Il nous faut trouver une nouvelle manière de nous mouvoir. Diverses voix s’élèvent depuis toujours contre les pressions normatives. Elles ont trouvées des échos dans des évolutions récentes, forcément fragiles, au sein des sociétés. Le climat actuel raye l’élan de diversités auxquelles nous aspirons, prenant la santé comme prétexte pour promouvoir des valeurs réactionnaires, relativement bien acceptées car annoncées comme unique perspective sous la menace. Alors on nous contraint à marcher droit. Je crois en d’autres locomotions.
This is the rhythm of the night à la Galerie Edouard Escougnou à Paris
Patrick Staff à la Serpentine Sackler Gallery à Londres
Abbieannian Novlangue par Extramentale à la Galerie Sultana à Paris
Claire Guetta par Glassbox-Sud à la Halle Tropisme à Montpellier
Patricia Domínguez par Rafa Barber Cortell à CentroCentro à Madrid
I’m from nowhere good par Thomas Conchou à la Maison Pop à Montreuil
Soufiane Ababri | Apolonia Sokol par The Pill (Istanbul) à ARCOmadrid à Madrid
Jean de Sagazan, The last dance 5.1, 58 x 47 cm, encre et gouache sur coton, 2019 | Courtoisie de l’artiste