Nous pouvons interroger la motivation d’un artiste à représenter quelqu’un plutôt que quelque chose. L’histoire du portrait est vaste, et je tiens ici plutôt à me pencher sur la manière dont le grotesque peut surgir sur une figure. Pour cela j’avoue devoir m’éloigner de mes prédispositions, et confronter des canons historiques à nos grimaces contemporaines.
Phantasia par Lille3000 au Tri postal dans le cadre de Fantastic à Lille
Albrecht Dürer et son temps à l’Ensba – École nationale supérieure des beaux-arts à Paris
Gert&Uwe Tobias au Frac Auvergne – Fonds régional d’art contemporain à Clermont-Ferrand
Brian Chalkley à la Galerie Ancient&Modern à Londres
La galerie du temps au Louvre-Lens à Lens
Yue Minjue à la Fondation Cartier à Paris
George Condo à la Galerie Catherine Houard à Paris
> Théo Mercier, Le solitaire, 2010 – Courtoisie Gabrielle Maubrie Paris
Crédit photographique Pierre Mondain-Monval