Des transformations sont en cours. Et le changement dépasse largement les seuls contours climatiques. L’anthropocentrisme paraît bien vétuste dans un contexte où s’opère une flagrante translation. Le détail indélébile que l’humanité représente, s’inscrit au sein d’un immense vortex. Un nouveau romantisme nous invite à en contempler les parages.
Damien Fragnon au Crac Occitanie à Sète
La vie à elle-même par Flora Katz au Centre international d’art et du paysage à Vassivière
Pierre Huyghe à LUMA Arles à Arles
Shanta Rao par Eloise Sweetman à Treignac Projet à Treignac
David Douard à la Galerie Chantal Crousel à Paris
Patrick Crulis à Rossicontemporary à Bruxelles
Anita Molinero au Centre d’art bastille à Grenoble
Pierre Huyghe, After UUmwelt, reconstruction de réseaux de neurones profonds, reconstructions d’image profonde matérialisée (verre, résine synthétique, silicone, alliage de cuivre, colophane, minéraux, os, calcium, protéines, sodium, sucre, agar agar, bactéries), réseau contradictoire génératif, reconnaissance faciale, écrans, son, capteurs, cellules cancéreuses humaines (HeLa), incubateur, odeurs, abeilles, fourmis, mycelium, terre, pigment, 2021 | Courtoisie de l’artiste et des galeries Esther Schipper (Berlin), Chantal Crousel (Paris), Marian Goodman (New York) et Hauser & Wirth (London), production LUMA Foundation, crédit photographique Ola Rindal