archive

Archives de Tag: David Zwirner Gallery

Architecture à part entière, il est une représentation du ciel. Son mécanisme fonctionne généralement par projection. Par l’optique, il partage une certaine idée de l’astronomie, et démocratise une géométrie des hauteurs.

Jean-Baptiste Bernadet à La Citadelle à Villefranche-sur-Mer

Une Cosmologie de l’art chez Poggi à Paris

Carol Bove chez David Zwirner à Paris

Andrea Medjesi chez Julien Cadet à Paris

La musique du tableau à la Galerie de la Béraudière à Bruxelles

Jean Lurçat pour Fine Arts Paris & La Biennale 2022 au Carrousel du Louvre à Paris

Alicja Kwade pour Paris+ by Art Basel place Vendôme à Paris

436fb8e9-5093-0f99-745b-a082497dab20Jean-Baptiste Bernadet, série Untitled (Sign), pierre de lave émaillée, 2020-22 | Courtoisie de l’artiste et de la galerie Almine Rech (Paris, Londres, Bruxelles, New York, Shanghai), crédit photographique Jean Christophe Lett

Ancêtre de l’ostensoir avec qui il partage un irrésistible lexique, cet objet sert à exposer. Qu’il soit un petit reliquaire portatif utilisé au Moyen Âge, un cylindre de cristal ornementé exhibant l’hostie, ou tout autre forme d’orfèvrerie, il implique une liturgie de la présentation.

Jenna Kaës au Pavillon Southway à Marseille

Studio GGSV aux Galeries Lafayette Haussmann à Paris

Salvatore Arancio à Semiose à Paris

Giuliana Zefferi par Mécènes du Sud Aix-Marseille à Art-o-rama à Marseille

The New Guard: Paris à la Carpenters Workshop Gallery à Paris

Planter par Fracas à Art-o-rama à Marseille

Franz West pour la Paris Design Week chez David Zwirner à Paris

ac6c571b-292c-8361-c41d-051c263d168cJenna Kaës, vue de l’exposition Ethereal Swann au Pavillon Southway (Marseille), 2022 | Courtoisie de l’artiste

Le vocabulaire des vaudevilles nous les présente comme des personnes contrefaites. C’est peut-être qu’elles obéissent à des ficelles qu’elles ne tirent pas. Son homonyme fanfaronne la ripaille. Ce type de marionnette motive l’outrance. D’ailleurs une bambochade désigne traditionnellement une représentation picturale de scène de vie portraiturant le peuple de façon burlesque. C’est la routine des pantins.

Frida Orupabo pour Les Rencontres d’Arles à la Mécanique générale à Arles

To Light, Shadow and Dust chez Nordenhake à Berlin

Gyan Panchal chez Marcelle Alix à Paris

Pia Camil chez Sultana à Paris

Marianne Berenhaut chez Dvir à Paris

Elmar Trenkwalder à Iconoscope à Montpellier

L’Objet Invisible chez David Zwirner à Paris

343410cc-d79e-e64b-68f7-105af1d1cd1dMarianne Berenhaut, vue de l’exposition N’avez-vous pas ri ?, 2022 | Courtoisie de l’artiste et de Dvir Gallery (Paris), crédit photographique Margot Montigny

Par définition, l’autre est étrange. Il devient exalté voire possédé selon la morale en vigueur. On le trouve alors sous influence, si possible du mal pour le stigmatiser un maximum. À l’opposé, il est courant que l’altérité soit vidée de sa personnalité pour n’être qu’une silhouette quelconque, un quidam. La figuration oscille entre différents degrés de familiarité, de la cordialité à la menace.

Jürgen Klauke chez Guido W. Baudach à Berlin

Stéphane Mandelbaum au MMK à Francfort

Balancing Act chez Massimo de Carlo à Milan

Hugh Steers par Russell Tovey chez David Zwirner à Paris

Xinyi Cheng par Christina Li à Lafayette Anticipations à Paris

Entre tes yeux et les images que j’y vois* (un choix sentimental) par Anaël Pigeat & Sophie Vigourous à la Fondation Pernod Ricard à Paris

Elizabeth Peyton chez Thaddaeus Ropac à Paris

6a92b21e-0b9b-a320-b251-9180a5a0a09cXinyi Cheng, White Turtleneck, 125 x 150 cm, huile sur toile, 2017 | Courtoisie de l’artiste

Par le trou, il s’agit d’opérer des recadrages dans la matière et son espace. Alors on creuse. La surface n’est plus une limite dans laquelle se cogner, mais une interface parmi d’autres dans l’épaisseur des choses.

