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Archives de Tag: Maison Rouge

Il incarne l’ambition, et fascine pour avoir consommé sa passion au prix de sa vie. Essor et déclin. L’éphèbe jouit de l’ingénierie de son ascendance, qui lui permit d’assouvir son désir d’élévation. Décollage et débandade. Il néglige les recommandations, seulement guidé par sa propre satisfaction. Haut et bas. Il soumet sa condition humaine à une issue fatale. Finalement, peu importe puisque le héros a approché au plus près son idéal.

Sam Gilliam au Kunstmuseum Basel à Basel

Thomas Cole à The National Gallery à Londres

L’envol à La Maison Rouge à Paris

Land of Lads, Land of Lashes par Anke Kempkes à la Galerie Thaddaeus Ropac à Londres

Ed Ruscha à The National Gallery à Londres

Killed Negatives à la Whitechapel Gallery à Londres

Carol Bove chez David Zwirner à Londres

Sam Gilliam; Rondo; 1971
Sam Gilliam, Rondo, 261 x 366 x 198 cm, acrylique sur toile et poutre, 1971 – Collection Kunstmuseum Basel © 2018 ProLitteris Zurich

Le numéro complet est disponible sur abonnement – Full issue on subscription

Plusieurs initiatives visent à reconsidérer les récentes décennies de l’art en France. Autant la peinture des années soixante a fini par trouver son public à l’international et connaît actuellement une vraie consécration. Mais les autres pans de la création nés dans le sillon de mai 68, restent encore à institutionnaliser. Cela commence par une reconnaissance au sein même du pays, permettant de se gargariser de certains élans.

Michel Journiac par Françoise Docquiert & Pascal Hoël à la Mep à Paris

L’esprit français par Guillaume Desanges & François Piron à La maison rouge à Paris

ORLAN par Jérôme Neutres & Jean‐Luc Soret à la Mep à Paris

Frigo generation 78/90 au Mac – Musée d’art contemporain à Lyon

Bertrand Lavier à la Galerie Almine Rech à Paris

Truchement au Consortium à Dijon

Philippe Parreno à la Tate Modern à Londres

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Michel Journiac, Hommage au Putain Inconnu, 1973 – Archiv Acquaviva, Berlin

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L’humanité entière y fourmille. La quantité y est un motif. Cette imagerie du commun, sacrifie les individualités pour mieux célébrer les masses. Et tout fragment n’existe que par le tout auquel il participe. La présente chronique s’ancre dans un constat qui s’est épaissi au fil de mes visites du festival arlésien de photographie. Sur la cinquantaine d’expositions qui constitue l’actuelle édition, plusieurs étaient consacrées à des initiatives privées obsédées par la répétition du même. Là et ailleurs, cette passion pour le très grand nombre, doit trouver ses mises en forme propres. Il s’agira de rester attentifs à la manière dont les essaims, grappes et nuées réussissent à rentrer dans le cadre.

Foule au Palais de l’archevêché à Arles

Le panorama, miroir de la bureaucratie céleste au Bureau DesLices à Arles

Typologie, taxinomie et classement sériel par Brian Wallis à l’Espace van Gogh à Arles

Small universe par Erik Kessels à l’Atelier de chaudronnerie à Arles

Le mur à La maison rouge – Fondation Antoine de Galbert à Paris

Gérard Traquandi à la Galerie Laurent Godin à Paris

Poteaux et taureaux par Olivier Cablat & Sebastian Hau pour Cosmos à La muleta à Arles

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Bernd & Hilla Becher, Gravel plants, 1988-2001 – Courtoisie des artistes et Sonnabend Gallery, Collection Walther

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La peau délimite le volume externe de notre contenance. Alors que de rares muqueuse font la transition entre dehors et dedans, des zones d’excitation paramètrent de multiples et troubles territoires d’érogénéité. Par des plaies concrètes, quelques passages comptés ou les projections les plus inventives, une irrésistible énergie pousse à s’immiscer dans les tissus, à pénétrer cet intérieur secret et engageant. Dessin. Désir. Dissection. Art, sexe et science y trouvent une discipline dont l’étude bouscule la bienséance tant toute morale vise à repousser l’intrigue des profondeurs. Nos indiscrétions plongeront pourtant dans une chair passionnée et vibrante.

