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Archives de Tag: Galerie Malingue

Qu’il désigne un dieu solaire, une somme d’anges, un morceau d’ambre voire un papillon nocturne, le mot avait dans l’Antiquité déjà, des propriétés magiques par sa graphie-même. La succession de ses caractères grecs sonne en effet bien, et pourrait provenir d’un cryptogramme d’origine hébraïque. La transcription de sa formule sacrée est souvent immortalisée en une pierre taillée, une forme d’amulette.

James Lee Byars chez Kewenig à Berlin

MCMXXXIV chez Massimo de Carlo / Lombardia à Milan

Martin Belou à Bastide Projects à Marseille

Armando Andrade Tudela par Daniel Steegmann Mangrané au CA2M à Móstoles

Jagna Ciuchta par Lionel Balouin à l’Émba / Galerie Manet à Gennevilliers

Le « Talisman » de Sérusier, une prophétie de la couleur au Musée d’Orsay à Paris

Charles Filiger par André Cariou à la Galerie Malingue à Paris

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Jagna Ciuchta, Darlingtonia, la plante cobra, la galerie EM à gennevilliers, peintures murales, pvc, aluminium, chaînes, peaux de bête synthétique, [avec sexe chaussé de Benjamin Swaim, 2011, From Boo Berry de Laura Porter, 2019, Hautes Tatras de Viktorie Langer, 2016, Profondo de Céline Vaché-Olivieri, 2018], 2019 | Courtoisie de l’artiste

En argot bien français, le terme désigne une viande suspecte voire une chair vendue. L’épais bifteck se retrouve au cœur des loisirs de la grillade. Cet aspect carnivore résonne avec un anglicisme prônant la jouissance de plein contact. La pratique sexuelle emprunte son nom à une virtuosité d’équitation consistant à chevaucher sa monture sans selle, à cru.

Athena Papadopoulos par Emalin à Paris Internationale 2017 à Paris

(X) A Fantasy à DRAF London à Londres

Jean Hélion à la Galerie Malingue à Paris

Guillaume Leblon à la Galerie Jocelyn Wolff à Paris

Joanna Piotrowska chez Southard Reid à Londres

Derain, Balthus, Giacometti – Une amitié artistique au Musée d’art moderne de la Ville de Paris

La nuit avant les forêts à Doc à Paris

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Carlotta Bailly-Borg, Flat walk, 140 x 160 cm, acrylique sur toile, 2017 – Courtoisie de l’artiste

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Même s’il n’y a rien de révolutionnaire à affirmer aujourd’hui dans la sphère artistique l’existence du commissaire d’exposition, l’évènement mené par le Palais de Tokyo marque une étape dans la vulgarisation de ce statut. Et cela fonctionne, vue la médiatisation qui en découle, aux contenus malheureusement trop souvent approximatifs. La manifestation comprend cinquante-trois propositions dont j’ai pu parcourir l’intégralité. Et au sein de formes expérimentales déceptives, de protocoles vides et somnifères, de belles choses échouées dans une documentarisation déprimante, de propositions convenables et de quelques initiatives enthousiasmantes dont je parlerai ailleurs, émergent sept merveilles. Celles-ci s’articulent selon une double perspective, existentielle et matérialiste, plaisirs du décoratif et angoisses spirites, dont nous ne pouvons que nous réjouir.

Champs élysées par Julie Boukobza, Simon Castets & Nicola Trezzi au Palais de Tokyo à Paris

Antigrazioso par Luca lo Pinto au Palais de Tokyo à Paris

Purkinje effect par Laurent Grasso à la Galerie 1900-2000 à Paris

Psychonautes par  Arnauld Pierre la Galerie Malingue à Paris

Interior 301 par Dorothée Dupuis à la Galerie Alain Gutharc à Paris

La retenue par Damien Airault à la Galerie Semiose à Paris

Condensation par Gaël Charbau au Palais de Tokyo à Paris

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Anne-Charlotte Yver chez John Lobb, Living dead factory, 2013 – © Fondation d’entreprise Hermès