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Archives de Tag: Luma Arles

On y construit rien. Des zones entières sont à revalorisées alors que les autorités ont décidé de les exclure des perspectives de la civilisation. Toute intention y est restreinte voire interdite. Cette limitation de droit se pratique également en législation miliaire afin de sécuriser un pourtour. Enjambons les servitudes.

Stéphanie Cherpin par Paul Bernard au Mamco à Genève

Brise Breath Breeze par Géraldine Gourbe à Mécènes du Sud Montpellier-Sète-Béziers à Monptellier

Dana-Fiona Armour par Stéphane Ibars à la Collection Lambert à Avignon

Contre-Nature par Caroline Chabrand & Vincent Honoré au MO.CO. Panacée à Montpellier

Globalisto par Mo Laudi au MAMC+ Saint-Étienne à Saint-Priest-en-Jarez

Arthur Jafa à Luma Arles à Arles

Julien Creuzet à Luma Arles à Arles

e33c0d04-d6fe-3629-6c67-2c6ade52cb78Vertigo, Fontaine, grès émaillé, 2022 | Courtoisie des artistes, crédit photographique Nicolas Brasseur

Nous passons notre temps à caresser des machines. La peau passe ainsi sur le métal, et génère un érotisme de contact. Ainsi pour naviguer, trivialement sur un bateau mais partout et tout le temps au final, on touche un appareillage froid. Les frictions éveillent sûrement des magnétismes qui restent à étudier. Il est croustillant de développer cette excitation jusqu’au culte argentique, fruit d’une pellicule sensible célébrée par les substances métalliques.

Ilya Lipkin chez High Art à Arles

Masculinités par Alona Pardo aux Rencontres d’Arles 2021 à Arles

Marion Scemama à la New Galerie à Paris

La Face cachée de l’Archive à Luma Arles à Arles

Alexandre Khondji par Julie Boukobza pour Luma Arles à Arles

Robert Mapplethorpe par Jean-Marc Bustamante chez Ropac à Paris

Rafik Greiss chez Balice Hertling à Paris

10797f93-fd57-a13f-df92-2843daea050fKarlheinz Weinberger, Horseshoe buckle in KHW studio, 32 x 32 cm, selenium toned silver gelatin print, 1962 | Courtoisie Esther Woerdehoff (Paris) © Karlheinz Weinberger

Des transformations sont en cours. Et le changement dépasse largement les seuls contours climatiques. L’anthropocentrisme paraît bien vétuste dans un contexte où s’opère une flagrante translation. Le détail indélébile que l’humanité représente, s’inscrit au sein d’un immense vortex. Un nouveau romantisme nous invite à en contempler les parages.

Damien Fragnon au Crac Occitanie à Sète

La vie à elle-même par Flora Katz au Centre international d’art et du paysage à Vassivière

Pierre Huyghe à LUMA Arles à Arles

Shanta Rao par Eloise Sweetman à Treignac Projet à Treignac

David Douard à la Galerie Chantal Crousel à Paris

Patrick Crulis à Rossicontemporary à Bruxelles

Anita Molinero au Centre d’art bastille à Grenoble

15745417-1836-01ee-4a6f-169b31c53bb7Pierre Huyghe, After UUmwelt, reconstruction de réseaux de neurones profonds, reconstructions d’image profonde matérialisée (verre, résine synthétique, silicone, alliage de cuivre, colophane, minéraux, os, calcium, protéines, sodium, sucre, agar agar, bactéries), réseau contradictoire génératif, reconnaissance faciale, écrans, son, capteurs, cellules cancéreuses humaines (HeLa), incubateur, odeurs, abeilles, fourmis, mycelium, terre, pigment, 2021 | Courtoisie de l’artiste et des galeries Esther Schipper (Berlin), Chantal Crousel (Paris), Marian Goodman (New York) et Hauser & Wirth (London), production LUMA Foundation, crédit photographique Ola Rindal