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Archives de Tag: Maison du Danemark

Manuscrits et volages ou dressés par la typographie, les mots servent bien-sûr le langage par le système signifiant qu’ils tissent mais ils incarnent au-delà du message délivré une entité visuel irréductible. C’est à leur superficielle apparence que nous tâcherons de nous intéresser là, à la forme par laquelle ils prennent corps, bien qu’il soit difficile de s’écarter radicalement du contenu qu’ils transportent. Il s’agira ici de regarder avant de lire, de voir avant de comprendre.

Louise Campbell à la Maison du Danemark à Paris

Harald Stoffers à la Galerie Objet Trouvé – Christian Berst à Paris

Écritures Silencieuses à l’Espace Culturel Louis Vuitton à Paris

Jenny Holzer au Louvre à Paris

Robert Barry à la Galerie Yvon Lambert à Paris

A corps et à textes par Francesco Pedraglio à La Galerie à Noisy-le-Sec

Au pied de la lettre au Château du Domaine de Chamarande

Le terme désigne étymologiquement toute action scénique. Bien qu’il faille l’en distinguer par son caractère familier, le drame relève de la tragédie, qui se dénoue, selon sa définition, par la mort de protagonistes. Dans notre contexte relativement anxiogène, il me paraît riche de se pencher sur la faculté à exprimer des tensions existentielles sans se déverser dans une vulgaire confidence, qui serait obscène sans l’intelligence de la forme par laquelle passe le malaise évacué. Il s’agit de voir comment l’on peut évoquer élégamment la violence et en quoi cette voie n’est pas superficielle mais s’avère des plus efficaces pour affirmer une situation où l’horreur surgit du quotidien le plus proche. Du fait-divers au cataclysme, de soi à l’humanité, nous parcourrons ici une certaine esthétique de la catastrophe échelonnée en divers degrés.

Collisions à la Maison du Danemark à Paris

Stéphane Calais au Crédac à Ivry-sur-Seine

Emil Nolde aux Galeries Nationales du Grand Palais à Paris

Kendell Geers au Mac – Musée d’Art Contemporain de Lyon

Dimitri Tsykalov à la Mep – Maison Européenne de la Photographie à Paris

Das Plateau à Mains d’Oeuvres à Saint-Ouen

Fabrice Hyber dans le Parc de la Villette à Paris

Ce numéro se concentrera sur l’offre actuelle des instituts, maisons et autres centres culturels de pays étrangers à Paris qui restent des lieux peu intégrés aux habituels circuits, souvent du fait de leur manque de communication sur leur programmation. A part la Suisse dont j’ai déjà parlé précédemment et qui fait rayonner sa culture par le dynamisme et l’audace de son institution bien implantée, il est vrai qu’on connaît mal ces structures ambassadrices dont la mission demeure tout de même de représenter la luxuriante vivacité culturelle de leur pays dans notre capitale. Un portugais du Portugal, des belges de Belgique, un roumain de  Roumanie, un Danois du Danemark, un espagnol d’Espagne, des canadiens du Canada et un allemand d’Allemagne :  j’entends que le critère d’une nationalité pour soutenir un artiste a toujours quelque chose de suspect mais c’est pourtant bien là le propos. Il faut également savoir que si l’artiste qui fut le prétexte de votre déplacement ne le rentabiliserait pas, l’architecture des espaces qui l’accueille participe généralement à votre contentement.

Jorge Martins au Centre Culturel Calouste Gulbenkian à Paris

Du dessin à l’animation du dess(e)in  au Centre Wallonie-Bruxelles à Paris

Dorin Cretu à l’Institut Culturel Roumain à Paris

Asger Jorn à la Maison du Danemark à Paris

Antoni Muntadas à l’Instituto Cervantes à Paris

BGL au Centre Culturel Canadien à Paris

August Sander au Goethe Institut à Paris