Issue du langage culinaire, le terme s’emploie dès le XVIe siècle pour pointer un plat trop piquant, trop salé. François Rabelais parle ainsi d’une fricassée de fèves. Pour notre goût, il y a excès, débordement, outrance. Ailleurs, le surréalisme a fêté son siècle d’existence, du moins sous cette appellation officielle. Le mouvement fit éruption alors que l’humanité traversait une nouvelle crise mondiale. L’absurdité de certaines situations pourtant bien concrètes pousse l’esprit à se réfugier dans une fantaisie libre, encouragée par les aberrations alentour qui troublent la distinction entre folie et raison.
Victor Grazzi avec la Villa des Cent Regards à Montpellier
Quentin Spohn à l’Espace A VENDRE à Nice
Julien Tibéri chez Semiose à Paris
(Un)Real Life par Nicolas Dewavrin à la Galería Nueva à Madrid
Edgardo Navarro à l’Instituto Cultural de México à Paris
Utopia par Tornabuoni Art au Passage de Retz à Paris
Johanna Magdalena Guggenberger chez Belmacz à Londres
Antoine Carbonne, Palmyre, 190 x 160 cm, huile sur toile, 2017 | Courtoisie de l’artiste