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Archives de Tag: Galería Marta Cervera

Ou tout le contraire du lest. À une lettre près, l’adjectif échappe à la pesanteur de son homonyme pour caractériser la souplesse, l’aisance, l’émancipation. Sa légèreté le rapprocherait même du vulgaire, cette élégance-là fleurissant hors des convenances. Et elle a toute l’agilité pour offusquer la bienséance.

Giorgio Griffa par Christine Macel au Centre Pompidou à Paris

Giorgio Griffa, Claude Viallat chez Rafael Pérez Hernando à Madrid

Sonia Kacem chez Gregor Staiger à Milan

Vivian Suter par Manuel Borja-Villel au Museo Reina Sofía – Palacio de Velázquez à Madrid

Leonor Serrano Rivas chez Marta Cervera à Madrid

Anni et Josef Albers par Julia Garimorth au MAM à Paris

Katharina Grosse par Claire Staeber à l’Espace Louis Vuitton à Venise

1bd1959f-0ee1-41b1-c3a3-faeb61fc7c3bGiorgio Griffa, Verticale, 118 x 173 cm, acrylique sur toile de chanvre, 1977 | Collection Centre Pompidou MNAM-CCI (Paris) © Adagp, Paris, 2022
courtoisie Archivio Giorgio Griffa, crédit photographique Giulio Caresio

Contraint à être mou, étendu, alité, le corps peut retrouver une perpendiculaire au sol. Dans l’espace physique, reviennent la contenance, la tenue. La figuration se cherche une stabilité, de l’assurance, de l’aisance au moins. Nous nous redressons.

Ludovica Carbotta à Galería Marta Cervera à Madrid

Rodin-Giacometti à la Fundación MAPFRE à Madrid

Des marches, démarches par Guillaume Monsaingeon au Frac Paca à Marseille

Yves Saint Laurent au Musée des Tissus à Lyon

70.001 à la Galerie Jocelyn Wolff | Komunuma à Romainville

Harold Ambellan au Musée Réattu à Arles

Liv Schulman | Carla Grunauer par Piedras Galería (Buenos Aires) à ARCOmadrid à Madrid


Ludovica Carbotta, Moderate AD 01, 170 x 160 x 130 cm, bois, acier, peinture, béton et mousse polyuréthane, 2019 | Production Biennale di Venezia 58th International Art Exhibition, courtoisie de l’artiste et Galería Marta Cervera (Madrid)

Sur scène, selon si l’on dirige, si l’on interprète ou si l’on applaudit, la droite peut être la gauche, et inversement. À l’instar des marins, le théâtre a dû trouver son jargon pour s’orienter au mieux. Ce lexique de tradition parisienne, daterait de 1770 alors que La Comédie Française était installée dans le Palais des Tuileries, qui jouxtait d’un côté la cour du Louvre, et de l’autre ses jardins. Avant que cette désignation ne fut popularisée par la Révolution, la cour se nommait « côté de la reine » et le jardin « côté du roi », les loges de chacun se faisant face à gauche et à droite de la scène en regardant la salle depuis celle-ci.

Bernard Piffaretti à la Galería Marta Cervera à Madrid

Antigone à Mécènes du Sud Montpellier – Sète à Montpellier

Baptiste Rabichon à la Galerie Binome à Paris

Charlotte Moth par Caroline Hancock au CA2M à Móstoles

Waterloo chez Pierre Poumet à Londres

Ulla von Brandenburg par Sandra Patron au Mrac à Sérignan

mountaincutters par l’ESBAN à la Chapelle des Jésuites à Nîmes

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Baptiste Rabichon, Chirales (#029), deux fois 118.9 x 84.1 cm, impres­sion jet d’encre pigmen­taire sur papier RC Satiné Lumière Bonjet, contre­col­lage sur Dibond, enca­dre­ment alumi­nium sous verre, 2019 – Courtoisie de l’artiste et de la Galerie Binome