Voilà une qualité. Dans la retenue, avec une quantité réduite de matériel, selon un degré discret de chair, le plaisir se diffuse. Son expression ici s’abstient de l’évidence du corps, dont l’image de préférence, s’absente. Achrome, au mieux bleuté, le concret laisse ici place à la charge émotionnelle, allant jusqu’à encombrer le vide. Cette caractéristique qualifie peut-être, une certaine constante de la scène française au cours des récentes décennies. Dans de rares circonstances, à peine c’est beaucoup.
Rien ne nous appartient : Offrir par Flora Katz à La fondation d’entreprise Ricard à Paris
Elsa Werth à la Galerie Martine Aboucaya à Paris
Plus c’est facile, plus c’est beau par Eric Watier au Frac Languedoc-Roussillon à Montpellier
Old dream par Ann Stouvenel à Mains d’œuvres à Saint-Ouen
Information fiction publicité à la Galerie Emmanuel Perrotin à Paris
Strange days par Xavier Franceschi au Plateau – Frac île-de-france à Paris
Anne le Troter par Claire Moulène au Palais de Tokyo à Paris
Mark Geffriaud, Monsieur chose, 22x31x8cm, verre, bois fossilisé, verre acrylique, 2015 – Collection Dorith & Serge Galuz, crédit photographique Aurélien Mole