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Archives de Tag: Galerie Julien Cadet

Architecture à part entière, il est une représentation du ciel. Son mécanisme fonctionne généralement par projection. Par l’optique, il partage une certaine idée de l’astronomie, et démocratise une géométrie des hauteurs.

Jean-Baptiste Bernadet à La Citadelle à Villefranche-sur-Mer

Une Cosmologie de l’art chez Poggi à Paris

Carol Bove chez David Zwirner à Paris

Andrea Medjesi chez Julien Cadet à Paris

La musique du tableau à la Galerie de la Béraudière à Bruxelles

Jean Lurçat pour Fine Arts Paris & La Biennale 2022 au Carrousel du Louvre à Paris

Alicja Kwade pour Paris+ by Art Basel place Vendôme à Paris

436fb8e9-5093-0f99-745b-a082497dab20Jean-Baptiste Bernadet, série Untitled (Sign), pierre de lave émaillée, 2020-22 | Courtoisie de l’artiste et de la galerie Almine Rech (Paris, Londres, Bruxelles, New York, Shanghai), crédit photographique Jean Christophe Lett

Ni tout à fait prémonition, ni pressentiment, ni prévision, cette faculté relèverait d’une autre forme encore de divination. Il s’agit d’exprimer de façon intuitive ce qui est encore inconnu. Ce don de connaissance anticipative inonde le domaine de la science-fiction, et bien-sûr certains élans artistiques en sont grandement gorgés.

Alicia Adamerovich à Sans titre (2016) à Paris et à la Galerie Tator à Lyon

Le surréalisme dans l’art américain par Eric de Chassey à La Vieille Charité à Marseille

Anna Zemánková chez christian berst art brut à Paris

Molly A. Greene à la Galerie Julien Cadet à Paris

Psychédélices au Musée international d’arts modestes à Sète

Alejandro Cardenas à la Galerie Almine Rech | Matignon à Paris

Romain Coppin à Bikini à Lyon

16ede4b5-1247-ee5d-60b9-2edb253a49deAlicia Adamerovich, Staring at the Sun, 120 x 100 cm, oil on canvas, 2021 | Courtoisie de l’artiste, Sans titre (2016) (Paris) et Tator (Lyon), co-production Moly-Sabata (Sablons)

Ce n’est pas un échec. Dans le domaine maritime, on peut délibérément vouloir toucher le fond, sans périr pour autant. Lorsque l’opération est involontaire, on parle plutôt d’échouement. Selon les marées, notre manœuvre permet tout simplement de mettre pied à terre, comme il était d’usage durant toute l’Antiquité pour débarquer. L’opération permet d’être quelque part, à un moment donné, en fonction des courants. Un peu plus tard, merci la lune, on se redresse, pour se remettre à flot.

Jean-Charles de Quillacq à Art3 à Valence

Tempêtes et naufrages au Musée de la vie romantique à Paris

Ken Sortais à la Galerie Julien Cadet à Paris

Ellis Island par Eloi Boucher au Musée Juif de Belgique à Bruxelles

Corps à corps par Alexandra Baudelot à l’ancienne Galerie Bernheim-Jeune à Paris

Wolfgang Tillmans à la Galerie Chantal Crousel à Paris

David Posth-Kohler à Doc à Paris

Jean-Charles de Quillacq, Ma sis t’aime reproductive, vue d’exposition à Art3 (Valence) | Courtoisie de l’artiste et de la galerie Marcelle Alix (Paris), crédit photographique Phoebé Meyer

Le langage commun l’associe péjorativement au fade et au manque de vigueur. À l’origine, cette confiserie est pourtant dérivée d’une préparation médicamenteuse. On y adjoint un extrait mucilagineux de la plante officinale éponyme, connue pour son pouvoir antitussif. D’ailleurs comme la mauve, la rose, le lilas ou la violette, c’est bien la couleur qui accorde son nom à la fleur, et non l’inverse. La culture queer s’est progressivement appropriée ce spectre chromatique cherchant ses teintes entre le rose et le bleu, si possible dans leur variante pastel. En écho à cette diversité indistincte, les propriétés plastiques de notre gourmandise permettent à chacun de lui donner la forme qu’il veut. De quoi être tout le monde, personne, et quelqu’un·e.

My-Lan Hoang-Thuy à la Galerie Derouillon à Paris

la clinique du queer par Thomas Conchou à la Maison populaire à Montreuil

Patrick Procktor à la Galerie Loeve&Co à Paris

Archives Invisibles #7 No Past = No Future pour Manifesta 13 Marseille | Tiers Programme au Tiers QG à Marseille

Brandon Lipchik à la Galerie Julien Cadet à Paris

Wu Tsang à Lafayette Anticipations à Paris

Jean-Luc Moulène à la Galerie Chantal Crousel à Paris

62f62eb4-9317-499a-ac9c-77443ba91f9cLa Gousse (Cécile Bouffard, Roxanne Maillet & Barbara Quintin), Armielle Dombasle, 59.4 x 42 cm, tirage jet d’encre sur papier brillant, 2020 | Production Maison populaire, courtoisie des artistes