Il me faut tout oublier par Berlinde de Bruyckere à La maison rouge à Paris

Asger Carlsen à la Galerie Olivier Robert à Paris

Maja Forsslund à la Galerie Vu’ à Paris

Nikhil Chopra au LevelOne à la Galerie gb agency à Paris

La nature et ses proportions à la Galerie Jocelyn Wolff à Paris

Silica à la Galerie Sultana à Paris

Ren Hang à la Nue Galerie à Pantin

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Asger Carlsen, Série Untitled – Hester, 70x48cm, impression pigmentaire, 2011 – Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Olivier Robert, Paris

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Et comment pourrait-elle ne pas l’être ? Il s’agit bien toujours d’un ensemble original qui témoigne autant du goût que du porte-monnaie d’une personnalité, entre être et avoir. Plus singulière que juste privée, la voilà frontalement opposée au fonds public. Alors que le second relève de la mission citoyenne, notre sujet affirme un choix, développe un engagement inscrit selon le cas entre l’humanisme existentiel et la propriété stratégique. Faisant ici volontairement l’impasse sur les déballages de François Pinault à La conciergerie cet hiver ou Bernard Magrez à Dinard l’été passé, ce numéro revient sur le patrimoine de sept hommes d’horizons variés. Le metteur en scène Robert Wilson, le joueur David Walsh, les artistes Sol LeWitt, Jim Shaw et Mathieu Mercier, le publicitaire Joseph Kouli ainsi qu’un américain dont nous ne saurons rien d’autre, ont tous choisis de conditionner leurs activités respectives par l’acquisition. Constatons que l’exposition de tels corpus reste problématique, tiraillée entre la reconstitution obscène ou le catalogage désaffecté, pour toujours peiner à partager le cœur-même de ces merveilleuses initiatives. Exhibition. Protectionnisme.

Living rooms dans la Salle de la chapelle au Musée du Louvre à Paris

Théâtre du monde par Jean-Hubert Martin à La maison rouge à Paris

Un artiste et ses artistes au Centre Pompidou à Metz

The hidden world au Chalet society à Paris

An american in Paris à la Galerie Gagosian au Bourget

Monochromes & readymades à Micro-onde à Vélizy-villacoublay

(29/10/06-15/02/13) à Mains-d’oeuvres à Saint-ouen puis à la Galerie Florence Loewy à Paris

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Clément Rodzielski, Témoin, 2013 – Collection Joseph Kouli

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Avec pour même fonction que celle du cadre, appliquée aux trois dimensions, voilà un équipement dont la bienséance veut qu’il disparaisse au profit de l’œuvre qui l’assujettit. Outil d’ostentation, ce dispositif figure alors le contexte-même de la sculpture, son ancrage, parfois même sa légitimité. L’histoire de l’art montre combien il fut instrumentalisé, et l’insoupçonnable pouvoir que le piédestal détient, dans l’affaire du Ready-made particulièrement. Il n’est donc pas surprenant d’observer qu’un retournement de situation place notre volume au cœur de l’attention, lui offrant une visibilité usurpatoire.

