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Archives de Tag: Galerie Françoise Besson

Toujours plurielles, la morale les a catalogué du côté de l’opportunisme. Ces cajoleries ne seraient motivées que pour courtiser. Évidemment orientées vers les jouissances terrestres, elles concernent la chair, et sont de fait automatiquement condamnées par des siècles d’hypocrisie officielle. Célébrons la plénitude des sens, en acceptant tout simplement de se faire plaisir.

Henri Matisse au Centre Pompidou à Paris

Était l’été à la Galerie Françoise Besson à Lyon

Liam Everett à la Galerie Greta Meert à Bruxelles

Picturalité(s) par Aude Cartier à la Maison des Arts à Malakoff

Yannick Langlois pour Breeze chez gb agency à Paris

Emanuele Becheri à la Galerie Bernard Bouche à Paris

Mireille Blanc à la Galerie Anne-Sarah Bénichou à Paris

fa197606-85ad-4c48-89a4-eae51141ddccYannick Langlois, Dream Factory #1, Dream Factory #2, plâtre, laiton, aluminium, peinture en spray, enduit, pâte epoxy, 2020 | Courtoisie de l’artiste, crédit photographique objets-pointus

Dans sa forme la plus triviale, le phénomène désigne la migration du bétail. Les troupeaux se déplacent ainsi en masse, de façon saisonnière. Un défilé. Le rapport au terrain est déterminant. C’est la recherche cyclique d’une nature autre. Changer d’air.

Ingrid Luche chez Air de Paris à Paris

Henry Darger Summer Camp par Julia Marchand à Extramentale à Arles

Xavier Antin chez Crèvecœur à Paris

take (a)back the economy par Barbara Sirieix au CAC Chanot à Clamart

Éléonore False à la VnH Gallery à Paris

Ed Ruscha chez Gagosian Davies St à Londres

Jacques Migayrou à la Galerie Françoise Besson à Lyon

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Ed Ruscha, Spied Upon Scene, 101.6 x 152.4 cm, acrylique sur papier, 2017 | © Ed Ruscha, courtoisie Gagosian, crédit photographique Jeff McLane et Johanna Fernandes

J’aime la pluralité de ces transitions vers l’obscurité. « Zone d’ombre partielle résultant de l’interception partielle, temporaire ou définitive, des rayons d’une source lumineuse par un corps opaque. » C’est ainsi que le Cnrtl – Centre national de recherches textuelles et lexicales – définit ce contexte de visibilité bousculée, dans lequel moins voir permet de voir autre.

Gregory Derenne à la Galerie Bertrand Grimont à Paris

Les arcs-en-ciel du noir par Annie Le Brun à la Maison de Victor Hugo à Paris

Viriya Chotpanyavisut à la Galerie de Multiples à Paris

Tout s’éteindra par Gwilherm Perthuis à la Galerie Françoise Besson à Lyon

Laurent Grasso au Jeu de Paume à Paris

Anri Sala au Centre Pompidou à Paris

Bertrand Lamarche au CCC – Centre de création contemporain à Tours

> Grégory Derenne, Sans titre, 60x60cm, huile, toile noire, sans date – Courtoisie Bertrand Grimont