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Archives de Tag: Arcadia Missa

Au singulier, elle est une signature. Au pluriel, une éducation. Dans tous les cas, elle distingue. Son étymologie manuelle affirme à la fois ce que l’on fabrique de ses propres paluches et ce qui porte sa patte. Le résultat et la façon. Lorsqu’elle manque, on crie à l’effronterie, lorsqu’elle est palpable, on reproche son affectation.

Clementine Keith-Roach chez Ben Hunter à Londres

France-Lise McGurn à la Tate Modern à Londres

Odilon Redon à l’Abbaye de Fontfroide à Narbonne

Pattern, Crime & Decoration au Consortium Museum à Dijon

Melike Kara chez Arcadia Missa à Londres

Bernard Frize à la Galerie Perrotin à Paris

Jean Messagier au Musée des Beaux-Arts de Dole à Dole

France Lise Mcgurn, Art Now, Tate Britain
France-Lise McGurn, Sleepless, 2019 | Courtoisie de l’artiste, crédit photographique Tate Modern (Londres)

Il existe un art sourcilleux du cordage. Bien-sûr ses amateurs jouissent d’une visibilité en certains milieux lorsqu’ils saucissonnent les chairs. La sophistication du nœud s’applique pourtant en une diversité de situations telles que l’intervention chirurgicale, la greffe horticole, l’invention typographique, la croche musicale, la sorcellerie médiévale, la navigation maritime ou la conjonction grammaticale. Toujours, des tensions sont à maîtriser pour atteindre une satisfaction qui requiert une volontaire dextérité.

Leonor Antunes à la Marian Goodmann Gallery à Londres

Pierre Molinier par Gaspar Noé à la Galerie Christophe Gaillard à Paris

Daughters of necessity par Serena Korda à The Hepworth Wakefield à Wakefield

Kate Newby chez The Sunday Painter à Londres

Thomas Bégin à la Galerie Tator à Lyon

Ormai à la Galerie Balice Hertling à Paris

Phoebe Collings-James chez Arcadia Missa à Londres

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Leonor Antunes, a thousand realities from an original mark , 2018 – © L’artiste, courtoisie de l’artiste et de la galerie, crédit photographique Nick Ash

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Nègre, salope, pédé. Une minorité se distingue par les insultes qu’elle génère. La différence est toujours le prétexte de l’oppression. Il s’agit ici de revendiquer sans trop geindre, une singularité. Nécessairement militante, la représentation de ses semblables offre une image, donc aujourd’hui une réalité pour pointer la soumission sociale à différentes échelles. Stigmate ou émancipation, la désignation est une arme, pour ou contre le pouvoir. Fascination. Persécution. Ce numéro assez citadin concerne des tensions moins frontales que celles que les religions et les frontières continuent de motiver. La psychologie courante ordonne d’être soi. Demeurer quelqu’un.

Lynette Yiadom-Boakye à la Serpentine gallery à Londres

Sophie von Hellermann à la Vilma Gold gallery à Londres

Assymetric grief  par Binghao Wong chez Arcadia missa à Londres

Chercher le garçon par Frank Lamy au Mac/Val à Vitry-sur-seine

Marcel Broodthaers à La monnaie de Paris à Paris

Formes biographiques  par Jean-François Chevrier au Carré d’art à Nîmes

Reflection on the self chez Christie’s mayfair à Londres

valie
Valie export, 3 Figurationszeichen / 3 Konfigurationszeichen, 1976 – Courtoisie de l’artiste et de la Charim Galerie, crédit photographique Joseph Tandl

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Il est temps de formuler une évidente redondance. Ce qui est perceptible ailleurs, devient ici incontournable. Les technologies les plus récentes affirment une iconographie du flux qui célèbre la surface, connectée et fragile, toujours sujette à de photogéniques perturbations. Aujourd’hui à Londres, ce vocabulaire semble traité de façon frontale et systématique. L’imagerie du web semble alors s’imposer en tant qu’exercice, et ses réponses alimentent ce qui apparaît comme un nouvel académisme.

Clunie Reid à la Contemporary art society Londres

Shana Moulton & Lucy Stein à la Gimpel Fils Gallery à Londres

Mirrorcity à la Hayward gallery à Londres

Refraction – The image of sense par Peter J. Amdam à la BlainSouthern Gallery à Londres

Olafur Eliasson à la Tate britain à Londres

Quake II à Aracadia missa à Londres

Reboot horizon au Cell project space à Londres

Dotuk
Timur Si-Qin, Premier machinic funerary X – KNMWT 15000, 172x40x26cm, plexiglass, tirage uv, alu, lumière, impression 3d, 2014 – Courtoisie de l’artiste

Le numéro complet est disponible sur abonnement.