Eva Nielsen à Forma et chez Jousse Entreprise à Paris

Lucy Raven par Helena Kritis au Wiels à Bruxelles

Lucas Arruda chez David Zwirner à Paris

Maria Eichhorn par Yilmaz Dziewior au Pavillon de l’Allemagne à la Biennale de Venise

Jean-Pierre Viot par Aurélien Gendras chez Lefebvre & Fils à Paris

Richard Serra chez Cardi à Milan

Ignasi Aballí par Beatriz Espejo au Pavillon de l’Espagne à la Biennale de Venise

d8b6d74e-a43a-b238-4b09-113acc726c1cEva Nielsen, Chemical Milling 10, 75 x 65 cm, acrylique et encre de chine, sérigraphie manuelle, organza imprimé sur cuir teinté blanc, 2021 | Courtoisie de l’artiste et de la galerie Jousse Entreprise (Paris), production LVMH Métiers d’arts, crédit photographique Nicolas Brasseur

Siège des sensations alimentaires, il offre un accès direct à la chair. Cette cavité intérieure du cou, marquée par l’arrière du palais, entraîne vers d’autres étapes de la digestion. L’avaloir contribue à une approche du corps comme vaste tubulure. Sa région assure les plaisirs de bouche.

Andra Ursuţa à la Galerie David Zwirner à Paris

Louise Bonnet à la Galerie Max Hetzler à Paris

La Borne, sans réserves au Musée de la Poterie à La Borne

Betty Tompkins par Vincent Honoré et Anya Harrison au MO.CO. Panacée à Montpellier

Jean-Baptiste Carpeaux par Laurence Huault-Nesme au Musée Hébert à La Tronche

Diananess au Berceau à Marseille

Julia Huteau à Imprints Galerie à Crest

3cd935d1-bd36-9b10-a8f1-60887eb27169Louise Bonnet, Bather with cloud, 76.5 x 101.7 cm, huile sur toile, 2021 | Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Max Hetzler (Paris), crédit photographique Charles White

Toute réclame cherche son efficacité dans l’impact qu’elle produit. Par son choc. Cette stratégie conquérante requiert une brutalité, plus ou moins élégante selon le talent des publicitaires. Sa dimension martiale est confortée par l’origine-même du terme, désignant en gaélique le cri de guerre de clans écossais. La revendication quitte à aller jusqu’à se passer de mots, manifeste une vigueur nue.

Anne-Lise Coste à l’Urdla à Villeurbanne

Aérosolthérapie par C.N. Jelodanti à Topographie de l’art à Paris

Oscar Murillo à la Galerie David Zwirner à Paris

Roger Herman à la Galerie Lefebvre & Fils à Paris

Sylvie Fanchon à la Galerie Maubert à Paris

Camila Oliveira Fairclough à la Galerie Laurent Godin à Paris

Carlos Kusnir à #7 clous à Marseille à Marseille

Anne-Lise Coste, Cœur Douceur, 120 x 80 cm, lithographie, 1 ex./ vélin de Rives, 2021 | Courtoisie de l’artiste, production Urdla (Villeurbanne)

Avant d’être par métonymie un synonyme de désordre d’objets, le nom désigne un ancien village de pêcheurs en Galilée, devenu grande place marchande. Mille choses ainsi s’y entasseraient. Un encombrement matérialiste règne. Un attachement aux possessions prime.

Than Hussein Clark par Marie de Brugerolle au Crac Occitanie à Sète

Casa Dolce Casa par Rosario Caltabiano chez 22.48m² à Paris

Laëtitia Badaut Haussmann à la Galerie Allen à Paris

Philippe Favier par Thierry Raspail au Musée de Valence à Valence

Gennariello (part II) par Daniele Balice chez Balice Hertling à Paris

Anna Barham chez Arcade à Bruxelles

Isa Genzken chez David Zwirner à Paris

4602e7fc-604a-4ca3-ba8c-996646d60567Than Hussein Clark, vue de l’exposition « A little Night Music (and reversals) » au Crac Occitanie (Sète) | Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Crèvecoeur (Paris), crédit photographique Marc Domage

Ce n’est pas parce qu’ils s’expriment réfrigérés sous une façade de sévérité ou derrière une interface technologique, que les sentiments n’existent pas. L’apparente insensibilité relève de tout, sauf d’un manque de passion. L’autre y interpréterait une difficulté affective, là où règnent décence, fermeté et permanence. Il n’y a pas de température obligée pour l’émoi.

