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Archives de Tag: Frac Occitanie Montpellier

Les as du bricolage la connaissent pour consolider les sols, lisser le ciment, fabriquer des détergents, accélérer le raidissement du béton projeté, hydrofuger le bois, coller du carton, ignifuger des surfaces poreuses, blanchir la pâte à papier ou réparer du marbre. Son vocable éveille une potion fantaisiste. En science, on parle de silicate de sodium. La substance relève de l’alchimie et de l’amateurisme, permettant l’obtention facile d’une sorte de verre liquide. Mélangée à des sels métalliques, elle fait croître des structures fractales semblables à des coraux ou à des algues, selon une spectaculaire cristallisation. L’expérience confirme l’existence d’élixirs simplement concoctés à partir de ce que l’on cueille, chemin faisant.

Gabrielle Manglou au Centre d’arts plastiques à Saint-Fons

Aurore Bagarry à la Galerie Sit Down à Paris

Lux fugit sicut umbra au Frac Occitanie Montpellier à Montpellier

Sara Ouhaddou à la Galerie Polaris à Paris

Jimmy Richer à la Galerie Chantiers Boîte Noire à Montpellier

Charlotte Dalia à la Galerie Tatiss à Lyon

Laurent Le Deunff chez Semiose à Paris

Vir Andres Hera, Misurgia Sisitlallan, two channel video installation, quadriphony, 2020 | Courtoisie de l’artiste, production Le Fresnoy, Studio national des arts contemporains (Tourcoing)

Deux silhouettes pétrifiées semblent partager aujourd’hui encore dans le mutisme de leur contenance, une flagrante intimité. Un volcan s’embrase. L’humanité s’embrasse. L’archéologie réussit à éveiller une sensualité inattendue. Sur la pierre, chacun projette sa sensibilité. L’étreinte, l’empreinte, amplifiées par notre imagination, restent lisibles sur tout objet sorti de terre.

Arnaud Vasseux au Frac Languedoc-Roussillon à Montpellier et à Lattara à Lattes

Dune Varela par François Cheval au Cloître Saint-Trophime à Arles

Tom Castinel & Octave Rimbert-Rivière à La bourse du travail à Valence

Eileen Quinlan à la Galerie Campoli Presti à Londres

Juana Muller dans Le couloir des curiosités au Musée de Valence à Valence

Le spectre du surréalisme par Karolina Ziebinska-Lewandowska à L’atelier des forges à Arles

Alberto Giacometti par Frances Morris & Catherine Grenier à la Tate Modern à Londres

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Tom Castinel & Octave Rimbert-Rivière, La vallée dérangeante, 2017 – Courtoisie des artistes

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Voilà une qualité. Dans la retenue, avec une quantité réduite de matériel, selon un degré discret de chair, le plaisir se diffuse. Son expression ici s’abstient de l’évidence du corps, dont l’image de préférence, s’absente. Achrome, au mieux bleuté, le concret laisse ici place à la charge émotionnelle, allant jusqu’à encombrer le vide. Cette caractéristique qualifie peut-être, une certaine constante de la scène française au cours des récentes décennies. Dans de rares circonstances, à peine c’est beaucoup.

Rien ne nous appartient : Offrir par Flora Katz à La fondation d’entreprise Ricard à Paris

Elsa Werth à la Galerie Martine Aboucaya à Paris

Plus c’est facile, plus c’est beau par Eric Watier au Frac Languedoc-Roussillon à Montpellier

Old dream par Ann Stouvenel à Mains d’œuvres à Saint-Ouen

Information fiction publicité à la Galerie Emmanuel Perrotin à Paris

Strange days par Xavier Franceschi au Plateau – Frac île-de-france à Paris

Anne le Troter par Claire Moulène au Palais de Tokyo à Paris

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Mark Geffriaud, Monsieur chose, 22x31x8cm, verre, bois fossilisé, verre acrylique, 2015 – Collection Dorith & Serge Galuz, crédit photographique Aurélien Mole

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Interface matérielle de contrôle d’un système électronique. Plan horizontal servant à porter des objets décoratifs. Cette polysémie opportune permet d’associer les domaines de la technologie et de l’ameublement. L’occasion aussi, en posant l’une sur l’autre, d’observer l’actualité de l’objet télé, son contenu, son environnement. Aujourd’hui éloigné des ondes hertziennes obsolètes, noyé parmi les autres canaux médiatiques, le petit écran a perdu sa suprématie totémique dans les familles. Sa réalité contemporaine correspond d’ailleurs davantage à une certaine tonalité qu’à un boîtier cathodique. Une certaine nostalgie demeure associée au potentiel futuriste qu’il annonçait, celui du règne des écrans. Reste à leur trouver où trôner.

Laure Prouvost par le Frac Bourgogne au Consortium à Dijon

Benjamin Valenza par Triangle à La friche La belle de mai à Marseille

Rafaela Lopez, Baptiste Masson & David Perreard à Art-o-rama #10 à Marseille

Pierre Paulin au Centre pompidou à Paris

Salon d’été par Crèvecoeur à Art-o-rama #10 à Marseille

Being there par Matt Williams à Vilma Gold à Londres

Superstudio par le Frac Centre Val-de-loire au Frac Languedoc-Roussillon à Montpellier

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Rafaela Lopez, Baptiste Masson & David Perreard à Art-o-rama #10 – Courtoisie des artistes, crédit photographique Jean-Christophe Lett

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

L’été dénude les masses, qui alors s’étalent généralement dans l’espace public. C’est en cette saison que le corps est le plus exposé, au soleil comme au regard. Et une proportionnelle inverse semble relier température et pudeur. La chair est matière plastique, à modeler, de la contenance musclée à l’opulence sans retenue. Plages et parcs deviennent les socles de la diversité de l’enveloppe humaine.

Thomas Schütte par Andrea Bellini & Dieter Schwarz au Castello di Rivoli à Rivoli

Hybride à la Fondation Francès à Senlis

Sarah Lucas à la Galerie Sadie Coles – Situation à Londres

Mika Rottenberg au Frac Languedoc-Roussillon – Fonds régional d’art contemporain à Montpellier

Marisa Merz à la Fondazione Merz à Turin

Superbody à la Galerie Chantal Crousel à Paris

Summer camps par Marie Maertens à la Galerie Suzanne Tarasiève – Loft19 à Paris

> Sarah Lucas, Hard Nud, 2012 – Courtoisie de la Galerie Sadie Coles Londres

Fards et bijoux ornent la silhouette, la ponctuent, pour finalement la signer. Une attention est portée cette semaine à l’ornement, qui peut revêtir les aspects les plus abrupts pour contourner parfois ces dogmes qui voudraient l’abolir. Il s’agira d’attribuer un caractère précis aux surfaces des choses et permettre la revanche du précieux.

Emmanuelle Villard à la Galerie Les filles du calvaire à Paris et à l’Abbaye de Maubuisson

Natacha Lesueur au Frac Languedoc-Roussillon à Montpellier

Emily Wardill au Frac Champagne-Ardenne à Reims

Vincent Beaurin aux galeries Laurent Godin et de Multiples à Paris

Maude Maris à la Galerie du Haut-Pavé à Paris

Hubert Duprat à la Galerie art:concept à Paris

Blabla et Chichi sur un bateau à la Galerie Ghislaine Hussenot à Paris