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Archives de Tag: Andrew Kreps Gallery

Éteint ou en activité, tout cône tectonique représente un contraste dramatique entre mutisme et fulmination. Il est une possible catastrophe, même si sa menace promet au long terme une forme de fertilité. Son épaisse croûte protège temporairement un cœur vif, jusqu’à explosion. Éblouissement. Silence.

Milton Resnick chez Cheim & Read à New York

Celia Hempton chez Lorcan O’Neill à Rome

Leon Golub au Met Breuer à New York

Greengrassi / Corvi-Mora hosting Lomex / JTT / Proyectos Ultravioleta pour Condo à Londres

Erika Verzutti chez Andrew Kreps à New York

Jay DeFeo, The Ripple Effect par Franck Gautherot & Seungduk Kim au Consortium à Dijon

Jay DeFeo chez Mitchell-Inness & Nash à New York

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Celia Hempton, Stromboli, 900 Metres, 11th July 2017, 35.5 x 40.5 cm, huile et cendres sur toile, 2017 – Courtoisie de l’artiste et de la galerie Lorcan O’Neill, Rome

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Voir derrière soi sans se retourner. Si le dispositif automobile nécessite la présence d’un miroir, le principe peut être entendu de manière plus ouverte en considérant des visions qui réussissent à embrasser un patrimoine tout en allant de l’avant. L’image peut s’en trouver inversée. Objects in mirror are closer than they appear.

Tarik Kiswanson par La Halle des Bouchers au Musée gallo-romain à Saint-Romain-en-Gal

Laboratoire d’Europe, Strasbourg 1880-1930 au Mamcs à Strasbourg

Pablo Bronstein au Royal Institute of British Architects à Londres

Rodeo hosting Andrew Kreps pour Condo à Londres

Neïl Beloufa à la Galerie Balice Hertling à Paris

Union Pacific hosting Chert Lüdde / Misako & Rosen / Gregor Staiger pour Condo à Londres

Jean-Luc Moulène par Guillaume Désanges à La Verrière à Bruxelles

© vinciane lebrun-verguethen/voyez-vous
Tarik Kiswanson, All the things my eyes don’t see , 2017 – Courtoisie de l’artiste et des galeries Carlier Gebauer et Almine Rech, crédit photographique Vinciane Lebrun-Verguethen

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Il faut célébrer les merveilles. Retrouvons ici de précieuses initiatives optimisant leur contexte de réception, pour bénéficier des meilleures circonstances de contemplation. Notre intitulé sonore désigne à la fois la substance et l’outil pour coller amplement la surface d’une chose sur une autre. Adhérence. Adhésion.

Marc Camille Chaimowicz par la Andrew Kreps Gallery à la Fiac 2015 au Grand palais à Paris

Albert the kid is ghosting à la Draf – David Roberts art foundation à Londres

Thomas Demand à la Sprüth Magers Gallery à Londres

C’est la vie ? chez Occidental temporary à Villejuif

Jagna Ciuchta par La salle de bains à Paris internationale 2015 à Paris

Arturo Herrera à la Thomas Dane Gallery à Londres

One more time par Christian Bernard au Mamco à Genève

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Jagna Ciuchta, Aaaahhh!… n°1 (Missing Alina, After the exhibition “Alina Szapocznikow : Sculpture Undone, 1955-1972”, WIELS, Contemporary Art Centre, Brussels, 2012, curated by Elena Filipovic and Joanna Mytkowska, scenography by Kwinten Lavigne.), 59x40cm, acrylique, tirage jet d’encre,
papier baryté, 2015 – Courtoisie de l’artiste

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La réelle surprise quant à l’actualité artistique de la ville, fut la grande visibilité des productions photographiques. En effet, je ne pense pas avoir jusque-là parcouru une scène où le sensible médium bénéficiait d’une telle présence en galeries et musées. Alors qu’ailleurs, les clichés contemporains doivent, pour exister dans leur audace, se réfugier sur la blogosphère ou dans des éditions confidentielles, ils jouissent ici de circuits classiques, donc d’un marché qui les permettent. Les Etats-Unis sont intimement liés à l’Histoire de la Photographie, et cet art incarne une idée de la modernité bien assortie au propre développement du pays. Mais l’Europe et surtout la France ne sont pas innocentes dans cette aventure du papier impressionné. Je ne vois donc pas de raisons historiques évidentes à mon constat. Un premier voyage n’autorise pas à généraliser de la sorte, et il faudra à l’avenir préciser mon hypothèse pour définir si cette heureuse omniprésence fut circonstancielle, ou si elle trouve vraiment là, un terreau fertile à sa persistance.

Night Vision au Met à New York

Sigmar Polke à la Galerie Leo Koenig à New York

Boris Mikhailov au Moma à New York

Laurel Nakadate à la Leslie Tonkonow Gallery et au P.S.1 à New York

Roe Ethridge à la Andrew Kreps Gallery à New York

Ilit Azoulay à la Andrea Meislin Gallery à New York

Praxis à la Elizabeth Dee Gallery à New York