Il y a énigme. Et les peintres s’évertuent depuis des siècles à la résoudre. Avec détermination, il ne s’agit pas d’une fantaisie de nouvel an, mais bien de l’histoire millénaire de la représentation. Soit réduire le monde en un seul plan et régler librement la définition de l’image en question. L’ère numérique que trop d’observateurs envisageaient comme une menace, prolongement de son aînée mécanique, se voit activement investie par de nouveaux calibrages picturaux qui digèrent voire anticipent les interrogations contemporaines de l’écran, de la mise au point et du flux.
Sigmar Polke au Musée de Grenoble à Grenoble
Muriel Rodolosse au Château des Adhémar à Montélimar
{davide balula, (…), elodie seguin} par Aude Launay à la Fondation d’entreprise Ricard à Paris
Avec et sans peinture au Mac/val – Musée d’art contemporain du Val-de-Marne à Vitry-sur-seine
Armand Jalut à la Galerie Michel Rein à Paris
Bernard Frize à la Galerie Emmanuel Perrotin à Paris
Blake Rayne à la Galerie Campoli Presti à Paris
Muriel Rodolosse, On the ruins of the pizzeria, 520x700cm, peinture sous Plexiglas, 2014 – Courtoisie de l’artiste et production Château des Adhémar, Montélimar