Dernière figure de notre trilogie sur les Pays Baltes, Milda est l’effigie lettone de la liberté, voire de la libération. C’est par ce prénom qu’est affectueusement appelée la silhouette féminine qui trône sur le monument central de la capitale. Au fil de l’Histoire alors que les régimes chercheront à colorer son influence, elle demeure un symbole d’unité nationale. Les autorités soviétiques interdiront même de déposer des fleurs à ses pieds, proscription transgressée par un soulèvement populaire accélérant le retour de l’indépendance. La double actualité internationale d’une triennale et d’une biennale, habite parallèlement la ville, témoignant à la fois de la vigueur et de la dissonance palpables en ces lieux.
Romana Sutas un Aleksandras Beļcovas Muzejs à Rīga
Katja Novitskova à la Whitechapel Gallery à Londres
Metamorphõseõn chez Sultana à Paris
BT13 – Give Up The Ghost, Rīga par Vincent Honoré à Kim ? à Rīga
Laure Prouvost par Daria de Beauvais au Palais de Tokyo à Paris
Dekoratīvās Mākslas un Dizaina Muzejs à Rīga
RIBOCA 1 par Katerina Gregos à Rīga
Laure Prouvost, Ring, Sing and Drink for Trespassing , Palais de Tokyo, 2018 – Courtoisie de l’artiste et des galeries Nathalie Obadia (Paris / Brussels), carlier | gebauer (Berlin) et Lisson Gallery (London / New York), crédit photographique Aurélien Mole
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