Didier Vermeiren à La Maison Rouge à Paris

Eléonore Cheneau par Nathalie Viot à l’Espace 9 Cube à Paris

Florian Bézu à la Galerie Florence Loewy à Paris

Alex Israel à la Galerie Almine Rech à Paris

Bertrand Lavier au Centre Pompidou à Paris

Out of- ___ (Paris) par Leila Khastoo à la Galerie Dohyang Lee à Paris

Peter Fischli & David Weiss à la Galerie Sprueth Magers à Londres

> Eléonore Cheneau, Sans titre, terre, glycéro, peinture aérosol, 2009-12 – Courtoisie de l’artiste

Il y a un siècle en 1912, un physicien français eut l’idée de contenir sous tension un gaz rare dans un tube de verre. Il applique cette invention quelques années plus tard en réalisant les premières enseignes lumineuses telles qu’on les connait, éclairant la nuit citadine de messages promotionnels. Cet anniversaire est l’occasion de revenir sur l’usage grandissant de ce matériau au cours de la seconde moitié du XXe siècle jusqu’à devenir aujourd’hui encore, un exercice de style pour tout sculpteur émergeant. Systématique ou anecdotique, sa présence a progressivement colonisé c’est vrai, les expositions d’art contemporain. Sa plastique séduisante happe facilement les attentions volatiles, mais sa redondance semble aussi agacer certaines sensibilités comme le feraient des publicités intempestives.

Néon, who’s afraid of red, yellow and blue ? par David Rosenberg à La Maison Rouge à Paris

Lux perpetua à la Galerie Kamel Mennour à Paris

Dan Flavin à la Galerie Emmanuel Perrotin à Paris

Børre Sæthre par Clément Minighetti au Mudam à Luxembourg

Thomas Lélu à la Galerie Vincenz Sala à Paris

Vittorio Santoro par Daniel Kurjakovic à la Fondation d’entreprise Ricard à Paris

Medium Kelly à la Galerie Torri à Paris

> Simon Nicaise, Et un néon de plus, néon, 2011

Avec l’odorat, le goût est relégué à une sensibilité plutôt animale. Renifler, lécher ou croquer relèvent d’un rapport au corps qui n’existe que par l’ingurgitation. Et des protocoles parfois extrêmement sophistiquées n’ont eu de cesse d’encadrer le rituel du repas pour l’éloigner au maximum de l’aspect sauvage que son caractère vital lui confère indéniablement. Même s’il faut différencier l’action de manger de celle de goûter, il n’en demeure qu’une abstinence gustative compromettrait la survie.

Seth Price à la Galerie Chantal Crousel à Paris

Food Design, aventures sensibles au Lieu du Design à Paris

Hungry Eyes au FoMu à Anvers

Tous cannibales par Jeanette Zwingenberger à la Maison Rouge à Paris

Olga Kisseleva à La Criée à Rennes

Martin Bruneau à la Galerie Isabelle Gounod à Paris

Convivio ou la plastique culinaire à Micro-Onde à Vélizy-Villacoublay

Une série d’exhibitions m’a récemment réconcilié avec le médium vidéographique, format qu’il m’a toujours été laborieux d’approcher, fuyant les projections approximatives qui se suffisent trop souvent de l’écrasement d’un faisceau sur un écran ou d’un téléviseur dont la présence physique est davantage subie que manifeste. Heureusement, quelques artsites se soucient sérieusement du contexte de diffusion de leurs oeuvres dans lesquels la vidéo représente plus un outil qu’un résultat. Finalement, ils formulent des environnements entiers, englobant notre sensibilité pour mieux la conditionner à une réceptivité optimale.

