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Archives de Tag: La Casa Encendida

Divertissement populaire par lequel s’exprime les frustrations généralement comprimées, voilà une occasion où tout est permis puisque les faces sont voilées. Mais elle dépasse aussi le simple calendrier carnavalesque pour devenir une réelle compétence sociale. Le déguisement cache, révèle et bouscule l’ensemble du système des valeurs puisque seules importent les façades, qu’elles soient hypocrisie ou sincérité. Si ce n’est de l’allégresse, la situation peut impulser au contraire de la sidération.

Javier Arbizu pour Generación 2020 à La Casa Encendida à Madrid

Luc Tuymans à la Collection Pinault | Palazzo Grassi à Venise

Cameron Jamie chez Gladstone à Bruxelles

Le Combat de Carnaval et Carême à la Galerie Rodolphe Janssen à Bruxelles

Jean Clerté à la Galerie Pascal Gabert à Paris

Peter Saul à la Galerie Almine Rech à Paris

Jacqueline de Jong par Pippy Houldsworth à Frieze Masters 2019 à Londres


Cameron Jamie, The Secret World of Tears, 35.6 x 25.4 x 17.8 cm, céramique émaillée, 2019 | Courtoisie de l’artiste et Gladstone Gallery (Bruxelles)

Nos intérieurs ouvrent leur espace à ce qui se passe au-delà des murs. Une force centripète cherche à tout vouloir y attirer. Il s’agit de fabriquer la nature ou d’importer le monumental à l’échelle du domestique. Contenir l’extérieur, donne une idée de l’oxymore toujours à l’œuvre dans ces initiatives. Et de l’aspect factice sinon téméraire de leur réalisation.

Alvaro Urbano à La Casa Encendida à Madrid

Mecarõ. L’Amazonie dans la collection Petitgas au MO.CO. Hôtel des collections à Montpellier

Sol Calero par Eric Mangion à la Villa Arson à Nice

Carlos Bunga à la Whitechapel Gallery à Londres

Ian Cheng par Hans Ulrich Obrist pour la Fondazione Sandretto Re Rebaudengo à Madrid

A Shelter in the Folds of the Infinite par Eloi Boucher à Sans titre (2016) à Paris

Lloyd Corporation pour Condo London 2020 chez Carlos/Ishikawa à Londres

Sol CALERO Souvenirs 2020
Sol Calero, Se empeñaban en tapar las grietas, pero las paredes seguían sudando, 2020 | Courtoisie de l’artiste et des galeries Barbara Gross (Munich), ChertLüdde (Berlin) et Crèvecœur (Paris), crédit photographique François Fernandez

L’humain programme. Et les logiciels exécuteraient. Mais il peut y avoir des surprises, et une volupté peut apparaître là où la technologie semblait selon un contraste initial, dénuée d’érotisme. S’il est courant de parler d’intelligence artificielle, il s’agit de considérer ici le potentiel de plaisir associé à la machine. Sans tomber dans le caprice générationnel, il est maintenant entendu d’envisager le numérique sous sa forme liquide. Alors les humeurs inondent.

Adriano Amaral par Galeria Jaqueline Martins pour Condo London 2019 chez Rodeo à Londres

Drowning In a Sea of Data par João Laia à La Casa Encendida à Madrid

Pulpe par Raphaël Brunel à l’ÉMBA Galerie Edouard-Manet à Gennevilliers

Julien Creuzet au Palais de Tokyo à Paris

Tala Madani à Portikus à Frankfurt-am-Main

des attentions par Brice Domingues, Catherine Guiral & Hélène Meisel au Crédac à Ivry-sur-Seine

Daria Martin au Barbican Centre – The Curve à Londres

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Shanta Rao, Sans titre, 140 x 108 cm, peinture polymère et technique mixte sur caoutchouc 2019 – Courtoisie de l’artiste, crédit photographique Margot Montigny