archive

Archives Mensuelles: septembre 2020

Ce treizième signe du zodiaque vient tout bousculer, alors que l’astrologie classique ne le reconnaît pas. C’est toute une culture de l’horoscope qui se voit agacée par un caractère controversé se glissant entre le Scorpion et le Sagittaire. La voûte céleste semblerait plus aisée à diviser par douze. Ainsi par commodité, on ignore tout simplement ce décan. L’existence de cette minorité astrale permet d’inviter un bestiaire élargi à notre lecture du cosmos, peuplé d’allégories et d’animaux-totems qui nous tiennent compagnie depuis là-haut. Née entre le 29 novembre et le 18 décembre, elle serait une personne sage qui recherche la paix et l’harmonie. La mythologie romaine la nomme Serpentaire, représentée par un homme portant un long reptile à bout de bras.

Autumn Ramsey à la Galerie Crèvecoeur à Paris

Off-Nostalg(h)ia chez Super Dakota à Bruxelles

Diane Dal-Pra par Nicolas Poillot à la Galerie Derouillon à Paris

Les fleurs de l’été sont les rêves de l’hiver racontés le matin à la table des anges, opus #2 à la Galerie Praz-Delavallade à Paris

Uplift à la Galerie Xippas à Genève

Oli Epp chez Semiose | Project Room à Paris

Eric Croes chez Sorry We’re Closed à Bruxelles

57537426-477b-47db-949a-8ebc6c169b2bAutumn Ramsey, Bounty, 61 x 51 cm, oil on canvas, 2019 | Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Crèvecoeur (Paris), crédit photographique Tom Van Eynde

L’équilibre entre les choses se cherche plus qu’il ne se trouve. Ainsi des formes s’obstinent à naître selon un idéal de mesure, quitte à fabriquer les dispositifs pour jauger leur gravité. Nous leur accordons un poids, qui en rapport avec tout le reste, va indiquer la justesse de sa présence. Un souci de retenue guide généralement son apparition. Le trop arrive si vite.

Martin Belou chez Bernier / Eliades à Bruxelles

So what is it that makes today’s homes so different, so appealing? par Carlier | Gebauer à Salon à Madrid

Katinka Bock à la Galerie Greta Meert à Bruxelles

Dimensions of Reality: Female Minimal par Anke Kempkes & Pierre-Henri Foulon à la Galerie Ropac à Pantin

Charlotte Moth chez Marcelle Alix à Paris

Much without many chez Meessen de Clercq à Bruxelles

Benoît Maire à la Galerie Nathalie Obadia à Paris

31d7751a-3867-4abe-ac01-264dd0435299 Katinka Bock, Haltung (IU), 293 x 106 x 12 cm, steel, bronze, ceramic, 2020 | Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Greta Meert (Bruxelles)

Art-O-Rama marque traditionnellement la rentrée sociale et commerciale de l’art en France, accompagnant le crépuscule de l’été par sa fougue marseillaise. Son édition physique devant être annulée, la foire rebondit avec diverses consolations qui contribuent au fort potentiel sympathie constitutif de son identité. Et son Salon immatériel se distingue des alternatives en ligne, en cela qu’il se retire d’emblée du champ visuel. L’initiative est futée, et fédère ainsi une quarantaine de participations. Parmi des projets plutôt caricaturaux, surgit une pièce sonore de quatre minutes signée par Claude Closky, fantasque et efficace guimauve textuelle dont le titre nous guide justement aujourd’hui vers tout l’inverse de l’ennui électronique.

Lynda Benglis chez Xavier Hufkens à Bruxelles

Colette Richarme à l’Espace Dominique Bagouet à Montpellier

Hugo Pernet à La BF15 à Lyon

Painting. A Permanent Challenge au Caixa Forum à Madrid

Denis Laget au Musée Estrine à Saint-Rémy-de-Provence

Lucio Fontana à la Galerie Karsten Greve à Paris

Miryam Haddad chez Art : Concept à Paris

92e6d711-5d97-4ca0-94f2-15d6a38ba2ae
Lynda Benglis, Wonder Woman (détail), 124.5 x 50.8 x 40.6 cm, cast sparkles on handmade paper over chicken wire, 2016-17 | Courtoisie de l’artiste et de Xavier Hufkens (Bruxelles), crédit photographique HV-studio

Il existe des contenances existentielles, façonnées pour être remplies par tout ce que l’on ne quantifie pas. Dans l’Antiquité égyptienne, la divinité des eaux était représentée par une jarre surmontée d’une tête animale. La figure indique le zodiaque d’une crue, en fonction du débordement mesurée sous telle constellation. Mais le pot se trouva rapidement associé à un usage funéraire, pratique lors des embaumements pour y répartir les viscères d’un corps défunt. Du trivial au sacré, le vase, la vase.

Yoshiro Kimura | Jean Girel chez Pierre Marie Giraud à Bruxelles

Daniel Dewar & Grégory Gicquel chez C L E A R I N G à Bruxelles

Vessels ~ on body fluids ~ par Alix Janta-Polczynski à Island à Bruxelles

Héloïse Bariol au Centre Céramique Contemporaine à La Borne

Audrey Barbes par Héloïse Bariol à 180 litres au Centre Céramique Contemporaine à La Borne

Anton Reijnders par Fracas à l’Atelier Jespers à Bruxelles

Nitsa Meletopoulos pour Nouvelle Vague à Saint-Quentin-La-Poterie

ee473d1c-5769-4f83-bb8b-f76261d237ea Daniel Dewar & Grégory Gicquel, Granite trough with pig, 175 x 220 x 165 cm, granite stone, 2020 | Courtoisie des artistes et de C L E A R I N G (Bruxelles), crédit photographique Eden Krsmanovic et Benjamin Baltus