Philip-Lorca diCorcia chez David Zwirner à Paris

Piégé.e.s inextricablement dans la formulation d’une émotion par Exo Exo à la Galerie Hussenot à Paris

Bastien Gachet à Forde à Genève

Eliza Douglas chez Air de Paris à Paris

Les moyens du bord par Bernard Blistène à La Villette à Paris

Nan Goldin à la Librairie Marian Goodman à Paris

Smells like teen spirit à la New Galerie à Paris

eedc784f-2c85-451c-9235-7c9d6fe72a8e
Philip-Lorca diCorcia, W, November 2004, #4, 81.3 x 125.4 cm, archival pigment print, 2004 | Courtoisie de l’artiste et David Zwirner (Paris)

L’espace se saisit à travers les obstacles qui en délimitent la vertigineuse notion. Ainsi des corps sont à embrasser par leurs contours, renfermant leur propre substance en la distinguant de celle des autres. Ils sont les parois de l’altérité. Les lois physiques invitent à une capacité de maintien. De la sorte, l’attitude extérieure exprime la manière d’être perçu·e. Et chaque objet remplit de sa présence le récipient qu’il constitue.

Barbara Hepworth au Musée Rodin à Paris

Tuomas A. Laitinen par Filipa Ramos terminée sur Vdrome sur internet

Gabriele Beveridge à Freehouse à Londres

Athanasios Argianas au Camden Art Centre à Londres

Ruth Asawa chez David Zwirner à Londres

La Boîte de Pandore par Andy Neyrotti au Musée Réattu à Arles

Irving Penn à la Galerie Thaddeus Ropac à Paris

3a512b35-06d6-45a6-88f9-6988947eae82
Tuomas A. Laitinen, Haemocyanin, 8′, UHD video, stereo sound, 2019 | Courtoisie de l’artiste et Helsinki Contemporary

Lui tranche, lorsque son acolyte l’origami plie. Il taille, dépèce, débite, évide, chantourne, de la béance à la dentelle. L’art japonais du papier découpé manipule une ressource pour la transformer selon une économie et une inventivité atteignant des sommets de délicatesse. Il donne au plan toutes ses dimensions. De son origine religieuse alors que ses plaisirs furent développés dans un cadre cérémoniel, cette pratique conserve une allure enchanteresse.

Benode Behari Mukherjee chez David Zwirner à Londres

Pablo Picasso à la Royal Academy of Arts à Londres

Farah Atassi par Eric Troncy au Consortium Museum à Dijon

Bruno Munari à la Galeria Aural à Madrid

Variations au Nouveau Musée national de Monaco | Villa Paloma à Monaco

Marc Devade à la Galerie Ceysson Bénétière à Paris

Miho Dohi à la Galerie Crèvecœur à Paris

Maquette décor Opéra de Monaco
Alphonse Visconti et Eugène Frey, maquette de décor pour « La Walkyrie », Acte III, 3ème et 4ème tableaux, 37 x 60.5 x 60.5 cm, maquette d’étude, crayon graphite et encre, vers 1909 | Monte‐Carlo Société des Bains de Mer en dépôt permanent au NMNM, crédit photographique François Fernandez

Dans l’œil, il y a une lumière. Celle-ci s’intensifierait avec le plaisir montant. Une volupté s’exprime. Sa déraison ferait éclater le spectre, pour une fougueuse irrigation chromatique, bien éloignée de l’équilibre ultime d’un faisceau blanc. Une lueur cosmétique s’émoustille, solennellement.

Piet Mondrian au Musée Marmottan Monet à Paris

Emmanuelle Castellan à La Vigie à Nîmes

Hiroka Yamashita chez Tanya Leighton à Berlin

Dan Flavin chez David Zwirner à Paris

Christodoulos Panayiotou par Donatien Grau au Musée d’Orsay à Paris

Emma Kunz par Christodoulos Panayiotou à la Serpentine Gallery à Londres

Habima Fuchs chez Svit à Prague


Emmanuelle Castellan, the woman who behaves like a man, 80 x 58 cm, huile sur toile, 2019 | Courtoisie de l’artiste, crédit photographique Pierre Schwartz

Des mouvements incontrôlables des muscles qui se raccourcissent et se gonflent violemment, de façon plus ou moins durable, génèrent un panorama. La crampe fait composition. L’impératif spasme surréaliste continue d’en informer la lecture. Un frisson organique secoue les choses. Ça remue.

