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Archives de Tag: La loge

Il nous empêche de tomber. Barrière matérielle ou précaution philosophique, il tient la violence à distance. Parapets, balustrades et rambardes protègent du vide existentiel. Au Moyen-Âge, le terme désigne un élément vestimentaire, pièce d’armure cuirassant le ventre du soldat.

Nairy Baghramian au Carré d’Art à Nîmes

Leonor Antunes à La Loge à Bruxelles

Rebecca Horn chez Thomas Schulte à Berlin

Church for Sale par Gabriele Knapstein à la Hamburger Bahnhof à Berlin

Nina Canell à la Berlinische Galerie à Berlin

Eva Barto au Frac Île-de-France – Le Plateau à Paris

Felix Gonzalez-Torres – Roni Horn à la Bourse de Commerce à Paris

8c7a6450-df3f-e713-5535-8fe8202071d7Rebecca Horn, BLACK COCKFEATHERS, 80 x 60 cm, black and white print, 1971 | © L’artiste, courtoisie de l’artiste et de la Galerie Thomas Schulte (Berlin)

Le terme résonne comme un prénom mythologique. Il est antique et guttural. Il définit une simplicité rustique. Beaucoup aujourd’hui, fantasment une ère primitive, visent naïvement le temps d’avant. Alors les campagnes incultes et les terres lointaines, deviennent l’ultime horizon. C’est aussi le nom d’un papillon brun voire doré, qui vole dans les poussières du mois d’août.

Jill Mulleady à la Galerie Gaudel de Stampa à Paris

Chasser le dragon chez High art à Paris

Neo-pagan-bitch-witch! par Lucy Stein & France-Lise McGurn chez Evelyn yard à Londres

Пикник на обочине (Piknik na obochine) par Florent Delval chez Exo exo à Paris

Intellectual barbarians à la Whitechapel gallery à Londres

Pastoral myths à La loge à Bruxelles

Morgan Courtois chez Balice Hertling à Paris

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Jean-Marie Appriou, Beekeeper (hydrangea) – détail, 240x100x180cm, aluminium, verre soufflé, 2016

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

La marque est déposée. Un peu comme toute signature sauf que la chaîne de production est ici apparente. Usines offertes, ces dispositifs entretiennent un exhibitionnisme certain, faisant poser les secrets de fabrication. Il s’agit de chérir l’esprit industriel en en pointant différentes caractéristique, la standardisation du geste en tête. L’échelle reste humaine et l’aliénation relative, avec la manufacture pour modèle. La mécanique du faire devient le sujet d’une attention pointant une métaphore plutôt cruelle de l’atelier.

Michael Beutler à La loge à Bruxelles

Willem Boel par Johan Fleury de Witte à L’île à Paris

Paul McCarthy à La monnaie de Paris à Paris

Agence par Guillaume Désanges à La verrière Hermès à Bruxelles

Tunga à la Pilar Corrias Gallery à Londres

Katinka Bock à la Galerie Jocelyn Wolff à Paris

Neïl Beloufa à l’Ica – Institute of contemporary arts à Londres

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Agence, Assemblée (Des gestes de la pensée), 2014 – Courtoisie de l’artiste, crédit photographique Fabien de Cugnac

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Apparat et solennité déterminent des rituels impénétrables, à l’attention unique des initiés, bien qu’ils fascinent tous les autres. Selon des chorégraphies propres, les êtres perpétuent assidument une gestuelle métaphorique confortant par sa répétition la persistance d’une communauté, qui intègre ou exclut par définition. Un maniérisme extrême qualifie son contenu et sa façon, pour la parade publique autant que le conciliabule le plus confidentiel.

Kate Newby à La loge à Bruxelles

Matthew Barney à la BnF – Bibliothèque nationale de France site Mitterrand à Paris

Jeune création 2013 au Centquatre à Paris

Le mouvement des choses par le Frac Champagne-Ardenne à La ménagerie de verre à Paris

Prinz Gholam à la Galerie Jocelyn Wolff à Paris

Illuminations au Palais des beaux-arts à Lille

Éliane Radigue & Xavier Veilhan par la Fondation Hermès au Théâtre cité internationale à Paris

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Éliane Radigue & Xavier Veilhan, Systema occam, 2013 –
© Les artistes, Adagp Paris 2013 et crédit photographique Diane Arques

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