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Archives de Tag: Southard Reid Gallery

En argot bien français, le terme désigne une viande suspecte voire une chair vendue. L’épais bifteck se retrouve au cœur des loisirs de la grillade. Cet aspect carnivore résonne avec un anglicisme prônant la jouissance de plein contact. La pratique sexuelle emprunte son nom à une virtuosité d’équitation consistant à chevaucher sa monture sans selle, à cru.

Athena Papadopoulos par Emalin à Paris Internationale 2017 à Paris

(X) A Fantasy à DRAF London à Londres

Jean Hélion à la Galerie Malingue à Paris

Guillaume Leblon à la Galerie Jocelyn Wolff à Paris

Joanna Piotrowska chez Southard Reid à Londres

Derain, Balthus, Giacometti – Une amitié artistique au Musée d’art moderne de la Ville de Paris

La nuit avant les forêts à Doc à Paris

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Carlotta Bailly-Borg, Flat walk, 140 x 160 cm, acrylique sur toile, 2017 – Courtoisie de l’artiste

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Les récoltes sont mauvaises. La famine gagne le monde. Il gèle en août. Les subsistances sont pillées. Le ciel s’épaissit. Les morts s’entassent. Les fleuves débordent. La panique règne. Il neige rouge. Les volcans crachent. Les superstitions grandissent. Confinée par le mauvais temps dans une maison au bord d’un lac, Mary Shelley écrit son premier roman, Frankenstein. C’était il y a deux cents ans en 1816.

Miriam Cahn chez Blondeau & Cie à Genève

Le retour des ténèbres au Musée Rath à Genève

Caroline Achaintre par Antoine Marchand au Frac Champagne-Ardenne à Reims

Gregor Staiger chez Emalin pour Condo 2017 à Londres

Kris Lemsalu par Koppe Astner chez Southard Reid pour Condo 2017 à Londres

L’état parfait chez Freymond-Güth Fine Arts à Basel

The plates of the present, so far par Thomas Fougeirol & Jo-ey Tang chez Praz-Delavallade à Paris

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Caroline Achaintre, Chubber, 35x33x24cm, céramique, cuir, 2013 – Courtoisie de l’artiste et Arcade fine arts, London

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

La racine latine renvoie autant au doigt qu’au chiffre. Et oui, on compte avec nos mains. Digital. Digital. Empreinte. Système. L’ordinateur dans sa forme primitive est donc bien une paluche. L’analogie entre le monde informatique et notre corps est passionnante. Notre téléphone passe beaucoup plus de temps collé à une de nos fesses ou lové dans notre aine, que n’importe qu’elle autre objet. Avec les écrans tactiles, nous passons nos journées à caresser des interfaces. La technologie peut apparaître contradictoire à toute sensualité. Elle cherche aujourd’hui plus que jamais, à permettre la volupté.

David de Tscharner à la Galerie Escougnou-Cetraro à Paris

Laura Owens chez Sadie Coles HQ à Londres

!Mediengruppe Bitnik au Centre culturel suisse à Paris

Tala Madani chez Pilar Corrias à Londres

Celia Hempton par Southard Reid à Frieze London 2016 à Londres

Olympia par Karma à la Galerie Patrick Seguin à Paris

Tom Wesselmann à la Galerie Almine Rech à Paris

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David de Tscharner, Ambassadeur I – détail, techniques mixtes, plexiglas, 2016 – Courtoisie de l’artiste et de la galerie

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Peinture et céramique peuvent partager un même culte de la pâte. Massée, étalée, cette matière sait repaître avec générosité. Elle nourrit grassement. Ma période Nutella est pourtant révolue. Il ne s’agit en rien de cette couverture verbeuse qui enrobe la maigreur mais bien d’une rasade sincère qui embrasse d’emblée.

Celia Hempton à la Galerie Sultana à Paris

Ann Craven à la Southard Reid Gallery à Londres

Florian & Michaël Quistrebert à la Galerie Crevecoeur à Paris

Gabriel Hartley à la Pippy Houldsworth Gallery à Londres

Material tension par Day + Gluckman à la Collyer Bristow Gallery à Londres

Le musée imaginaire à la Galerie Lefebvre & fils à Paris

Elmar Trenkwalder à la Galerie Bernard Jordan à Paris

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Rachel Busby, Every day is a different day, acrylique, toile, 2014 – Courtoisie de l’artiste

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Il y a la revue iconique qui dicte depuis plus d’un siècle les règles de la fringue et de son image. Sa façade fait culminer toute réputation. Sa prospection s’impose unilatéralement. Plusieurs signatures y ont officié, façonnant autant l’avancée de leur carrière que l’allure du magazine.
Ancré dans la photographie de mode, ce numéro saura aussi ici s’en éloigner, pour viser une fureur plus générique. Le charme qui m’intrigue relève d’une puissance discrète, qui sait naviguer avec fluidité pour faire rayonner l’excellence d’une silhouette. Papier glacé. Surfaces veloutées.

Edward Steichen à The photographers’ gallery à Londres

Horst P. Horst au V&A – Victoria and Albert museum à Londres

Daniel Lipp à la SouthardReid Gallery à Londres

Giovanni Battista Moroni à la Royal academy of arts à Londres

Jonathan Wateridge à la Wilkinson Gallery à Londres

Dirk Braeckman au Bal à Paris

Sonia Delaunay au Mamvp – Musée d’art moderne de la ville de Paris à Paris

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Daniel Lipp, Recliner, bois, peinture, photocopie, tirage, verre, acier, alu, 2014 – Courtoisie de l’artiste et de la SouthardReid Gallery, London

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Gammes pastelles et souci de la parure orientaient des envies de midinettes. Avec du rose au blason, l’actualité m’invita à suspecter les qualités associées à ce genre de genre, avec précaution. Hors de question évidemment d’enfermer quiconque définitivement. Il s’agit plutôt d’investiguer et de développer un possible caractère de fillette. Des recherches complémentaires enfoncèrent le qualificatif dans d’incommodes caprices régressifs. Ici, il n’en est rien. L’alternative à laquelle il faut tous contribuer dresse une identité plus croustillante que ce que voudraient les présupposés.

Andro Wekua à la Galerie Sprueth Magers à Londres

Michele Abeles à la Sadie Coles Gallery à Londres

Tom Castinel au Cap – Centre d’arts plastiques à Saint-Fons

Aaron Curry au Capc – Musée d’art contemporain à Bordeaux

François Villon, cœur à vif par Georgia René-Worms au Collège-Lycée François Villon à Paris

Mimosa Echard dans le project room de la Galerie Chez Valentin à Paris

Celia Hempton à la Southard Reid Gallery à Londres

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Amélie Giacomini & Laura Sellies, Partie n°2 Fond et sa sculpture dissimulée pour une Riviera Illusoire, plâtre, résine, pigment, nageuse, 2014 – Courtoisie des artistes, crédit photographique Paul Nicoué

Le numéro complet est disponible sur abonnement.