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Archives de Tag: Galerie Emmanuel Hervé

Sans parler des transactions commerciales dont elles sont elles-mêmes l’objet, certaines œuvres s’affirment dans la possessivité. Elles manipulent la notion d’appartenance, qu’il s’agisse de montrer ce que l’on possède déjà ou de s’approprier un héritage exogène. Avoir. Être. En étalant ses signes de richesses selon différentes acceptations du patrimoine.

Of Earth and Heaven: Art from the Middle Ages chez Luhring Augustine à New York

Danh Vo au Solomon R. Guggenheim Museum à New York

Talismans par Sarina Basta à la Fondation Calouste Gulbenkian à Paris

Isabelle Cornaro à la Galerie Mezzanin à Genève

Objets précieux Art Déco à L’École des Arts Joailliers à Paris

Camila Oliveira Fairclough à la Galerie Emmanuel Hervé à Paris

Au diapason du monde à la Fondation Louis Vuitton à Paris

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Isabelle Cornaro, Untitled (P#6) – détail, 106 x 250 x 6 cm, bois peint, pampilles, cristaux, verre, 2018 – Courtoisie de l’artiste et Galerie Mezzanin, crédit photographique Annik Wetter

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Certaines pratiques alternatives l’érige en vrai remède. Cette méthode porte sur les vertus curatives du rayonnement lumineux selon sa diffraction en différents spectres, appliquée à certaines parties du corps. Envisageons simplement ici, les bienfaits de notre exposition à la couleur, dans sa charge la plus intense.

Josef Albers chez David Zwirner à Londres

Nicholas Roerich à la Vilnius picture gallery – Lithuanian art museum à Vilnius

Playground à la Galerie Emmanuel Hervé à Paris

Goetheanum à Dornach

Megan Rooney chez Freymond-Guth fine arts à Bâle

Adrien Vescovi à la Galerie Ceysson & Benetière à Saint-Etienne

Claude Monet à la Fondation Beyeler à Riehen

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Lisa Beck, Akh II, 20x15cm, peinture émaillée, bois, miroir, 2016 – Courtoisie de l’artiste et la Galerie Samy Abraham, Paris

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

D’un écart entre deux localisations, naît un trouble. Et ce n’est pas tant le constat d’une différence, que la circulation organique dans l’espace qu’elle détermine, qui provoque cet étourdissement. Le décalage n’est pas qu’horaire. Temporalité et biologie interne conditionnent le voyage, mais l’acclimatation relève de toute évidence d’autres champs encore. Alors que les comparaisons continuent d’alimenter une animosité répréhensible, il s’agit de trouver un juste rapport dans l’appréciation du lointain sans sacrifier ses propres référents. Et avec l’interdiction d’utiliser le mot exotisme.

Paul Gauguin à la Ordovas gallery à Londres

Pangaea à la Saatchi gallery à Londres

Oscar Murillo à la Galerie Marian Goodman à Paris

Des hommes, des mondes par Alain Berland au Collège des bernardins à Paris

Imagine Brazil par Gunnar B. Kvaran, Hans-Ulrich Obrist & Thierry Raspail au Mac à Lyon

Carne de minha perna par Estelle Nabeyrat à la Galerie Emmanuel Hervé et à La maudite à Paris

Kapwani Kiwanga par Nataša Petrešin-Bachelez au Jeu de Paume à Paris

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Charlotte Moth, – Collection particulière

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Tout ne proviendrait que de sa seule descendance. Le culte de la terre est ancestral. Sa portée traverse les temps, avec pour constante, l’émerveillement simplement humain d’être debout, droit sur soi mais les pieds sur une surface meuble, plate pour certains, ronde pour d’autres. Alors parfois on se baisse pour plonger à pleine poigne en cette matrice en devenir, et la façonner. Sept expositions personnelles témoignent aujourd’hui de la persistance d’un magnétisme vif pour le tellurique selon une diversité de formules, concrètes, friables ou émaillées.

Elmar Trenkwalder par Clément Minighetti au Mudam à Luxembourg

Anne-Charlotte Yver à la Galerie Marine Veilleux à Paris

Ana Mazzei à la Galerie Emmanuel Hervé à Paris

Morgane Tschiember à la Galerie Loevenbruck à Paris

Félix Pinquier à la Galerie Karima Célestin à Marseille

Guillaume Linard Osorio à la Galerie Alain Gutharc à Paris

Marion Verboom dans la vitrine de la Galerie Anne de Villepoix à Paris

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Marion Verboom, Mondmichls – détail, quatre fois 280x26x50cm, mortier, 2012 –
Courtoisie de l’artiste et de la galerie, crédit photographique Nicolas Brasseur

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Discrétion et besogne caractérisent des œuvres dont la présence semble miraculeuse. Leur éclosion advient par une pulsion frôlant une indécision à apparaître. De cette réserve, naît une puissance austère qui les protègent du vacillement, de basculer malgré tout dans l’insignifiance. Ce presque rien, ce quasiment, ce peu de choses les retient du côté du visible, précisément. Ni infâme, ni infirme, cet étrange adjectif qualifie le degré le plus négligeable en toute hiérarchie. Littéralement, le mot est construit à partir d’inférieur dont il est le superlatif. C’est cette outrance du moindre qui nous le rend aujourd’hui remarquable. Car depuis le bas de l’échelle du spectaculaire, le dérisoire se hisse au haut de celle de la délicatesse.

Arnaud Vasseux à la Galerie White Project à Paris

Christelle Familiari à La couleuvre à Saint-Ouen

Doppelgänger #1 – Les séparés par Vincent Romagny au Ceaac à Strasbourg

Jean-Baptiste Caron par Rosario Caltabiano & Nathalie Desmet chez 22.48m² à Paris

Tightrope à la Galerie Laurent Mueller à Paris

Magiciens à la Galerie Emmanuel Hervé à Paris

Jérémie Delhome à la Galerie Marie Cini à Paris

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> Arnaud Vasseux,  Sans titre, 24x32cm, encre de Chine, papier, 2009 –
Courtoisie de l’artiste et la Galerie White Project