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Archives Mensuelles: octobre 2022

En un temps où l’habillement se composait d’éléments amovibles, notamment pour couvrir les avant-bras, il arrivait qu’il faille en changer, voire que pour une raison galante, on les retire afin de les offrir. Dans tous les cas, on modifie son cap pour s’aventurer vers une destination nouvelle, impliquant courage et labeur.

Michael Dean par Julie Boukobza à Goswell Road à Paris

Nina Canell chez Mendes Wood DM à Bruxelles

Antoine Dochniak à L’attrape-couleurs à Lyon

66e Salon de Montrouge par Work Method au Beffroi à Montrouge

Cécile Bouffard à La Salle de bains à Lyon

Arnaud Vasseux à la Galerie AL/MA à Montpellier

Didier Vermeiren au Wiels à Bruxelles

e3a0d225-cf78-8058-6a6a-6f5518aa879fMichael Dean, (Unfuckingtitled) Smoticon, concrete, steel, cable ties, hacked scene tape, champagne bottle, 2022 | Courtoisie de l’artiste

Si les noms et les variations de ce jeu existent en grand nombre, le principe de traque demeure sa constante. Un prédateur évolue sur un terrain, à la poursuite de ses proies. La morale du divertissement aboutit généralement à ce que chacun soit alternativement chasseur et chassé. La transition se faisant en un clin d’œil, ou du moins une petite tape. On peut aussi exceller à se placer hors d’atteinte, en se nichant où il faut.

Adrien Fregosi à La Vitrine de l’Astrelier à Sète

Best in Show par Sophie Toulouse à la Galerie Hyperbien à Montreuil

Mira Schor chez Marcelle Alix à Paris

Joystick par Nir Altman (Munich) à Art-o-rama à Marseille

Jean-Jacques Markarian par Fabienne Audéoud à la Galerie Zoom à Sète

Ficre Ghebreyesus chez Lelong & Co à Paris

Romain Bobichon chez Florence Loewy à Paris

ccf483e3-782a-1736-ba2e-d84ce66ba27fFlorence Reymond, Best in Show #2, 50 x 70 cm, huile sur toile, 2022 | Courtoisie de l’artiste

Un changement de temps s’annonce. Et on s’en approche. Précipitation et précipitation. Les frimas s’accompagnent d’un trouble de la vision, isolant les choses les plus proches, et avalant le reste dans la grisaille.

Ritsue Mishima chez Pierre Marie Giraud à Bruxelles

Camera à La BF15 à Lyon

Olu Ogunnaike à gb agency à Paris

Le vent souffle où il veut par Hugo Pernet & Philippe Valentin chez Valentin à Paris

Gisèle Buthod-Garçon à la Galerie Avenir à Paris

Andrea Büttner chez Jan Mot à Bruxelles

Sophie Ko à la Galerie East à Strasbourg

base importée 2003Emmanuelle Castellan, Eyes shadows, 30 x 20 cm, huile sur toile, 2020 | Courtoisie de l’artiste

La figuration parfois fige. Ses contours sulfureux contribuent au choc. Les fleurs sont bousculées. Leur nature pousserait à s’y vautrer. Par le désir, les corps sont pétrifiés. Leurs poses nourrissent la mise en scène d’une consomption. On brûle de froid.

Nicole Eisenman à la Fondation Vincent Van Gogh Arles à Arles

Victor Man chez Max Hetzler à Paris

Mammatus à Aperto à Montpellier

Elizabeth Glaessner chez Perrotin à Paris

Trois p’tit tours et puis s’en vont par Anne Giffon-Selle au 19, Crac à Montbéliard

Louisa Gagliardi chez Rodolphe Janssen à Bruxelles

Xie Lei chez Semiose à Paris

Xie Lei, Insinuation, huile sur toile, 2022 | Courtoisie de l’artiste et de Semiose (Paris), crédit photographique Aurélien Mole

Certaines compositions éclipsent l’imagerie scientifique par l’ouverture qu’elles offrent sur des dimensions insoupçonnées. Le vertige s’en empare et nous propulse dans des abysses dont nous ne saisissons plus l’échelle.

Pierre Unal-Brunet par Nicoletti Contemporary à Art-o-rama à Marseille

Roger Bissière chez Ceysson & Bénétière à Paris

Les Vivants par la Fondation Cartier au Tripostal à Lille

Maria Helena Vieira da Silva au Musée Cantini à Marseille

Resurgent Light par Elena Sorokina à la Galerie Mayoral à Paris

Joe Bradley chez Xavier Hufkens à Bruxelles

Claude Viallat | Patrick Saytour au château, à la glacière, au temple et au presbytère à Aubais

Claude Viallat, vue de l’exposition avec Patrick Saytour au temple d’Aubais, 2022 | Courtoisie de l’artiste et de la galerie Ceysson & Bénétière