Divertissement populaire par lequel s’exprime les frustrations généralement comprimées, voilà une occasion où tout est permis puisque les faces sont voilées. Mais elle dépasse aussi le simple calendrier carnavalesque pour devenir une réelle compétence sociale. Le déguisement cache, révèle et bouscule l’ensemble du système des valeurs puisque seules importent les façades, qu’elles soient hypocrisie ou sincérité. Si ce n’est de l’allégresse, la situation peut impulser au contraire de la sidération.
Javier Arbizu pour Generación 2020 à La Casa Encendida à Madrid
Luc Tuymans à la Collection Pinault | Palazzo Grassi à Venise
Cameron Jamie chez Gladstone à Bruxelles
Le Combat de Carnaval et Carême à la Galerie Rodolphe Janssen à Bruxelles
Jean Clerté à la Galerie Pascal Gabert à Paris
Peter Saul à la Galerie Almine Rech à Paris
Jacqueline de Jong par Pippy Houldsworth à Frieze Masters 2019 à Londres
Cameron Jamie, The Secret World of Tears, 35.6 x 25.4 x 17.8 cm, céramique émaillée, 2019 | Courtoisie de l’artiste et Gladstone Gallery (Bruxelles)