St à Londres

At Home à la Galerie Valentin à Paris

Giuliana Zefferi à Bikini à Lyon

Multiple visions chez Sorry We’re Closed à Bruxelles

Sculpture-Lampe à Soft Opening à Londres

Candida Höfer | Hiroshi Sugimoto | Thomas Ruff à la Charles Riva Collection à Bruxelles

Ludwig Mies van der Rohe avec la Villa Tugendhat à Brno

2c4c3276-a443-4393-b4a7-d5129622898e
Nevine Mahmoud, Illuminated Leg, 71 x 20 x 23 cm, glass, aluminium hardware, lighting, wires, 2019 | Courtoisie de l’artiste et de Soft Opening, crédit photographique Theo Christelis

Il sonne comme une onomatopée, une porte coulissante qui glisse dans le silence velouté d’un vaisseau spatiale ou d’une administration. Il assure une transition. Il permet le passage. C’est un compartiment servant à éviter une communication directe. Il télétransporte. Il nous emporte ailleurs. Outre cet outil architectural, il désigne également une sorte de tamis ainsi qu’un mode de divination. Dans tous les cas, on le traverse.

Eliseo Mattiacci chez Richard Saltoun à Londres

Space Shifters par Cliff Lauson à la Hayward Gallery à Londres

Chloé Serre à La BF15 à Lyon

Diane Simpson chez Herald St à Londres

Heidi Bucher à Parasol Unit à Londres

Doors of Paradise chez Union Pacific à Londres

Benoît Maire chez Meessen de Clercq à Bruxelles

e6a72a50-2514-4d95-abab-88757b426fa1
Heidi Bucher, Borg, 230 x 350 x 100 cm, textile, latex, mother-of-pearl pigments, bamboo, 1976 – © Estate Heidi Bucher, courtoisie Parasol Unit, crédit photographique Benjamin Westoby

Aujourd’hui, c’est par le glissement du doigt sur l’écran que nous déverrouillons nos téléphones ou faisons défiler un diaporama. Pour cela, encore faut-il avoir les mains propres. L’ère tactile nous fait effectuer des chorégraphies dictées par des interfaces électroniques, auxquelles nous obéissons. Nous ne pressons plus, nous effleurons, tout en opérant dans ce cas un mouvement latéral. Avec un certain expressionnisme, la couleur s’étale.

Bernard Frize chez Simon Lee à Londres

Howard Hodgkin à la Gagosian Gallery – Grosvenor Hill à Londres

Adrian Ghenie à la Galerie Thaddaeus Ropac à Paris

En couleurs par Edouard Papet au Musée d’Orsay à Paris

Rachel de Joode à la Galerie Christophe Gaillard à Paris

A forest chez Arcade à Londres

Leslie Vance chez Herald St à Londres

37d664a2-a669-4682-b0f3-06a9ff1c0fce
Howard Hodgkin, Knitting Pattern, 33.7 x 38.7 cm, huile sur bois, 2015-16 – Courtoisie Gagosian Gallery, crédit photographique Lucy Dawkins © Howard Hodgkin Estate

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Bien-sûr, il s’agit toujours de se fabriquer une stature. Il serait dommage d’abandonner l’engagement, et l’esprit politique en général, aux seules œuvres documentaires évitant par principe de s’adresser à notre sensibilité. Mieux vaut alors ne pas toujours dissoudre la chair dans l’information, et rattacher la revendication à des jouissances plastiques flagrantes, aussi.

VALIE EXPORT par Caroline Bourgeois à la Galerie Thaddaeus Ropac à Paris

Elements of Vogue par Sabel Gavaldón & Manuel Segade au CA2M à Móstoles

Michael Armitage à la South London Gallery à Londres

Jules de Balincourt chez Victoria Miro à Londres

Citizen collision – Contre l’architecture par Simon Bergala à l’Ensba Lyon à Lyon

Henrik Olesen à Cabinet à Londres

Jessi Reaves chez Herald St à Londres

fc6341bf-9de2-4ab6-8fdd-4e99b11fd15c
Simon Bergala, Juniperus Chinensis, 80 x 57 x 3 cm, huile sur veste, 2013 – Courtoisie de l’artiste

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Franchise. Évidence. Alors que la facture ne semble par rentrer dans le détail, ces brutalités relèvent d’une réelle sophistication. Pas vraiment approximative et apparemment sans fignolage, la forme se donne, rustre, rude, fruste, enfin à travers tous ces adjectifs dont la prononciation éveille le doute d’une lettre qui manquerait, tant la diction sort grossièrement de notre bouche.

Bram Bogart à la Vigo Gallery à Londres

Lynda Benglis à Frieze Masters à Londres

Michael Dean à Herald St à Londres

William Turnbull à S|2 Sotheby’s à Londres

Bronze age c. 3500 BC – AD 2017 par Hauser & Wirth à Frieze London à Londres

Vincent Barré à la Galerie Bernard Jordan à Paris

Evgeny Antufiev par Emalin à Frieze London à Londres

3cc21ec6-4160-43dd-bbb7-490f7eb6babb
Michael Dean, FUCKSAKE (WORKING TITLE), 200 x 71 x 58 cm, béton renforcé, canettes, papier, cadenas, 2017 – Courtoisie de l’artiste et de Herald St, crédit photographique Andy Keate

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Enfin un petit signe engageant à reprendre son souffle. Cet élément de ponctuation suspend, sans stopper. Elle offre une respiration providentielle. Qu’elle relève d’une calligraphie lyrique ou s’incarne dans des pauses heureuses, elle permet une bouffée appréciée. Quelque part, c’est une apostrophe vagabonde. Son inspiration la caractérise comme l’inverse d’un soupire.

