Lors de l’exposition universelle de New York en 1939, un pavillon commandité par General Motors Corporation propose comme l’indique son nom, une vision de demain. L’installation prend la forme d’une maquette et imagine le monde dans vingt ans. Conçue par Norman Bel Geddes en collaboration avec Albert Kahn, la prospection présentait une urbanité caractérisée par des autoroutes automatisées et de vastes banlieues. À la fin du même siècle, l’intitulé baptisera un croustillant dessin animé, ironisant ce rétrofuturisme ancré dans la science et la fiction. Si le progrès technologique est chose sérieuse, autorisons-nous à l’envisager avec jovialité.
Henri Comby à la Galerie Henri Chartier à Lyon
Same player shoot again par Jacqueline de Jong et Ellef Prestsæter à Treize à Paris
Les Amazones du Pop par Hélène Guenin et Géraldine Gourbe au MAMAC à Nice
Léa Bouttier à Kommet à Lyon
Pétrel | Roumagnac (duo) à la Galerie Valeria Cetraro à Paris
La vie dans l’espace par Jill Gasparina au MRAC Occitanie à Sérignan
Hugo Avigo à la Galerie Chloé Salgado à Paris
Kiki Kogelnik, Miss Universe, 152.15 x 121.92 cm, huile et acrylique sur toile, 1963 | Courtoisie de la Galerie Natalie Seroussi (Paris) © Kogelnik Foundation