Voyons-la d’abord comme un signe ostentatoire noué par le soupirant à l’attention de sa convoitise. Elle est une cachoterie chevaleresque. Elle est un échange de courtoisie. Son usage polysémique matérialise l’ultime considération en un ruban de couleur. Nous sommes bien là dans un principe de grâce. Où la décoration est distinction. Tapisseries et céramiques encore. Plaisir toujours.
Sarah Tritz au Parc Saint Léger à Pougues-les-eaux
Sachin Kaeley à la Galerie Hussenot à Paris
Pablo Picasso à La cité de la céramique à Sèvres
Supernaturel par Neïl Beloufa à la Fondation d’entreprise Ricard à Paris
Brent Wadden à la Galerie Almine Rech à Bruxelles
Joel Shapiro à la Galerie Karsten Greve à Paris
150% VOLUME 3/4 Lifestyle par Dorothée Dupuis chez Treize à Paris
Sarah Tritz, Les mains, faïence rouge non émaillée, verre, tissu, 2007-13 – Courtoisie de l’artiste et la galerie Anne Barrault, Paris