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Archives de Tag: Galerie Arnaud Deschin

Allez, vogue. Laisse ton corps bouger sur la musique, bouger sur la musique. Hé, hé, hé. Allez, vogue. Laisse ton corps être porté par le flow, porté par le flow. Tu sais que tu peux le faire. Tout ce dont tu as besoin, c’est ta propre imagination. Alors utilise-la, c’est pour ça qu’elle est faite. C’est pour ça qu’elle est faite. Cherche à l’intérieur, ton inspiration la plus profonde. Tes rêves ouvriront la porte, ouvriront la porte. Il n’y a aucune différence, si tu es es noir ou blanc. Si tu es un garçon ou une fille. Si la musique bouge, cela te donnera une nouvelle vie. Tu es une superstar, oui, c’est ce que tu es, tu le sais.

Jacopo Miliani à la David Roberts Art Foundation à Londres

Simon Fujiwara à The photographers’ gallery à Londres

John Currin chez Sadie Coles HQ – Davies st à Londres

Lynette Yiadom-Boakye à la Kunsthalle Basel à Bâle

Les sept périls spectraux par Emeline Dupas à la Galerie Arnaud Deschin à Paris

Urs Fischer à la Fondation Vincent van Gogh Arles à Arles

Walasse Ting au Musée Cernuschi à Paris

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Jacopo Miliani, Throwing balls at night, performance, extraits de la captation, 2016 – Courtoisie de l’artiste et de Draf London, crédit photographique Reynir Hutber – Thisistomorrow

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Le néologisme arrive des côtes américaines. Dans le domaine du respect trois point zéro, il indique un degré ultime de plénitude, une décontraction totale, le top niveau de la zénitude. Instantanément à son évocation, doux embruns et fragrances édulcorées embaument nos sens, dans une caricature de leur désirs. Voilà notre idéal de détente normé, répondant à de nauséabonds impératifs commerciaux. L’industrie du bien-être regorge d’images génériques qui anticipent avec indécence nos perspectives de décompression. Partout, le lounge s’autoproclame comme calibre de confort et de sympathie. L’esthétique web et les artistes qui l’exploitent, s’emparent avec malice de ces stéréotypes. Bienvenue dans une quiétude nineties. Yeah.

Relaax par Jocelyn Villemont sur internet

Le showroom de la start-up par Dorothée Dupuis aux Ateliers des Arques aux Arques

Jean-Alain Corre à la Galerie Cortex Athletico à Bordeaux

Sugar and spice à la Galerie Torri à Paris

Speculative materialism Oo par Cosson & Luciani chez Paradise à Marseille

A sip of cool par Cosson & Luciani à la Gad – Galerie Arnaud Deschin à Marseille

Carter Mull au Capc – Musée d’art contemporain à Bordeaux

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Manuel Fernandez, Provisionnal landscape, 2’30min, video, 2013 – Courtoisie de l’artiste

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Essentielles, existentielles, la perception autant que la tentative sont à entendre dans l’épaisseur de notre intitulé. La maturité s’acquiert par son biais, dans une succession couplée de sensations et d’expérimentations. Deux monographies magistrales dominent cette perspective en bousculant complètement le contexte institutionnel où elles prennent place. Leur font écho plusieurs initiatives qui se ménagent au contraire, un environnement alternatif pour révolutionner les façons de montrer. C’est à toute notre sensibilité et notre sensorialité que l’on s’adresse, l’œil toujours, mais aussi l’oreille, la bouche, le reste. Plus que voir, il s’agit de vivre.

Pierre Huyghe par Emma Lavigne au Centre pompidou à Paris

Borderline par Charlotte Cosson & Emmanuelle Luciani à la Gad à Marseille

Open heart surgery par Aya Mousawi & Simon Sakhai à The moving museum à Londres

Oliver Beer à la Galerie Thaddaeus Ropac à Pantin

Philippe Parreno au Palais de tokyo à Paris

Cookbook par Nicolas Bourriaud au Palais des beaux-arts à l’Ensba à Paris

2, 4, 3 par Joseph Meidan au 243 rue Saint martin à Paris

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Pierre Huyghe, Beetle juice, cocktail, 2012

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La Méditerranée en septembre retient encore un peu l’Eté. Cette étrange période s’inscrit entre deux saisons en compilant le meilleur de chacune. Nice et Marseille offrirent à ce moment-là une jolie actualité. Nous connaissons déjà la première ville pour son musée d’art moderne et contemporain, son école et son centre d’art, lieux remarquables qui récompensent largement les heures de TGV nécessaires pour atteindre ce Sud-Est. Et la seconde, bien qu’elle n’évoque pas spontanément une capitale de la création contemporaine, se transforme, une fin de semaine par an, en une excitante plateforme qui dynamise la scène locale. S’il n’y a qu’un week-end durant lequel séjourner dans le coin, c’était bien celui-là.

Roman Ondak à la Villa Arson à Nice

Cai Guo-Qiang au Mamac à Nice

Vanessa Santullo à la Galerie Arnaud Deschin à Marseille

Valère Costes à la galerieofmarseille à Marseille

L’exposition exposée par Astérides à la Friche Belle de Mai à Marseille

Prendre la porte et faire le mur par Florence Ostende  Frac Paca à Marseille

Art-o-rama #4 par Jérome Pantalacci à la Cartonnerie à la Friche Belle de Mai à Marseille