André Masson au Musée d’art moderne de Céret

A Tale of Mother’s Bones au Camden Arts Centre à Londres

Miryam Haddad à la Collection Lambert à Avignon

Luchida Hurtado à la Serpentine Gallery à Londres

Twin Earth à SALTS à Birsfelden

Oscar Murillo chez David Zwirner à Londres

Arshile Gorky à la Ca’ Pesaro Galleria Internazionale d’Arte Moderna à Venise

HyperFocal: 0
Oscar Murillo, manifestation, huile, pastel gras et peinture en spray sur toile, lin et velours, 2019 | Courtoisie de l’artiste et David Zwirner (Londres)

Furieusement tendance au XVe siècle, cette couleur de cheveux fut popularisée par les peintures de Venus et de Madones, it-girls de la Renaissance. Les coquettes italiennes s’infligeaient alors un traitement capillaire afin de faire rayonner la fameuse teinte dans leur chevelure, qu’elles se rinçaient à l’urine animale ou humaine avant de la saupoudrer d’un mélange de safran, citron et racine de rhubarbe pour enfin les exposer au soleil qui finalisait la décoloration. La précieuse palette brille de reflets d’or et de cuivre, ni blonds ni roux, obtenue à l’état naturel par de faibles quantités d’eumélanine et de phéomélanine dans le tif, ce qui est extrêmement rare.

Mantegna and Bellini à la National Gallery à Londres

Jannis Marwitz chez Damien & The Love Guru à Bruxelles

Balthus à la Fondation Beyeler à Riehen

Byrd Hammond Klossowski Olowska chez Balice Hertling à Paris

Lisa Yuskavage dans deux des espaces de David Zwirner Gallery à New York

Edward Burne-Jones à la Tate Britain à Londres

Victor Man à Gladstone 64 à New York

7795dd2f-a000-4f98-ba4d-48154e43d76e
Jannis Marwitz, exposition « Bonaventura Jannis Marwitzle » chez Damien & The Love Guru à Bruxelles, 2018 – Courtoisie de l’artiste et de la galerie, crédit photographique Alexey Shlyk

Il incarne l’ambition, et fascine pour avoir consommé sa passion au prix de sa vie. Essor et déclin. L’éphèbe jouit de l’ingénierie de son ascendance, qui lui permit d’assouvir son désir d’élévation. Décollage et débandade. Il néglige les recommandations, seulement guidé par sa propre satisfaction. Haut et bas. Il soumet sa condition humaine à une issue fatale. Finalement, peu importe puisque le héros a approché au plus près son idéal.

Sam Gilliam au Kunstmuseum Basel à Basel

Thomas Cole à The National Gallery à Londres

L’envol à La Maison Rouge à Paris

Land of Lads, Land of Lashes par Anke Kempkes à la Galerie Thaddaeus Ropac à Londres

Ed Ruscha à The National Gallery à Londres

Killed Negatives à la Whitechapel Gallery à Londres

Carol Bove chez David Zwirner à Londres

Sam Gilliam; Rondo; 1971
Sam Gilliam, Rondo, 261 x 366 x 198 cm, acrylique sur toile et poutre, 1971 – Collection Kunstmuseum Basel © 2018 ProLitteris Zurich

Le numéro complet est disponible sur abonnement – Full issue on subscription

Le corps synthétique fascine, avec la promesse de hisser l’humanité hors de son essence organique. Des fantasmes d’immortalité alimentent la possibilité déraisonnable de remplacer tout simplement, les parties défaillantes de l’organisme comme nous le ferions de toute invention mécanique. C’est une grammaire clinique qui se déverse ainsi sur un imaginaire vidant notre existence de sa chair.

Isa Genzken chez David Zwirner à New York

Alix Marie chez Roman Road à Londres

Cathy Wilkes à MoMA PS1 à New York

Tarik Kiswanson par Jesi Khadivi à la Fondation d’Entreprise Ricard à Paris

Jesse Darling chez Chapter NY à New York

L’institut d’esthétique pour Do Disturb au Palais de Tokyo à Paris

Hannah Levy chez Clearing à New York

38366227-9394-450a-8fca-e2e4a75d7f35
Alix Marie, La Femme Fontaine, 2018 – Courtoisie de l’artiste et Roman Road, crédit photographique Ollie Hammick

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Alors qu’elle passe pour être une entrée œcuménique, la voilà intellectualisée, théorisée, ramenée au langage et à la pensée, indéniablement. Elle n’est plus cette sensation universaliste partagée par les vivants, comme s’il fut un jour possible de ne pas réfléchir, mais s’affirme éminemment cérébrale. Le daltonisme et autres extravagances de la vision permettent d’amplifier encore la relativité de toute perception. Connaissance et reconnaissance règnent sur une écriture plus cryptée qu’elle n’y paraît.

