archive

Archives de Tag: Galerie Gilles Peyroulet

Le gibier s’y abrite lorsqu’il est traqué. Asile ou échappatoire. Il s’agit d’un emplacement où l’on se met en sûreté pour fuir un ennui ou autrui. Ainsi on dessine son havre. On dresse son repaire. On construit sa tanière en y déployant toute une infrastructure assurant sa sécurité, éloignant le danger, annulant la menace. Voilà un espace où l’on prend soin. Nous nous y dérobons.

Laure Prouvost chez Carlier | Gebauer à Berlin

Io Burgard à la Galerie Maïa Muller à Paris

Le monde nouveau de Charlotte Perriand à la Fondation Louis Vuitton à Paris

Christine Roland à la Galerie Tanya Leighton à Berlin

Ride the Wild chez Lévy Gorvy à Londres

Eva Rothschild à Blue Projects | Blue Mountain School à Londres

Eileen Gray par Gilles Peyroulet & Cie à Frieze Masters 2019 à Londres

Eileen Gray-galerie Peyroulet
Eileen Gray, Siège-escabeau-porte serviettes de La villa Tempe a Pailla (Castellar), 70 x 38 x 50 cm, bois peint bicolore blanc et vert foncé, 1930-33 | Courtoisie de Gilles Peyroulet & Cie (Paris)

Il y a un siècle, le monde se faisait la guerre pour la première fois. Mieux vaut encore patienter quatre ans pour célébrer la fin de ce fait. Une foule d’évènements s’inscrivent déjà dans son souvenir officiel. Aucune ne trouvera pourtant sa place ici. Ce numéro distinguera plutôt des actualités capables de partager une certaine gravité. La lecture d’une telle pesanteur se fait alors transversale, animée par de nombreuses connotations.

All that falls au Palais de Tokyo à Paris

Paréidolie au Château de Servières à Marseille

Anne & Patrick Poirier par le Musée des beaux-arts de Nantes à Nantes

Tribute to DDay 70 à la Galerie Gilles Peyroulet à Paris

Walid Raad au Carré d’art – Musée d’art contemporain à Nîmes

Kapwani Kiwanga à la Galerie Karima Celestin à Marseille

La disparition des lucioles par la Collection Lambert à la Prison Sainte-Anne à Avignon

Messages envoy&AOk-s-4099

Kapwani Kiwanga, Série Flowers for Africa – Uganda, bouquet, 2014 – Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Karima Célestin, crédit photographique Philippe Munda

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Entre l’agréé et l’agréable, un merveilleux territoire se dessine pour concorder avec ma conception du design. Le produit se voit d’une part validé par l’autorité supérieure de la fonction pendant qu’une énergie synchrone va modeler ses contours par pur plaisir de la forme. L’utile et le beau définissent toujours de part leur rapport, cette discipline aux ambitions fluctuantes. Le modernisme lui offrit un socle précieux, via le radicalisme qu’il défendait tant dans sa complicité avec l’industrie qu’au sein de son vocabulaire plastique propre. Usage et contemplation y cherchent perpétuellement leur équilibre, réussissant pourtant parfois à atteindre l’évidence. C’est la justesse de l’objet qui s’impose alors.

Eileen Gray par Cloé Pitiot au Centre Pompidou à Paris

Modernismes – Meubles et assises du XXe siècle à la Galerie Gilles Peyroulet à Paris

Marcel Breuer à la Cité de l’architecture & du patrimoine à Paris

Antoine Espinasseau à la Galerie Florence Leoni à Paris

Architectures domestiques à la Galerie Alain Gutharc à Paris

Andrea Blum chez In situ – Fabienne Leclerc à Paris

Koenraad Dedobbeleer par Claire le Restif au Crédac – Centre d’art contemporain à Ivry-sur-seine

Messages envoy&AOk-s-1649

> Antoine Espinasseau, Courtoisie, 120x128cm, impression jet d’encre pigmentaire, 2012 – Courtoisie de l’artiste et la galerie Florence Leoni