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Archives de Tag: Galeie BQ

Cette éco-anxiété témoigne d’une détresse causée par les changements environnementaux, en particulier le réchauffement climatique. Le néologisme aurait été inventé en 2003 par le philosophe australien Glenn Albrecht, pour nommer une désolation psychique liée à la perte de la Nature. Cela correspond à la douleur ressentie lorsque l’on prend conscience qu’un certain endroit se dégrade irrémédiablement à une échelle humaine de temps. Ce constat contribue à un sentiment d’insécurité territoriale portée par la disparition programmée de tel ou tel paysage. Pollution, déforestation et épuisement des ressources alimentent cet état de panique, sorte de retournement vers le futur plutôt que le passé, de la nostalgie avec laquelle le terme partage sa racine étymologique. De la peine, par anticipation. En résulte une mélancolie, non pas vis-à-vis de ce qui n’est plus, mais de ce qui arrivera.

Jochen Lempert à BQ à Berlin

La mesure du monde par Sandra Patron & Clément Nouet au Mrac Occitanie à Sérignan

David Posth-Kohler par Matthieu Lelièvre à l’Atrium de CIC – Lyonnaise de Banque à Lyon

Katinka Bock à Lafayette Anticipations à Paris

The Seventh Continent par Nicolas Bourriaud pour la 16e Biennale d’Istanbul à Istanbul

Émilien Adage à L’Assaut de la menuiserie à Saint-Étienne

Vera Kox à 22,48m² à Paris

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Pakui Hardware, Extrakorporal, 2019 | Courtoisie des artistes, co-production de la biennale avec le MO.CO. Montpellier Contemporain, crédit photographique Sahir Ugur Eren

L’acception ancienne du terme désigne une lésion de la rétine. Médicalement, on parle aujourd’hui de myodésopsie, de phosphène ou de scotome. L’œil par son anatomie perturbée, émet des signaux extravagants de perception. La vision est troublée. La lumière comme toujours, reste essentielle dans ce dérèglement hallucinatoire. La vue relève alors de l’excentricité de l’éberlué ou de l’hurluberlu.

Jochen Lempert par BQ Berlin à Paris Internationale à Paris

Melancholia – A Sebald variation pour le King’s College London à la Somerset House à Londres

Collection n°7 chez Interior and the collectors à Lyon

Renée Levi à la Galerie Bernard Jordan à Paris

Mireille Blanc par Eric Mircher à la Galerie Joseph à Paris

Sigmar Polke à la Galerie Suzanne Tarasiève à Paris

Katharina Grosse à la South London Gallery à Londres

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Mireille Blanc, L’étiquette, 200 x 145 cm, huile sur toile, 2017 – Courtoisie de l’artiste

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Avec beaucoup de bonne volonté, j’ai voulu consacrer une ultime chronique à la capitale allemande afin de clore l’habituel triptyque qui résulte de la découverte d’importantes métropoles,
à l’image de Copenhague, Delhi, Londres et New York. Mais trop de galeries empêchent cela par snobisme ou incompétence, et nous sacrifierons donc l’initiative au profit de l’actualité londonienne
qui viendra secourir l’idiote carence. Une dizaine de jours séparèrent les deux voyages, dont quelques extraits se verront donc compressés ici en un même ensemble germano-britannique.

Matti Braun à la Galeie BQ à Berlin

Aaron Angell par Meret Kaufmann à la Galerie Croy Nielsen à Berlin

Gesamtkunstwerk – New Art from Germany à la Saatchi Gallery à Londres

Jānis Avotiņš à la Ibid Project Gallery à Londres

Lydia Gifford à la Draf – David Roberts Art Foundation à Londres

Sista Pratesi à la Gimpel Fils Gallery à Londres

Donald Judd à la Sprüth Magers Gallery à Londres