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Archives de Tag: Kadist Art Foundation

C’est une disposition, plus qu’une flemme à proprement parler malgré une relative homophonie. Elle est l’une des quatre humeurs cardinales qui gouvernaient d’après la médecine antique, l’équilibre des corps vivants. Cette sécrétion fondamentale est ainsi associée au tempérament calme. Décontraction et relâchement. Avec la mélancolie, ce sont deux des angles du carré mystique, à tendre vers les plaisirs de la Nature morte. Tout est posé.

Anthony Jacquot-Boeykens à Bikini à Lyon

It’s OK to be K.O. Darling par Hélène Garcia à Under Construction Gallery à Paris

Haim Steinbach chez White Cube – Mason Yard à Londres

giorgio morandi cabrita reis chez Sprovieri à Londres

Mindy Rose Schwartz par Queer Thoughts à la Galerie Balice Hertling à Paris

State (in) Concepts par iLiana Fokianaki à la Kadist Art Foundation à Paris

Laure Prouvost à la Galerie Nathalie Obadia à Paris

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Anthony Jacquot-Boeykens, Dramabiote, 2017 – Courtoisie de l’artiste

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Regardons par la fenêtre, en écartant les lames du store. Les climats de notre planète réagissent à la présence humaine en produisant des conditions nouvelles. Le ciel sort des cases traditionnelles du calendrier qui pensait l’avoir ordonné pour quelques temps encore. Aujourd’hui surgit une météorologie alternative.

Philippe Durand à la Galerie Laurent Godin à Paris

Peindre l’impossible par Philippe Dagen au Musée Marmottan Monet à Paris

Condo 2017 par dépendance chez Maureen Paley à Londres

Le coin de l’œil par Léna Monnier & Josh Ginsburg à la Kadist art foundation à Paris

The squatter par Michael Callies à la Galerie Gaudel de Stampa à Paris

Anna Hulačová par Martin Prudil à la Etc. galerie à Prague

Thomas Huber au Centre culturel suisse à Paris

Solen
Edvard Munch, Le Soleil, 123x176cm, huile, toile, 1912 – Oslo, Munchmuseet

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Après une deuxième partie de XXe siècle irriguée par leur influence en tous points, le monde relativise la suprématie de la boisson gazeuse brune, de la pâte à mâcher, de la souris sympa, et des autres caricatures d’une culture grasse et sucrée, tellement divertissante. Il est important de relever ce que l’on reçoit de la scène artistique américaine, aujourd’hui, à Paris. Et en terme de création aux Etats-Unis, on entend surtout parler des côtes. L’Est et l’Ouest semblent se positionner en concurrence permanente. Atlantique. Pacifique. Des imaginaires très différents existent, en fonction de l’océan qui mouille les terres ricaines. Nous ne les définirons pas précisément ici, mais aurons simplement conscience des bornes qui encadrent ce focus, du lever au coucher du soleil.

Ben Kinmont à la Kadist Art Foundation à Paris

Justine Kurland à la Galerie Frank Elbaz à Paris

Infernal Instincts à la Galerie In Situ – Fabienne Leclerc à Paris

Canada à la Galerie Bernard Ceysson à Paris

California Dreamin à la Galerie Almine Rech à Paris

Transaction Abstraite à la New Galerie à Paris

Richard Prince à la Galerie Gagosian à Paris

Qualité d’une substance qui est astringente, âpre au goût / Sévérité, rigueur dans les mœurs, les actes / Manière d’être, peu affable, excessivement réservée / Politique visant à restreindre la consommation par divers moyens, comme la restriction du crédit, l’aggravation fiscale / Mortification du corps et de l’esprit, qu’une personne s’impose pour faire pénitence, et/ou pour l’amour de Dieu / Rigueur, contrainte / Sévérité, dépouillement, froideur / Simplicité, gravité. J’inaugure avec ce numéro un cycle à la périodicité informelle qui visera à nommer puis développer des notions qualificatives auxquelles je me suis découvert au fil de temps particulièrement sensible. Sans non plus prétendre à formuler la liste exhaustive des critères qui excitent positivement mon jugement,  l’exercice cherchera simplement à mettre en valeur les plus irrésistibles d’entre elles. Celle à l’honneur ici témoigne très clairement d’une volonté à ne pas se tempérer pour plaire au plus grand nombre et ses caractéristiques plastiques radicales fricotent avec la sécheresse du monochrome et affectionnent la brutalité des matériaux nus. Délice.

Pierre Soulages au Centre Pompidou à Paris

Alan Charlton à la Galerie Jean Brolly à Paris

Oscar Tuazon à la Galerie BaliceHertling à Paris

Capturing Time à la Kadist Art Foundation à Paris

Mathieu Lehanneur à la Boutique Issey Miyake Rue Royale à Paris

Guillaume Leblon à la Galerie Jocelyn Wolff à Paris

Réversibilité au Cac Brétigny à Brétigny-sur-Orge