Clément Rodzielski à la Campoli Presti Gallery à Londres

Tia deth par Emalin dans un garage désaffecté à Londres

Marc Desgrandchamps par l’Atelier Michael Woolworth à la Bibliothèque de l’Éns à Paris

Joie de vivre au Palais des beaux-arts à Lille

Vintage prints à la Galerie Alain Gutharc à Paris

Ali Banisadr à la Galerie Thaddaeus Ropac à Paris

Matt Connors à la Herald st Gallery à Londres

clément
Clement Rodzielski, Untitled, 83x60cm, acrylique, feutre détecteur de faux-billet, carton, 2015 – Courtoisie de l’artiste et de la galerie Campoli Presti

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Il est malheureux aujourd’hui encore de lire que la pratique textile serait gouvernée par les dames. Et cela bien-sûr grâce à leur prétendue disposition pour les ouvrages de ce type. Insupportable, pour le genre, pour le tissu, pour tout le monde. Tâchons d’aérer un peu davantage cela, en signalant une actualité qui contredit un tel présupposé. Prenons  du recul sur les caricatures et envisageons plutôt ici comment faire un usage cru de la toile, étirer le flexible, figurer la souplesse.

Alexander Calder à la Omer Tiroche contemporary art gallery à Londres

Losing the compass par Scott Cameron Weaver & Mathieu Paris à la White cube gallery à Londres

Sterling Ruby à la Galerie Gagosian à Paris

Mark Flood à la Modern art – Stuart Shave Gallery à Londres

Jess Fuller à la Herald st Gallery à Londres

Jonathan Binet à la Carl Kostyál Gallery à Londres

Sam Gilliam par la David Kordansky Gallery sur Frieze masters 2015 à Londres

sam
Sam Gilliam, Rondo, 261x365x198cm, acrylique, toile, bois, 1971 – Courtoisie de l’artiste et de la galerie, crédit photographique Mark Blower

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

C’est un fait, un indice, une perspective. La pleine satisfaction est servie ici par une picturalité gourmande, un goût affirmé pour les factures tangibles. Son appétit est déterminé, et n’importe quel autre vœu passe à coté de sa vaillance pour une vague espérance. La délectation qu’elle implique, est motivée par le caractère sensuel des moyens mis en œuvre pour envisager l’expérience de l’art comme un généreux festin. Plaisir.

Lesley Vance à la Galerie Xavier Hufkens à Bruxelles

Julie Beaufils à la Galerie Balice Hertling à Paris

Markus Amm à la Herald st Gallery à Londres

Pieter Vermeersch à la Carl Freedman Gallery à Londres

Sensation et sensualité par Nico Van Hout à Bozar à Bruxelles

Cecily Brown à la Galerie Gagosian à Paris

Samara Scott à The sunday painter à Londres

julie
Julie Beaufils, Baisser les baisers, acrylique, toile, 2014 – Courtoisie de l’artiste et de la Galerie BaliceHerlting, crédit photographique Claire Dorn

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

L’arbre demeure un symbole fort, silhouette de la vie mais aussi résident des forêts qui cachent toujours un mystère sous leurs cimes. Tendre ou pas, son corps offre une masse que l’on sculpte depuis toujours et qui impose un aspect élémentaire même aux factures les plus sophistiquées. Il est la métonymie de la nature et associe en une même entité, la droiture d’un tronc au foisonnement ornemental et diffus du feuillage, ce qui en fait un objet d’étude idéal pour qui veut saisir ces aspects complémentaires de la forme.

L’arbre et le photographe à l’Ensba – Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris

Les Frères Chapuisat au Centre Culturel Suisse et à la Galerie JGM à Paris

If I had eight hours to chop down a tree, (…) au KunstRaum à Riehen

Josh Brand à la Galerie Herald Str à Londres

Into the woods à la Galerie des galeries à Paris

Vincent Boullet à la Galerie Joseph Tang à Paris

Saskia Olde Wolbers à la Galerie Maureen Paley à Londres

 

Enfin : Londres. C’est à la mi-juillet que j’ai pu parcourir pour ma première fois cette excitante capitale, traversée selon la géographie de son actualité artistique. Plus d’une centaines d’expositions ont ainsi été vues en cinq jours. Et mon enthousiasme est loquace. Je le concentrerai donc en deux numéros organisés selon la nature des lieux approchés. En effet, la permanence du mot Gallery est assez déconcertante pour un français habitué à une définition francophone du vocable Galerie. Ainsi, les commerces portent rarement le patronyme de leur responsable, et les institutions affichent souvent dans leur intitulé ce terme ambigu. Pour nous sortir de toute confusion, je partagerai mon investigation en commençant par une sélection d’évènements présentées par des Galleries/Galeries.

Pablo Picasso à la Gagosian Gallery à Londres

Head chez The Approach à Londres

Lara Schnitger à la Modern Art Gallery à Londres

Tony Swaim à la Herald St Gallery à Londres

James White à la Max Wigram Gallery à Londres

Joseph Cornell – Karen Kilimnik à la Sprueth Magers Gallery à Londres

Newspeak : British Art Now I à la Saatchi Gallery à Londres