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Archives de Tag: Galerie Claudine Papillon

En fricassée ou en ragoût, elle peut se transformer en pépite gustative. Et désigne grossièrement les viscères en boucherie, les tripes, voire de manière plus imagée, le siège des passions. Il s’agit de chair laissée au rebut, qu’il faut savoir reconsidérer pour en révéler toute la saveur.

Anne Verdier à la Galerie XXI à Paris

Théodule Ribot au Musée des Augustins à Toulouse

Elsa Sahal à la Galerie Papillon à Paris

Alberto Giacometti | Barbara Chase-Riboud par Émilie Bouvard à l’Institut Giacometti à Paris

Replica par Chantal Crousel à Cahn Contemporary à Bagnolet

Lynda Benglis chez Xavier Hufkens à Bruxelles

Ser Serpas chez Balice Hertling à Paris

267db44b-f37a-a11a-12a1-fbbb18466198Anne Verdier, Pss 021-12Grès, porcelaine, émail, 1300°C, 2021 | Courtoisie de l’artiste et de la Galerie XXI (Paris)

En temps de crise, ça explose. L’exposition frontale d’une entrejambe, bien campée, demeure un message clair. Tout est imposé à l’œil. Un déballage empêche de ne pas regarder. Et de telles formes ont ainsi fait irruption au fil de l’Histoire de l’art, avec une relative cristallisation il y a cinquantaine d’années, pour manifester une urgence. Certain.e.s pensent l’affrontement nécessaire. La violence agit alors par l’ouverture du corps à notre vue.

VALIE EXPORT par Brigitte Huck au Pavillon Populaire à Montpellier

Elsa Sahal | Erik Dietman par la Galerie Papillon la Fiac 2019 à Paris

4fucksakebabes par Jamie Bull à Goswell Road à Paris

Carolee Schneemann chez mfc-michèle didier à Paris

Robert Brambora par Sans titre (2016) pour Paris Internationale 2019 à Paris

I wake up every morning in this killing machine called America à la New Galerie à Paris

Henri Ughetto à l’Enseigne des Oudin à Paris

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Elsa Sahal, Venus polymathe jouissante, 2019 | Courtoisie de la Galerie Papillon (Paris)

Solide. Liquide. Gazeux. La physique enseigne généralement que la matière se trouve selon trois formes dans la nature, avec une triangulation qui en guide les changements. C’est au niveau moléculaire que cette passion se développe et plusieurs argumentations seront encore nécessaires pour jouir pleinement des subtilités de cette science. Aujourd’hui, passons sur le quatrième genre pour envisager directement le suivant que nous nommerons ici l’état vitreux. Il s’agit du liquide figé ou du solide amorphe, dont l’épanchement serait trop lent pour pouvoir être perceptible par la sensibilité humaine. La viscosité fait partie de ses plus fascinantes propriétés. Ainsi nos écrans s’écouleraient.

Pakui Hardware chez Tenderpixel à Londres

Jardin des pommes à la Galerie Joseph Tang à Paris

Daiga Gratina par Sandra Adam-Couralet au Palais de Tokyo à Paris

Crash test par Nicolas Bourriaud à La Panacée – MoCo à Montpellier

Liliane Lijn chez Rodeo à Londres

Tony Oursler par Redling Fine Art à The Armory Show à New York

Elsa Sahal par Gaël Charbau à la Galerie Papillon à Paris

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Daiga Grantina, Coat-ee off Cat Curl, 2018 – Production La Panacée-MoCo, courtoisie de l’artiste et la Galerie Joseph Tang (Paris), crédit photographique Aurélien Mole

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Alimentons le culte des profondeurs. L’actualité confirme toujours et encore la permanence du minéral en tant que fascination fertile. Muqueuses sombres et parois rocailleuses demeurent des intrigues plastiques inépuisables. Ce sujet est une ressource vigoureuse et maintenant familière, que je continue à partager avec un plaisir certain.

Elsa Sahal à la Galerie Claudine Papillon à Paris

Otium#1 à l’Iac – Institut d’art contemporain à Villeurbanne

Salvatore Arancio à La halle des bouchers à Vienne

Ra schools show 2015  à la Royal academy of arts à Londres

Mineral à la Galerie Max Hetzler à Paris

Substance à la Galerie Laurent Godin à Paris

Ivan Seal à la Carl Freedman Gallery à Londres

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Elsa Sahal, Comme un nuage, 72x48x50cm, grès de la Manufacture nationale de Sèvres, émail, 2007 – Courtoisie de l’artiste, de la galerie Claudine Papillon, collection Cité de la céramique

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Le mot a son charme. Sa construction associe le feuilleté géologique à l’écriture, invitant la lecture enthousiaste d’une actualité artistique durablement imprégnée par la minéralité. Et toujours, l’archéologie continue de marquer les créativités, avec les fantasmes qu’elle éveille et les pratiques qu’elle requiert. Notre intitulé vise plus précisément l’étude de la succession des différentes couches terrestres. Il suggère un voyage dans la matière tellurique, motivé par le souci de datation ou par d’autres preuves de notre généalogie. Continuités et superpositions rapprochent dans notre cas, un ensemble de productions aux longévités variables, de la pousse naissante à la pointure historique, toutes concernées par une passion pour le sédiment et sa représentation. Poussière. Fossile.

Gyan Panchal à la Galerie Marcelle Alix à Paris

Arnaud Vasseux à la Galerie White projects à Paris

Jane Hayes Greenwood à Art bermondsey à Londres

Charles le Hyaric à la Galerie Claudine Papillon à Paris

Luciano Fabro au Museo Reina Sofia – Palacio de Velázquez à Madrid

The parliament of things par Nicole Yip à Firstsite à Colchester

Lucy Skaer par La salle de bains au Musée gallo-romain de Lyon-Fourvière à Lyon

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Lucy Skaer, American images, Unsold editions, calcaire, verre, 2013 – Courtoisie de l’artiste et de la galerie Peter Freeman Inc., New York et crédit photographique Andy Keate

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Feu. Minéralité. Projection. Ce numéro s’aventure à une interprétation libre du mythe de la caverne. La parabole platonicienne nous raconte comment la philosophie antique envisageait l’expérience du monde et sa représentation, par silhouettes interposées. Ce poncif de la pensée occidentale sera ici teinté d’échos préhistoriques. Toute une fantaisie se développe alors, probablement conditionnée encore par les paysages rocheux dont j’ai joui en Cappadoce il y a peu.

Bojan Šarčević à l’Iac – Institut d’art contemporain à Villeubanne

Christian Jaccard au Cac Abbaye Saint André – Centre d’art contemporain à Meymac

Tout feu tout flamme à la Galerie Tornabuoni art à Paris

Elsa Sahal à la Galerie Claudine Papillon à Paris

La monte young & Marian Zazeela au Mac – Musée d’art contemporain à Lyon

Rémy Hysbergue à la Galerie Jean Brolly à Paris

Errance aux Salaisons à Romainville

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> Rachel Labastie, Le foyer, 130x140cm, grès, 2011 – Courtoisie de l’artiste