Meubler, c’est finalement un risque pour beaucoup d’œuvres. Leur possible destinée consiste alors à demeurer un bibelot de plus, noyé dans l’indifférence d’un aménagement intérieur. Comme pour défier cette malédiction, certaines pièces s’acoquinent d’office avec les codes du mobilier, quitte à singer sa présence utilitaire ou même à s’y résoudre, intégralement.
Paola Pivi à la Galerie Emmanuel Perrotin à Paris
Tobias Rehberger à la Staatliche Kunsthalle à Baden-Baden
Isa Genzken à la Galerie Chantal Crousel à Paris
Gauthier Leroy à la Galerie Aliceday à Bruxelles
Nicoll Ullrich à la Galerie Sébastien Ricou à Bruxelles
Arman à la Galerie Daniel Templon à Paris
Robert Breer au Capc à Bordeaux