Céleste Boursier-Mougenot à La Maison Rouge à Paris

Le Gentil Garçon à Faux-Mouvement à Metz

Michael Snow à la Galerie Martine Aboucaya à Paris

Esther Shalev-Gerz au Jeu de Paume à Paris

Das Plateau à Mains d’Oeuvres à Saint-Ouen

Isabelle Cornaro à la Galerie Balice Hertling à Paris

Ariane Michel à la Fondation d’Entreprise Ricard à Paris

L’actualité politique de l’Iran cristallise l’attention des médias depuis plusieurs semaines, affirmant un esprit révolutionnaire par la protestation d’une partie de la population défendant l’intégrité de son droit de vote. Simultanément dans une galerie parisienne, s’ouvre la troisième notable exposition de groupe consacrée aux artistes iraniens, depuis le début de l’année dans notre capitale. C’est l’occasion de revenir sur une série de manifestations tant monographiques que collectives qui participent depuis quelques mois à offrir une visibilité accrue à la scène artistique iranienne, indigène ou expatriée. Annoncée par le film Persepolis de Marjane Satrapi qui vulgarisa généreusement l’histoire récente de l’Iran sous l’angle d’une autobiographie au graphisme radical, l’engouement pour la culture perse, ses traditions et sa modernité, bousculée par une succession de régimes, fut d’abord initiée dans son acceptation contemporaine par quelques institutions étrangères, ailleurs. Paris s’est rattrapé, avec cette série d’évènements qui fleurirent pendant le printemps dont voici ici la sélective rétrospective.

Heydar Ghiai à la Cité Internationale Universitaire à Paris

Raad o Bargh à la Galerie Thaddaeus Ropac à Paris

Behdjat Sadr à la Galerie Frédéric Lacroix à Paris

Ghazel par Léonor Matet dans le Vestibule de la Maison Rouge à Paris

Aryanpour – Hassanzadeh – Emad – Morshedloo – Rahbar à la Galerie Ghislaine Hussenot à Paris

Raha Raissnia à la Galerie Xippas à Paris

L’Iran sans frontières à la Galerie Almine Rech à Paris

Genre littéraire merveilleux propre à enchanter le lecteur, le conte injecte du fantastique dans une intrigue initialement naïve. Il m’intéresse cette semaine de nous faire éprouver une sélection d’expositions de sensibilité plutôt féminine répondant aux critères de cette forme narrative qui rapporte des aventures imaginaires, témoignant d’univers précieux dont les détails ont été méticuleusement façonnés pour optimiser notre immersion fantaisiste. Il s’agira toujours de narrer des contrées fabuleuses peuplées de personnages extravagants, de raconter des histoires proposant plusieurs degrés de lecture, de la bienveillance à la cruauté.

Marie Hendriks à Mains d’Oeuvres à Saint-Ouen

Ray Caesar à la Galerie Magda Danysz à Paris

Ursula Kraft à la Maison des Arts à Malakoff

Benedetta Mori Ubaldini à la Fat Galerie à Paris

Mika Rottenberg à la Maison Rouge à Paris

Songe d’une nuit d’hiver à la Galerie Jousse Entreprise à Paris

Ludivine Caillard à la Galerie des Galeries à Paris

Novembre oblige, nous commencerons par aborder notre hebdomadaire propos à travers le médium photographique. Mais l’actuel prétexte thématique est autre : il s’agira de concentrer son attention sur ce qu’en strict germain j’amalgamais comme la création contemporaine espagnole alors que les artistes qui la composent, qui certes partagent sûrement quelque ancêtre colon de la péninsule ibérique, sont originaires d’un vaste territoire s’étendant de Barcelone à Salavador de Bahia, zone d’un incompréhensible exotisme pour moi, ce qui mérite et motive donc bien au moins une chronique pour mieux cerner les diversités qui rayonnent aujourd’hui d’un même historique barbare héritage.

Jordi Colomer au Jeu de Paume à Paris

Gerardo Custance à la Galerie Polaris à Paris

Usages de l’ombre et de l’arc-en-ciel à la Maison de l’Amérique Latine à Paris

Mexico : expected / unexpected à la Maison Rouge à Paris

Damian Ortega au Centre Pompidou à Paris

Seja Marginal, Seja Heroi à la Galerie Georges-Philippe&Nathalie Vallois à Paris

José Damasceno à l’Espace Topographie de l’Art à Paris

Le mois d’août voit la grande majorité des galeries suspendre leur programmation pour un congé annuel. Nous aurons donc à chercher l’art contemporain ailleurs, hors-les-murs. C’est cet extérieur qui motive le contenu de ce numéro, via une sélection d’expositions qui jouent directement avec sa notion physique de par leur situation ou interrogent l’idée d’exteriorité à travers sa figuration. Que ce soit par sa présentation ou sa représentation, le dehors permettra toujours de prolonger la perspective vers le reste du monde, plus loin que les cimaises qui contiennent habituellement son point de fuite, dans une confrontation plus ouverte, espace ménagé entre deux intérieurs, l’autre et soi.

