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Archives de Tag: Freymond-Guth Fine arts

C’est plus qu’une maison. La splendeur pour sûr, le confort indéniablement et ce je-ne-sais-quoi, transforment un simple hébergement en un lieu incomparable, à jamais tatoué par un nom qui le distinguera en plus du reste, des autres. Son statut social s’échappe de la basique norme domestique régissant les zones privées et publiques, en en faisant une plateforme ostentatoire de pure réception, ou au contraire un ermitage exceptionnellement ouvert à de rares initiés.

Maria Loboda à l’Institut d’art contemporain Villeurbanne / Rhône-Alpes à Villeurbanne

Casa Miller par Arlène Berceliot Courtin à la Galerie Allen à Paris

Cerith Wyn Evans à la Galerie Marian Goodman à Paris

Rachel Feinstein au Mur Saint-Bon à Paris

Reflections on the surface chez Freymond-Guth à Bâle

Villa Santo Sospir par Emmanuelle Oddo pour Double V à Jogging à Marseille

Ron Nagel chez Modern Art à Londres

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Alexandre Benjamin Navet, Vase, 2017 – Courtoisie de l’artiste

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Certaines pratiques alternatives l’érige en vrai remède. Cette méthode porte sur les vertus curatives du rayonnement lumineux selon sa diffraction en différents spectres, appliquée à certaines parties du corps. Envisageons simplement ici, les bienfaits de notre exposition à la couleur, dans sa charge la plus intense.

Josef Albers chez David Zwirner à Londres

Nicholas Roerich à la Vilnius picture gallery – Lithuanian art museum à Vilnius

Playground à la Galerie Emmanuel Hervé à Paris

Goetheanum à Dornach

Megan Rooney chez Freymond-Guth fine arts à Bâle

Adrien Vescovi à la Galerie Ceysson & Benetière à Saint-Etienne

Claude Monet à la Fondation Beyeler à Riehen

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Lisa Beck, Akh II, 20x15cm, peinture émaillée, bois, miroir, 2016 – Courtoisie de l’artiste et la Galerie Samy Abraham, Paris

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Les récoltes sont mauvaises. La famine gagne le monde. Il gèle en août. Les subsistances sont pillées. Le ciel s’épaissit. Les morts s’entassent. Les fleuves débordent. La panique règne. Il neige rouge. Les volcans crachent. Les superstitions grandissent. Confinée par le mauvais temps dans une maison au bord d’un lac, Mary Shelley écrit son premier roman, Frankenstein. C’était il y a deux cents ans en 1816.

Miriam Cahn chez Blondeau & Cie à Genève

Le retour des ténèbres au Musée Rath à Genève

Caroline Achaintre par Antoine Marchand au Frac Champagne-Ardenne à Reims

Gregor Staiger chez Emalin pour Condo 2017 à Londres

Kris Lemsalu par Koppe Astner chez Southard Reid pour Condo 2017 à Londres

L’état parfait chez Freymond-Güth Fine Arts à Basel

The plates of the present, so far par Thomas Fougeirol & Jo-ey Tang chez Praz-Delavallade à Paris

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Caroline Achaintre, Chubber, 35x33x24cm, céramique, cuir, 2013 – Courtoisie de l’artiste et Arcade fine arts, London

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Ailleurs parfois, mais là assurément, la parole se libère. Il semblerait que certains recoins invitent à la confidence, bien au-delà du rituel catholique, de ces révélations émancipés de l’empreinte de la culpabilité. Ces loges sont de simples isoloirs permettant d’un coup, de tout affirmer.

Louise Bourgeois au Louisiana museum of modern art à Humlebæk

Love life : Act 1 à Peer à Londres

Botteghe oscure chez Freymond-Guth Fine Arts à Basel

Otto Dix au Musée d’Unterlinden à Colmar

La perle à la Galerie art:concept à Paris

La femme visible à la Galerie Natalie Seroussi à Paris

Robert Mapplethorpe par Juergen Teller chez Alison Jacques Gallery à Londres

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Botteghe oscure, 2016 – Courtoisie Freymond-Guth Fine arts

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Avant de devenir un anthroponyme ayant une double désignation décorative et militaire, ce prénom fut celui d’une archiduchesse autrichienne devenue impératrice des français au début du dix-neuvième siècle. Il faudra développer davantage l’ancrage de cette potentielle provenance, et sa symétrie soldatesque. Le même terme est effectivement utilisé pour nommer les conscrits du premier Napoléon, plusieurs fois victorieux grâce à ces jeunes novices recrutés hâtivement mais entourés de vétérans. Ce statut intermédiaire résonne avec la fonction de notre élément dans le domaine des beaux-arts. En matière d’encadrement, il fait la transition entre l’œuvre et le cadre. Zone de respiration, il participe de la scénarisation de la jouissance de ce qu’il ceint. Il ne faut pas le confondre avec le passe-partout qui consiste en une fenêtre séparant l’œuvre d’une vitre qui la protège. L’obsolescence aurait pu aujourd’hui guetter cette stratégie du regard, mais différentes sensibilités lui donnent une vitalité nouvelle, littéralement ou pas. Il s’agit de survoler une certaine actualité européenne de l’image imprimée, et des façons de la donner à voir.

Constance Nouvel à la Galerie In situ – Fabienne Leclerc à Paris

George Shiras au Musée de la chasse et de la nature à Paris

Thomas Hirschhorn à la Galerie Chantal Crousel à Paris

Roe Ethridge à la Gladstone gallery à Bruxelles

New builds à la Josh Lilley Gallery à Londres

Decade à la Galerie Freymond-Guth à Zürich

Marina Pinsky à la Kunsthalle Basel à Basel

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Constance Nouvel, série Persistants – Panorama, 21x23x21cm, tirage argentique, plâtre, 2014 – Courtoisie de l’artiste

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