J’amène ces deux notions pour articuler les trois expositions parisiennes de François Morellet, avec d’autres éléments de l’actualité de la capitale. Ce premier trimestre met en effet à l’honneur notre idole octogénaire, dans deux galeries et une institution. Les néons et les mathématiques prennent alors un écho singulier, face à une production qui les exploitent depuis des décennies. Et je ne m’y attarderai pas là, mais il faudrait à l’occasion parcourir ses pièces permanentes dispersées sur le territoire français, dans le Lac de Kerguéhennec, à la Cité Internationale à Lyon,
sur les murs du Musée Denys Puech de Rodez, à l’entrée de l’Hôtel de Région à Nantes ou dans les escaliers du Louvreà Paris.
Sarkis à la Galerie Nathalie Obadia à Paris
Laddie John Dill à la Galerie Dominique Fiat à Paris
François Morellet au Centre Pompidou à Paris
Carrément à la Galerie Kamel Mennour à Paris
François Morellet à la Galerie Aline Vidal à Paris
Philippe Decrauzat au Plateau/Frac Ile-de-France à Paris
Bruno Rousselot à la Semiose Galerie à Paris