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Archives de Tag: Charles Riva Collection

En France, il s’agit de l’injonction faite à une personne physique de résider en un lieu déterminé. Elle peut résulter d’une décision civile, pénale ou administrative. Elle peut être ordonnée avec surveillance électronique dans le cadre d’une procédure de convocation par procès verbal ou de comparution immédiate, toutes deux présumées innocentes, avec l’accord ou à la demande de l’intéressé.e, par le juge d’instruction ou par le juge des libertés et de la détention si la personne mises en examen encourt une peine d’emprisonnement correctionnel d’au moins deux ans ou une peine plus grave. Selon le code de l’entrée et du séjour des étranger.e.s et du droit d’asile, cette poursuite pour des non-européen.ne.s en instance d’éloignement dans l’impossibilité de quitter le territoire français ou de regagner son pays d’origine ou de rendre dans aucun autre pays, est décidée par le préfet de département. Selon la loi du 3 avril 1955 sur l’état d’urgence, sa déclaration donne pouvoir au Ministre de l’Intérieur de la prononcer dans le lieu qu’il fixe, de toute personne « à l’égard de laquelle il existe des raisons sérieuses de penser que son comportement constitue une menace pour la sécurité et l’ordre publics ». Sa durée maximale est de douze mois. Au-delà, une prolongation est possible sous certaines réserves.

Jessi Reaves chez Herald St à Londres

At Home à la Galerie Valentin à Paris

Giuliana Zefferi à Bikini à Lyon

Multiple visions chez Sorry We’re Closed à Bruxelles

Sculpture-Lampe à Soft Opening à Londres

Candida Höfer | Hiroshi Sugimoto | Thomas Ruff à la Charles Riva Collection à Bruxelles

Ludwig Mies van der Rohe avec la Villa Tugendhat à Brno

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Nevine Mahmoud, Illuminated Leg, 71 x 20 x 23 cm, glass, aluminium hardware, lighting, wires, 2019 | Courtoisie de l’artiste et de Soft Opening, crédit photographique Theo Christelis

Cette locution désigne historiquement, le cri d’une sentinelle qui ordonne à des passants de s’éloigner. On se tire, on se casse, on s’arrache, on sort, on se taille, on fout le camp, on prend la poudre d’escampette, on s’éclipse, on s’esquive, on s’échappe, on file, on dégage, on s’en va, on se barre, on met les voiles, on part, on quitte.

Renato Leotta à la Galeria Madragoa à Lisbonne

Un voyage en mer par Nicolas Jolly à la Charles Riva collection à Bruxelles

Daniel Gustav Cramer par Samuel Leuenberger pour Art Basel – Art parcours à Basel

Josh Smith à la Galerie Xavier Hufkens à Bruxelles

Walter de Maria à la Gagosian gallery – Britannia st à Londres

Johana Pošová & Barbora Fastrová chez Syntax à Lisbonne

Wolfgang Tillmans chez Maureen Paley à Londres

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Wolfgang Tillmans, Eu campaign, 2016 – Courtoisie de l’artiste et de Maureen Paley, London

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

La rentrée marque une transition entre l’indolence de l’été et l’excitation déraisonnable des foires automnales. Avec une certaine nonchalance, elle mâchouille une énergie élastique. A l’échelle européenne, l’éminence d’une pratique sculpturale est à signaler. Elle concerne des artistes qui triturent des matériaux gourmands en se permettant une palette large et franche. Ainsi à Hanovre, Londres, Paris, Luxembourg et Bruxelles, la souplesse des choses est mise à l’épreuve d’ambitions cosmétiques.

Rachel Harrison au Kestnergesellschaft à Hanovre

Marisa Merz à la Serpentine gallery à Londres

Sarah Tritz à la Galerie Anne Barrault à Paris

Richard Tuttle à la Galerie Marian Goodman à Paris

Folkert de Jong au Mudam – Musée d’art moderne Grand-Duc Jean à Luxembourg

Candy à la Galerie Blain Southern à Londres

Sterling Ruby à la Charles Riva Collection à Bruxelles

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Sarah Tritz, Ma femme, 64.5x36cm, chêne, peinture à l’huile, tissus, 2013 –
Courtoisie de l’artiste et la galerie Anne Barrault Paris

Le numéro complet est disponible sur abonnement.

Ce terme anglais provient du lexique œnologique et équivaut en français au mot « millésime ». Il s’agit d’une année qui marque particulièrement un produit. Qualificatif dont l’usage est abusif dans les domaines de la mode et la décoration, il exclut d’office la prospection contemporaine pour se réfugier dans les jupons de la nostalgie. Le propre de l’objet dit vintage, est de ne survivre au passage du temps que par sa caricaturale image. Il représente une période précise, durant laquelle il a été produit et consommé en masse, et ne doit en aucun cas s’en échapper. Il est un marqueur soumis et concerne des décennies finalement proches, associées à des générations familières. Ce numéro compilera réinterprétations actuelles et clichés originels. S’opère une séduction trouble, celle des charmes d’antan.

Das Plateau au Théâtre de Gennevilliers

Vidéo Vintage au Centre Pompidou à Paris

Kirsten Everberg à la Galerie Hussenot à Paris

Roe Ethridge à la Charles Riva Collection à Bruxelles

Julien Carreyn à la Galerie Crèvecoeur à Paris

Richard Kern à la Galerie Jousse Entreprise à Paris

Karlheinz Weinberger au Museum für Gegenwartskunst à Basel à la Galerie Woerdehoff à Paris

> Eyriey Denys & Maëlys Ricordeau dans Notre Printemps par Das Plateau