Colour in contextual play par Cornelia Lauf chez Mazzoleni à Londres

Vantablack par Erik Verhagen et Jocelyn Wolff à la Galerie Jocelyn Wolff à Paris

Learning from Athens par Adam Szymczyk à Kassel

Otto Freundlich par Julia Friedrich au Kunstmuseum Basel à Bâle

Guy Mees chez David Zwirner à Londres

Metro : Art at velocity à Bloomsberg space à Londres

Nathalie du Pasquier chez Pace London à Londres

36fe4d96-c9eb-4386-9a41-18033ee377ee
Miriam Cahn, hauen, 22.5 x 40 cm, huile, bois, 2015

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Il est excitant d’envisager la photographie comme médium de la parthénogenèse, s’autogénérant par son principe-même. L’image se regarde. Il s’agit de se reproduire soi, de s’inventer. Et la pronomination ne concerne pas tant ici l’auteur que le procédé. La copie du même culmine dans un égoïsme manifeste. Enfanter seul. Et Vierge, le second roman d’Amélie Lucas-Gary, vient de paraître aux Éditions du Seuil.

The camera exposed au V&A – Victoria and Albert museum à Londres

Christopher Williams à la David Zwirner Gallery à Londres

You are looking at something that never occurred à la Zabludowicz collection à Londres

Double take à Skarstedt à Londres

Akram Zaatari à la National portrait gallery à Londres

James Beckett chez T293 à Rome

Behind the mask, another mask à la National portrait gallery à Londres

889872ba-509b-49ea-b3d7-b51917b4f109
Elad Lassry, Egyptian mau, 2010 – Zabludowicz collection

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Certaines pratiques alternatives l’érige en vrai remède. Cette méthode porte sur les vertus curatives du rayonnement lumineux selon sa diffraction en différents spectres, appliquée à certaines parties du corps. Envisageons simplement ici, les bienfaits de notre exposition à la couleur, dans sa charge la plus intense.

Josef Albers chez David Zwirner à Londres

Nicholas Roerich à la Vilnius picture gallery – Lithuanian art museum à Vilnius

Playground à la Galerie Emmanuel Hervé à Paris

Goetheanum à Dornach

Megan Rooney chez Freymond-Guth fine arts à Bâle

Adrien Vescovi à la Galerie Ceysson & Benetière à Saint-Etienne

Claude Monet à la Fondation Beyeler à Riehen

ad3e7912-c671-437b-b970-9cbd84ecfd80
Lisa Beck, Akh II, 20x15cm, peinture émaillée, bois, miroir, 2016 – Courtoisie de l’artiste et la Galerie Samy Abraham, Paris

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

La mythologie grecque lui attribue une lucidité tragique. Elle parle, personne ne l’écoute. Demeure un paysage d’inconsidération dans lequel se plantent les mots. Ils existent. Inconditionnellement, ils sont là. L’iconoclasme construit pour cela un terrain favorable. Des voix que l’on préfère ne pas boire, sont vues. Le manifeste et l’anéantissement entretiennent une correspondance fertile. Plutôt que de se taire.

Rémy Zaugg par Xavier Duroux au Consortium à Dijon

Dust par David Campany au Bal à Paris

Demain dans la bataille pense à moi par Magalie Meunier à l’Iac à Villeurbanne

Raoul de Keyser à la David Zwirner Gallery à Londres

Black sun à la Fondation Beyeler à Riehen

Luc Schumacher à la Backslash gallery à Paris

John Giorno par Florence Ostende au Palais de tokyo à Paris

rémy
Rémy Zaugg, Blind bild, 44x39x2cm, acrylique, sérigraphie, toile, 1992

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Ce n’est pas un jeu de mot graveleux dans lequel j’aurais sombré, mais bien une heureuse étymologie rapprochant l’incantation magique, à la mort tout simplement. Des divinations aux méthodes diverses visent un résultat similaire. Peu importe le canal, c’est la certitude d’une communication suprême qui anime nos sorciers. En appeler aux pouvoirs occultes, pour jouir d’une réponse, d’un signe.

