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Archives de Tag: Galerie Chloé Salgado

Le faste, le prestige, peuvent parfois nécessiter une opération de consolidation de tout ce qui en permet l’érection fière. Des travaux souvent spectaculaires sont alors engagés au niveau de leurs fondations-même. Il s’agit d’orchestrer un effort important reconfigurant les équilibres souterrains. De fond, et du fond. Invisible au final, cette intervention cible la substructure. Ainsi, loin de désigner une infériorité, cet ouvrage volontariste soutien tout le reste. La base.

Didier Vermeiren à la Galerie Greta Meert à Bruxelles

Leo Fabrizio au Centre Photographique Marseille à Marseille

Edi Hila à la Galerie Mitterrand à Paris

Une moraine d’objets par Yannick Langlois au Palais des Beaux-Arts à Paris

Lulù Nuti à la Galerie Chloé Salgado à Paris

Yoan Béliard à la Galerie Valérie Delaunay à Paris

Gaëlle Leenhardt à la Brasserie Atlas à Anderlecht

Didier Vermeiren, La Cariatide à l’urne, 290 x 266 x 266 cm, bois, plâtre, métal, 1996 | Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Greta Meert (Bruxelles)

Lors de l’exposition universelle de New York en 1939, un pavillon commandité par General Motors Corporation propose comme l’indique son nom, une vision de demain. L’installation prend la forme d’une maquette et imagine le monde dans vingt ans. Conçue par Norman Bel Geddes en collaboration avec Albert Kahn, la prospection présentait une urbanité caractérisée par des autoroutes automatisées et de vastes banlieues. À la fin du même siècle, l’intitulé baptisera un croustillant dessin animé, ironisant ce rétrofuturisme ancré dans la science et la fiction. Si le progrès technologique est chose sérieuse, autorisons-nous à l’envisager avec jovialité.

Henri Comby à la Galerie Henri Chartier à Lyon

Same player shoot again par Jacqueline de Jong et Ellef Prestsæter à Treize à Paris

Les Amazones du Pop par Hélène Guenin et Géraldine Gourbe au MAMAC à Nice

Léa Bouttier à Kommet à Lyon

Pétrel | Roumagnac (duo) à la Galerie Valeria Cetraro à Paris

La vie dans l’espace par Jill Gasparina au MRAC Occitanie à Sérignan

Hugo Avigo à la Galerie Chloé Salgado à Paris

Kiki Kogelnik, Miss Universe, 152.15 x 121.92 cm, huile et acrylique sur toile, 1963 | Courtoisie de la Galerie Natalie Seroussi (Paris) © Kogelnik Foundation

Il existe une injonction à l’épanchement, définissant l’art comme l’expression directe de ses plus profondes constituantes. Cette obscène tendance fausse d’emblée la réception d’une œuvre, en y projetant l’accès le plus immédiat à l’essence de l’autre. Ce sont justement tous les filtres que l’artiste façonne qui nous concernent. Faire croire à un partage instantané de l’intimité devient alors une opération racoleuse de communication, une agaçante intimidation.

Marc Alberghina à la Galerie XXI à Paris

Je refléterai ce que tu es… par Stéphane Ibars à la Collection Lambert à Avignon

Portraits & Some Standing Figures à la Galerie Sébastien Bertrand à Genève

Chechu Álava au Museo Nacional Thyssen-Bornemisza à Madrid

American Women par Marie Maertens à La Patinoire Royale – Galerie Valérie Bach à Bruxelles

Brice Dellsperger chez Air de Paris à Romainville

Stevie Dix à la Galerie Chloé Salgado à Paris

Joe Andoe.indd Aks Misyuta, Chiffon Dress, 50 x 50 cm, acrylique sur toile, 2020 | Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Sébastien Bertrand (Genève), crédit photographique Annik Wetter

Il existe une discipline inspectant la constitution chimique ou physique des corps, à travers l’énergie, notamment lumineuse. Une attention est alors portée à l’irradiation des choses. Les apparitions ne sont plus des frousses sépulcrales, mais des graphiques cliniques à étudier. Pas sûr que l’approche scientifique réussisse à définitivement taire tout fantôme.

Fabien Giraud & Raphaël Siboni par Anne Stenne à l’Institut d’Art Contemporain Villeurbane/Rhône-Alpes à Villeurbanne

Des temps liés à la Galerie Chloé Salgado à Paris

Sous le soleil exactement pour Restons Unis à la Galerie Perrotin à Paris

Ludovic Sauvage à la Galerie Valeria Cetraro à Paris

Fun House par Cristina Ricupero au Parc Saint-Léger à Pougues-les-Eaux

Josh Brand pour Condo London 2020 à Herald St à Londres

Aurore Pallet à la Galerie Isabelle Gounod à Paris

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Shanta Rao, untitled, 156 x 176 x 17 cm, peinture polymère, 2019 | Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Joseph Tang (Paris)

On peut préférer rester chez soi. Une vie sédentaire fleurit alors, à travers les satisfactions de tout un decorum aiguisé pour installer au mieux son sentiment d’aisance. Chaque détail participe de cette situation, née d’un penchant ou d’un impératif, quoiqu’il en soit renforcés par tout ce qui ne sert qu’à asseoir le confort. De l’inclination pantouflarde à l’assignation à domicile, il s’agit de se construire une position stationnaire.

Ron Nagle à The Perimeter à Londres

David de Tscharner à la Galerie Valeria Cetraro à Paris

Côme Clérino à la Galerie Chloe Salgado à Paris

Alexandre Benjamin Navet à la Galerie Derouillon à Paris

The Yellow Wallpaper à L’Attrape-Couleurs à Lyon

Le Dandy des gadoues par Marc Bembekoff à La Galerie à Noisy-le-Sec

Hugo Pernet chez Semiose | Project space à Paris


Côme Clérino, Les vertes éclairées, dimensions variables, technique mixte, 2019 | Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Chloe Salgado (Paris)