Un peu triste cette fois. Et pourtant il faut savoir exprimer cela aussi. Avec colère peut-être, voilà plusieurs témoignages qui formulent des conséquences graves. La source, le mal, ne sera pas toujours pointée, ni même identifiée parfois. Décombres matériels, victimes humaines. De la destruction, cette sélection en alterne le survol documentaire et la facture viscérale.
After the flash à la Work Gallery à Londres
Wolf Vostell à la Galerie Anne de Villepoix à Paris
Anselm Kiefer à The royal academy of arts à Londres
Ce que raconte la solitude dans le cadre d’Art-o-rama à La friche Belle de mai à Marseille
Joana Hadjithomas & Khalil Joreige par Éric Mangion à La villa arson à Nice
Tracey Emin à la White cube Gallery à Londres
Miriam Cahn au Centre culturel suisse à Paris
Bas Jan Ader, I’m too sad to tell you, film, 1970