Martin Gusinde par Christine Barthe & Xavier Barral au Cloître Saint-Trophime à Arles

Korakrit Arunanondchai par Julien Fronsacq au Palais de tokyo à Paris

Animism, shamanism par Charlotte Cosson & Emmanuelle Luciani à Paradise à Marseille

Tony Oursler par la Fondation Luma – Beatrix Ruf & Tom Eccles au Parc des ateliers à Arles

Anna & Bernhard Blume à la Galerie de photographies au Centre Pompidou à Paris

Aaron Angell au Studio Voltaire à Londres

Michaël Borremans à la David Zwirner Gallery à Londres

aaron
Aaron Angell, Candles-levels, 100x90cm, verre, peinture, 2015 – Courtoisie de l’artiste et de la galerie Rob Tuffnell, London

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Phobie ou philie, le sentiment ressenti depuis un intérieur n’est pas toujours clair. Isolement et protection. Enfermement et sécurité. Cage et cloître. L’affirmation d’un cadre serre autant à y rester qu’à mieux en sortir. Peu importe leur ambivalence, il s’agit de qualifier les parois, les contenus et les dehors de ces situations.

Laura Lamiel par Guillaume Désanges à La verrière – Fondation d’entreprise Hermès à Bruxelles

Karin Lehmann à la Seventeen Gallery à Londres

Carol Bove à la David Zwirner Gallery à Londres

Benjamin Mouly à la Galerie Les filles du calvaire à Paris

James Lewis à La trap au Pré-saint-gervais

Ydessa Hendeles par Philip Larratt-Smith à l’Ica – Institute of contemporary arts à Londres

Robert Overby par Alessandro Rabottini au Consortium à Dijon

laura
Laura Lamiel, Chambres de capture, 2015 – Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Marcelle Alix, crédit photographique Isabelle Arthuis

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Le participe présent porte bien son nom. Celui dont on peut interroger le second rôle qu’il interprète, ou pas, contribue par son existence, au surgissement d’une écriture. L’approche anglo-saxonne de part son ancrage royal, accorde la primeur au modèle, l’auteur n’étant qu’un exécutant dont les talents de représentation permettront l’immortalisation d’une personne. Et c’est d’elle que tout partirait. Plus ému par la réalité plastique que la réception symbolique, il s’agira ici de se pencher sur un constat contraire. Hors de l’aliénation de la reconnaissance, c’est la simple manifestation de l’espace humaine qui rayonne. Un grand doute subsiste dans le lexique de la figure, quant à l’échelle dont il est question, silhouette autant que visage.

Graham Little à la Alison Jacques Gallery à Londres

Rineke Dijkstra à la Galerie Marian Goodman à Paris

Balthus à la Galerie Gagosian à Paris

Nicolas Party au Centre culturel suisse à Paris

Figuratively speaking chez Heike Moras Art à Londres

Marlene Dumas à la Tate modern à Londres

Luc Tuymans à la David Zwirner Gallery à Londres

2015Semaine08
Lynette Yiadom-Boakye, Heaven help us all, huile, toile, 2005 – Collection particulière

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Enfin. Je traverse l’Océan Atlantique pour séjourner une bonne semaine à New York où je rédige ce présent numéro. C’est avec une excitation évidente que je parcours activement Manhattan et ses environs, à la découverte d’une actualité artistique pas si facile à localiser. Bien-sûr, quelques agendas et recommandations vous guident vers les destinations classiques qu’offre la ville en matière d’art contemporain. Ces bases sont nécessaires, mais l’objectif est d’aller bien au-delà. Et ce n’est pas vraiment ce premier volet d’une série de chroniques newyorkaises qui en témoignera. J’ai en effet d’abord choisi de me concentrer sur une zone géographique sans grandes surprises. Et plutôt que de développer toute l’actualité des institutions de ce centre-ville, nous commencerons par quelques figures américaines de l’histoire de l’art récente, présentées par de monolithiques galeries de Chelsea pour continuer vers une plus jeune génération, compatriote.

Donald Judd à la David Zwirner Gallery à New York

Sol LeWitt à la Paula Cooper Gallery à New York

John Chamberlain à la Gagosian Gallery et à The Pace Gallery à New York

Keith Haring à la Gladstone Gallery à New York

Richard Tuttle à The Pace à New York

Garth Weiser à la Casey Kaplan Gallery à New York

Cory Arcangel au Whitney Museum of American Art à New York