Elles constituent un genre à part entière, notamment véhiculé par les émissions télévisuelles qu’on leur consacre. Le petit écran s’affirme ainsi en vecteur de prédilection, apportant à la dimension musicale, un pouvoir visuel. Tout en respectant une frénésie électrique. Leur qualité semble provenir de la diversité en jeu dans leur composition, maîtrisant la chanson, le sketch, la danse, entre autre prestation. Par leur légèreté, on leur demande de divertir. Bien-sûr, tout numéro est toujours plus grave qu’il n’y paraît.
Nina Childress à Iconoscope à Montpellier
Parties, sans éteindre la lumière par Eric Mangion à la Fondation d’Entreprise Ricard à Paris
Aurore-Caroline Marty par le GAC à la Chapelle Sainte-Marie à Annonay
Dracula’s Wedding par Charlie Fox chez Rodeo à Londres
Jonathan Baldock au Camden Arts Centre à Londres
My Head is a Haunted House par Charlie Fox chez Sadie Coles HQ à Londres
Julie Béna par Laura Herman au Jeu de Paume à Paris
Jonathan Baldock, Mask LVI, céramique, 2018 | Courtoisie de l’artiste, crédit photographique Luke Walker