L’esprit des lieux au Domaine départemental de Chamarande

Andrea Blum à la Maison Rouge à Paris

César à la Fondation Cartier à Paris

Yayoi Kusama à la Grande Halle de la Villette à Paris

Gérard Deschamps aux Arts Décoratifs à Paris

Peter Doig à l’Arc / Mamvp à Paris

Miroslav Tichy au Centre Pompidou à Paris

Du Flamenco ensorcelé au spiritisme en passant par l’accès à l’inconscience qu’accorde le sommeil, ce sombre numéro s’approchera d’une création assujettie à des puissances irrationnelles, envoûtée par le charme de l’inexplicable. Nous essayerons de cerner ce qu’attire l’artiste dans une configuration où il se déresponsabilise, partiellement du moins, de l’acte démiurgique en revendiquant l’asservissement à une force occulte, esprit, rêve ou désir.

La Nuit Espagnole au Petit Palais à Paris

Promenades insomniaques au Passage de Retz à Paris

Laurence Demaison à la Galerie Esther Woerdehoff à Paris

Traces du Sacré au Centre Pompidou à Paris

Hilma af Klint au Centre Culturel Suédois à Paris

Les Inspirés à la Maison Rouge à Paris

Fables du doute à La Galerie à Noisy-le-Sec

Issu du vocubulaire photographique, le mot « cliché » désigne originellement le phototype négatif à partir duquel on peut tirer un grand nombre d’épreuves positives. Ancré historiquement dans le lexique de l’image, on comprend ainsi le sens courant qu’on lui attribue aujourd’hui, élément visuel répété encore et encore pour créer un stéréotype à l’échelle d’une culture jusqu’à devenir un adjectif synonyme de poncif. Au-delà du caractère dépréciatif parfois associé à ce qu’il représente pour les raisons qui font sa force, le cliché reste le témoin d’un partage, signe unificateur puisque chacun le reconnaît comme tel. Envisagé comme un code, nous verrons à travers la sélection de cette semaine comment les artistes se l’approprient, le bousculent, le confortent ou le créent.

Olive Martin à la Galerie Maisonneuve à Paris

Valérie Belin à la Mep – Maison Européenne de la Photograhie à Paris

Yasumasa Morimura à la Galerie Taddaeus Ropac à Paris

Yan Lei à la Galerie Paul Frèches à Paris

Guy Limone  à la Galerie Emmanuel Perrotin à Paris

Pilar Albarracín à la Maison Rouge à Paris

Des jeunes gens mödernes à la Galerie du Jour à Paris

Le vertige physiologique résulte d’une différence de perception entre la vue et le système vestibulaire situé dans l’oreille interne. Nous retiendrons que ce trouble perceptif naît d’un conflit entre deux sources d’informations, entre ce que l’on voit et ce que l’on ressent. Cette notion est fortement associée à l’appréhension de l’espace et particulièrement celle du vide,  c’est-à-dire de l’espace nu, disponible, offert. Nous nous concentrerons cette semaine sur des propositions artistiques qui bousculent notre rapport à la spatialité en instaurant divers dispositifs de présentation ou de représentation.

Gregor Schneider  à la Maison Rouge à Paris

Permutations / 40 artistes – 01 musée vide au Musée de Valence

Geroges Rousse à la Galerie RX et à la Mep à Paris

João Paulo Serafim au Centre Culturel Calouste Gulbenkian à Paris

Philippe de Gobert  à la Galerie Aline Vidal à Paris

Patrice Ferrasse sur http://www.chez-robert.com

Richard Serra au Grand Palais et dans le Jardin des Tuileries à Paris