Qu’elle soit à barreaux, à claire-voie, thoracique, d’escalier ou d’ascenseur, elle est un espace clos propice à l’étude, l’usage ou le spectacle. Entre prison et scène, elle isole son objet derrière des parois, si ce n’est devant. Ainsi visuellement, les cloisons dessinent par leur graphisme, d’incontournables filtres que le regard se doit de traverser, peu importe en quel sens. En respectant la gravité de toute servitude, la notion de captivité impose une vision par l’écran.
Sara Barker chez The approach à Londres
Abbandonando un’era che abbiamo trovato invivibile à La triennale di Milano à Milan
Neil Beloufa par Sandra Patron au Mrac – Musée régional d’art contemporain à Sérignan
The smell of the moon à la Galerie Bugada Cargnel à Paris
Blush pane par Noguchi Breton à la Galerie Balice Hertling à Paris
Face à face par Cécile Debray au Musée Fabre à Montpellier
Laurent Proux chez Semiose galerie à Paris
Fausto Melotti sur Thea Djordjadze par Lorenzo Giusti, 2017 – Courtoisie des artistes