Il faut parfois suspendre la navigation. Le port permet d’amarrer un temps, pour se reposer ou se protéger. Souvent, il existe déjà, et l’on s’y range sans trop s’interroger. Mais par exclusion, insatisfaction ou initiative, il peut être nécessaire de l’élaborer soi-même. Le gîte doit affirmer la sûreté, quitte à troubler les perspectives traditionnelles. De nouveaux codes de confort peuvent surgir. L’abri instaure une justice spatiale, un safe space façonné à l’image de qui s’y réfugie.
Victorien Soufflet à Keur à Paris
Simultanément, travaux in situ et en mouvement à la Galerie Kamel Mennour à Paris
Même porte, rue différente pour Roots to Routes et Manifesta 13 Marseille | Les Parallèles du sud à Marseille
Zuzanna Czebatul à Sans titre (2016) à Paris
Emily Ludwig Shaffer par Paul Michael Brown chez Pact à Paris
A Sudden Wilt par 15 Orient à Balice Hertling à Paris
Wilfrid Almendra par Cédric Fauq pour Manifesta 13 Marseille | Les Parallèles du Sud à Atlantis à Marseille
Victorien Soufflet en association avec Hugo Soucaze Caussade, Daybeds, day dream, they have non reproductive desires, 2020 | Courtoisie de l’artiste, crédit photographique Romain Darnaud